A prendre en considération tous les éléments que j’ai obtenus venant de personnes refoulées jusqu’à Rosso, je veux dire la frontière sénégalo-mauritanienne, je m’émeus de telles pratiques entre pays limitrophes voire entre un même peuple dans ce contexte de globalisation socioéconomique. Comment peut-on concevoir que des sénégalais soient expulsés de la Mauritanie et vice versa pour le bonne et simple raison qu’ils sont dépourvus de carte de séjour !
D’après les récits recueillis et suivis de très prés, les citoyens vivent presque l’enfer dans les villes mauritaniennes. Pourchassées par les forces de police, ils sont interpellés et embarqués dans des fourgonnettes à destination des prisons avant d’être acheminés par groupes vers Rosso Sénégal sous forte escorte. Face à ces pratiques que je considère d’un autre âge pour un pays voisin, les autorités étatiques sénégalaises sont sans réactions. C’est pourquoi, en tant leader politique vivant dans la diaspora de la Belgique, je considère qu'il est temps pour nos dirigeants d’accorder une attention particulière à cette situation humiliante vécue par des Sénégalais. Le président de la république Macky Sall, plus particulièrement, doit prendre des mesures face à cette situation qui, sans aucun doute, révèle in fine de la sécurité nationale. Si les mauritaniens vivent en paix au Sénégal, pourquoi le contraire ne serait-il pas possible ? En effet, nos concitoyens vivent le martyr dans ce pays, osons le dire sans le fameux "Masla". Les autorités de la Mauritanie, à mon sens, n’ont aucun respect pour nos concitoyens sénégalais. Il faut le vivre pour le comprendre.
Il suffit de quitter Rosso pour aller vers Nouakchott pour s’en rendre compte. Les policiers et les gendarmes s’enrichissent de rackets exercés sur nos compatriotes. Mon exemple est assez démonstratif lorsque d’Europe, j’ai traversé la Mauritanie en ralliant le Sénégal par voie terrestre. J’ai dépensé plus de 100 000 frs CFA pour les seuls de rackets. Inacceptable. Et pourtant personne ne bronche malgré qu’ils en ont marre des pratiques prégnantes en vigueur dans ce pays qui, au fond, ne respecte pas les " Sénégalais". Nous sommes mieux traités au Maroc qu’en Mauritanie et je considère qu’il est temps que les autorités du Sénégal essaient à bien de protéger leurs ressortissants. Puisque nous sommes voisins avec la Mauritanie, des solutions : sociale, politique voie étatique, doivent être trouvées de manière idoine.
Monsieur Adama Diaw
Coordonnateur Adjoint Apr Benelux
Président de l'association des Sénégalais
Charleroi - Belgique
D’après les récits recueillis et suivis de très prés, les citoyens vivent presque l’enfer dans les villes mauritaniennes. Pourchassées par les forces de police, ils sont interpellés et embarqués dans des fourgonnettes à destination des prisons avant d’être acheminés par groupes vers Rosso Sénégal sous forte escorte. Face à ces pratiques que je considère d’un autre âge pour un pays voisin, les autorités étatiques sénégalaises sont sans réactions. C’est pourquoi, en tant leader politique vivant dans la diaspora de la Belgique, je considère qu'il est temps pour nos dirigeants d’accorder une attention particulière à cette situation humiliante vécue par des Sénégalais. Le président de la république Macky Sall, plus particulièrement, doit prendre des mesures face à cette situation qui, sans aucun doute, révèle in fine de la sécurité nationale. Si les mauritaniens vivent en paix au Sénégal, pourquoi le contraire ne serait-il pas possible ? En effet, nos concitoyens vivent le martyr dans ce pays, osons le dire sans le fameux "Masla". Les autorités de la Mauritanie, à mon sens, n’ont aucun respect pour nos concitoyens sénégalais. Il faut le vivre pour le comprendre.
Il suffit de quitter Rosso pour aller vers Nouakchott pour s’en rendre compte. Les policiers et les gendarmes s’enrichissent de rackets exercés sur nos compatriotes. Mon exemple est assez démonstratif lorsque d’Europe, j’ai traversé la Mauritanie en ralliant le Sénégal par voie terrestre. J’ai dépensé plus de 100 000 frs CFA pour les seuls de rackets. Inacceptable. Et pourtant personne ne bronche malgré qu’ils en ont marre des pratiques prégnantes en vigueur dans ce pays qui, au fond, ne respecte pas les " Sénégalais". Nous sommes mieux traités au Maroc qu’en Mauritanie et je considère qu’il est temps que les autorités du Sénégal essaient à bien de protéger leurs ressortissants. Puisque nous sommes voisins avec la Mauritanie, des solutions : sociale, politique voie étatique, doivent être trouvées de manière idoine.
Monsieur Adama Diaw
Coordonnateur Adjoint Apr Benelux
Président de l'association des Sénégalais
Charleroi - Belgique