
La tenue de ces échanges à Saint-Louis n’est pas fortuite, a renseigné lundi le chef de l’unité Afrique du Centre du patrimoine de mondiale de l'UNESCO. Edmond MOUKALA a salué « la valeur universelle exceptionnelle » de la ville et sa « contribution dans la présence africaine ».
« Quelque part, les institutions universités ont failli à leur mission de puiser, d’exploiter la richesse culturelle de l’Afrique et de le faire valoir à travers le patrimoine mondial de l’UNESCO », a-t-il par ailleurs confié.
« C’est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés à bâtir une collaboration étroite entre le patrimoine mondial et les entités éducatives », a ajouté M. MOUKALA.
L‘UGB s’est dite honorée d’assurer l’organisation cet atelier que le Sénégal abrite pour ses voisins qui ont la langue française en commun. « La tenue de ces réflexions à Saint-Louis montre que nous sommes une université qui compte », a confié Patrice CORREA, enseignant-chercheur à l’UFR de Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) de l’UGB.
Au terme de l’atelier africain, une plateforme bilingue sera mise en place. Des évènements annuels seront planifiés en vue de permettre aux gestionnaires de sites et universitaires de travailler ensemble sur les dossiers de nominations, sur les solutions de conservation du patrimoine africain.
>>> Suivez les impressions des parties prenantes
« Quelque part, les institutions universités ont failli à leur mission de puiser, d’exploiter la richesse culturelle de l’Afrique et de le faire valoir à travers le patrimoine mondial de l’UNESCO », a-t-il par ailleurs confié.
« C’est la raison pour laquelle nous nous sommes engagés à bâtir une collaboration étroite entre le patrimoine mondial et les entités éducatives », a ajouté M. MOUKALA.
L‘UGB s’est dite honorée d’assurer l’organisation cet atelier que le Sénégal abrite pour ses voisins qui ont la langue française en commun. « La tenue de ces réflexions à Saint-Louis montre que nous sommes une université qui compte », a confié Patrice CORREA, enseignant-chercheur à l’UFR de Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) de l’UGB.
Au terme de l’atelier africain, une plateforme bilingue sera mise en place. Des évènements annuels seront planifiés en vue de permettre aux gestionnaires de sites et universitaires de travailler ensemble sur les dossiers de nominations, sur les solutions de conservation du patrimoine africain.
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