
Edmond MOUKALA qui s’exprimait en marge de l’ouverture de l’atelier « Patrimoine mondial et institutions de l'enseignement supérieur en Afrique" qu’accueille l’Université Gaston Berger (UGB) de Saint-Louis, annonce que « le comité se penchera sur ce dossier en juin 2019 ».
Aida Mbaye DIENG, adjointe au maire de la ville, reconnaît que la municipalité a des « handicaps » et des « ressources humaines en manque de qualification pour sauvegarder notre patrimoine ». Elle a indiqué que le conclave de Saint-Louis permettra de renforcer les compétences des acteurs évoluant dans ce domaine.
« Nous avons eu des problèmes de conservation », a confié Mme DIENG qui déplore notamment des « constructions hors normes » sur l’île. « Presque tous les bâtiments sont en péril et les réhabilitations coûtent cher », a-t-elle expliqué.
L’Université de Saint-Louis a réitéré son ambition de servir la communauté et le recteur Ousmane THIARE a exprimé sa joie d’accueillir ce creuset d’échanges « autour de la problématique de la gestion du patrimoine mondial ».
« Cet atelier marque une étape importante pour nous et nos institutions – en particulier le Centre de Recherche et de Documentation du Sénégal (CRDS – ex-IFAN), l’UFR des Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) et l’UFR des Lettres et Sciences Humaines (LSH) qui s’intéressent de plus près, en matière de formation et de recherche, aux questions de patrimoine », a soutenu le président de l’Assemblée de cette institution universitaire.
“ Dans le cadre d’une coopération de proximité, l’UNESCO a toujours encouragé et soutenu nos activités scientifiques relatives au développement de la ville de Saint-Louis, connue pour ses monuments historiques, ses ressources naturelles, la diversité de son patrimoine fluvial et son patrimoine architectural et culturel parmi les plus remarquables d’Afrique”, a-t-il par ailleurs ajouté M. THIARE.
En vidéo ...
Aida Mbaye DIENG, adjointe au maire de la ville, reconnaît que la municipalité a des « handicaps » et des « ressources humaines en manque de qualification pour sauvegarder notre patrimoine ». Elle a indiqué que le conclave de Saint-Louis permettra de renforcer les compétences des acteurs évoluant dans ce domaine.
« Nous avons eu des problèmes de conservation », a confié Mme DIENG qui déplore notamment des « constructions hors normes » sur l’île. « Presque tous les bâtiments sont en péril et les réhabilitations coûtent cher », a-t-elle expliqué.
L’Université de Saint-Louis a réitéré son ambition de servir la communauté et le recteur Ousmane THIARE a exprimé sa joie d’accueillir ce creuset d’échanges « autour de la problématique de la gestion du patrimoine mondial ».
« Cet atelier marque une étape importante pour nous et nos institutions – en particulier le Centre de Recherche et de Documentation du Sénégal (CRDS – ex-IFAN), l’UFR des Civilisations, Religions, Arts et Communication (CRAC) et l’UFR des Lettres et Sciences Humaines (LSH) qui s’intéressent de plus près, en matière de formation et de recherche, aux questions de patrimoine », a soutenu le président de l’Assemblée de cette institution universitaire.
“ Dans le cadre d’une coopération de proximité, l’UNESCO a toujours encouragé et soutenu nos activités scientifiques relatives au développement de la ville de Saint-Louis, connue pour ses monuments historiques, ses ressources naturelles, la diversité de son patrimoine fluvial et son patrimoine architectural et culturel parmi les plus remarquables d’Afrique”, a-t-il par ailleurs ajouté M. THIARE.
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