Porté par l’Antenne saint-louisienne de la coalition Publiez Ce Que Vous Payez (PCQVP), ce nouveau programme se veut une opportunité d’analyse de la relation entre la transition énergétique et les femmes dans le secteur extractif, en prenant comme cibles géographiques les zones d’exploitation du pétrole et du gaz telles que Saint-Louis, Kayar et le Saloum.
Lancé le 18 octobre en marge d’un conclave au lycée André Peytavin, le projet ambitionne d'offrir les outils et compétences nécessaires aux jeunes pour assurer pleinement leur rôle de leadership vers la transition énergétique.
Le choix de Saint-Louis n’est pas fort. Pour rappel, la ville confrontée à des problèmes socio-économiques et environnementaux qui plombent son essor. D’une part, l’avancée de la mer, l’érosion côtière, les terres salées et arides, ainsi que l’intensification d’une agriculture moderne qui bouleversent son environnement. De l’autre, le faible niveau d’aisance de la population et la raréfaction des ressources halieutiques qui seront inexorablement à l’épreuve de la prochaine exploitation du gaz naturel dans le bloc Saint-Louis offshore. Cette activité aux enjeux colossaux impactera sur le plan économique et social la région.
« Avec l’exploitation du gaz naturel à Saint-Louis, des partenariats pourraient être consacrés à l’énergie, à la mobilité, à l’utilisation rationnelle de l’eau, aux matières premières non-énergétiques et à l’agriculture durable et productive afin de booster l’économie locale et l’entrepreneuriat local », note une documentation du PCQVP.
"Social bonds" vise d’une part à favoriser une approche inclusive dans la gouvernance des ressources minérales au Sénégal, en prenant en compte les personnes vivant avec un handicap ainsi que les femmes. D’autre part, il envisage de questionner les ambitions du Gouvernement du Sénégal en termes de revenus issus du pétrole et du gaz dans le contexte de la transition énergétique.
NDARINFO.COM
Lancé le 18 octobre en marge d’un conclave au lycée André Peytavin, le projet ambitionne d'offrir les outils et compétences nécessaires aux jeunes pour assurer pleinement leur rôle de leadership vers la transition énergétique.
Le choix de Saint-Louis n’est pas fort. Pour rappel, la ville confrontée à des problèmes socio-économiques et environnementaux qui plombent son essor. D’une part, l’avancée de la mer, l’érosion côtière, les terres salées et arides, ainsi que l’intensification d’une agriculture moderne qui bouleversent son environnement. De l’autre, le faible niveau d’aisance de la population et la raréfaction des ressources halieutiques qui seront inexorablement à l’épreuve de la prochaine exploitation du gaz naturel dans le bloc Saint-Louis offshore. Cette activité aux enjeux colossaux impactera sur le plan économique et social la région.
« Avec l’exploitation du gaz naturel à Saint-Louis, des partenariats pourraient être consacrés à l’énergie, à la mobilité, à l’utilisation rationnelle de l’eau, aux matières premières non-énergétiques et à l’agriculture durable et productive afin de booster l’économie locale et l’entrepreneuriat local », note une documentation du PCQVP.
"Social bonds" vise d’une part à favoriser une approche inclusive dans la gouvernance des ressources minérales au Sénégal, en prenant en compte les personnes vivant avec un handicap ainsi que les femmes. D’autre part, il envisage de questionner les ambitions du Gouvernement du Sénégal en termes de revenus issus du pétrole et du gaz dans le contexte de la transition énergétique.
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