Le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Cheikh Tidiane Sidibé, a annoncé mercredi de nouveaux mécanismes de financement de la filière rizicole, indiquant que 8 milliards de plus sont prévus pour 2017 dans le cadre de son développement.
L’objectif consiste à faciliter le financement des petites et moyennes entreprises agricoles, notamment les exploitations familiales, a-t-il dit en présidant, mercredi, à Dakar, un atelier de réflexion sur le financement de la riziculture par les institutions financières. ‘’Quel modèle de financement inclusif de la chaîne de valeurs riz au Sénégal face au défi de l’autosuffisance ?’’ est le thème de cette rencontre.
Dans son discours, Cheikh Tidiane Sidibé a rappelé que, ‘’depuis quelques années, le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural a démontré que la riziculture contribue à l’éradication de la pauvreté et encourage le développement économique’’.
‘’Il s’agit, aujourd’hui, de discuter mais aussi d’identifier avec les acteurs les modalités actuelles de financement de la chaîne de valeur riz au Sénégal en termes d’opportunités et de contraintes. Cela se fait à travers une réflexion partagée avec les institutions financières’’, a t- il déclaré.
Dans le cadre du développement de la filière rizicole, une enveloppe de 53 milliards de francs CFA est mobilisée. ‘’Pour 2017, 8 milliards de plus ont été budgétisés’’, a - t-il informé.
Il a évoqué d’importants ouvrages hydro-agricoles ainsi que des équipements dans le cadre du Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture (PRACAS).
‘’L’ensemble de ces mesures ont concouru à la mise en place d’un environnement favorable à l’investissement. Il existe aujourd’hui des niches d’investissement dans la chaîne de valeur riz’’, a-t-il signalé.
Malgré tous ces efforts, a-t- il déploré, les besoins de financement de la filière restent toujours ‘’importants’’. En réalité, l’investissement se révèle toujours insuffisant pour consolider la croissance et faire reculer le chômage.
Il a invité les séminaristes à intégrer les préoccupations des différents acteurs impliqués dans les systèmes de production, de transformation et de commercialisation.
APS
L’objectif consiste à faciliter le financement des petites et moyennes entreprises agricoles, notamment les exploitations familiales, a-t-il dit en présidant, mercredi, à Dakar, un atelier de réflexion sur le financement de la riziculture par les institutions financières. ‘’Quel modèle de financement inclusif de la chaîne de valeurs riz au Sénégal face au défi de l’autosuffisance ?’’ est le thème de cette rencontre.
Dans son discours, Cheikh Tidiane Sidibé a rappelé que, ‘’depuis quelques années, le ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural a démontré que la riziculture contribue à l’éradication de la pauvreté et encourage le développement économique’’.
‘’Il s’agit, aujourd’hui, de discuter mais aussi d’identifier avec les acteurs les modalités actuelles de financement de la chaîne de valeur riz au Sénégal en termes d’opportunités et de contraintes. Cela se fait à travers une réflexion partagée avec les institutions financières’’, a t- il déclaré.
Dans le cadre du développement de la filière rizicole, une enveloppe de 53 milliards de francs CFA est mobilisée. ‘’Pour 2017, 8 milliards de plus ont été budgétisés’’, a - t-il informé.
Il a évoqué d’importants ouvrages hydro-agricoles ainsi que des équipements dans le cadre du Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture (PRACAS).
‘’L’ensemble de ces mesures ont concouru à la mise en place d’un environnement favorable à l’investissement. Il existe aujourd’hui des niches d’investissement dans la chaîne de valeur riz’’, a-t-il signalé.
Malgré tous ces efforts, a-t- il déploré, les besoins de financement de la filière restent toujours ‘’importants’’. En réalité, l’investissement se révèle toujours insuffisant pour consolider la croissance et faire reculer le chômage.
Il a invité les séminaristes à intégrer les préoccupations des différents acteurs impliqués dans les systèmes de production, de transformation et de commercialisation.
APS