Sur les sommes supposées détournées
S’il était avéré que 13 millions de francs avaient été dissipés, considérant son chiffre d’affaires annuel, l’auberge ne pourrait payer que les salaires et les indemnités, Cela voudrait dire que les autres charges de fonctionnement, eau/ électricité/ téléphone/internet/ entretien/sécurité sociale/IPRES/TVA/TPT/IPM/patente, taxe sur la publicité, etc … ne sauraient être assurées, encore moins les investissements. A l’évidence, ce chiffre est fabriqué. La partie adverse doit apporter les charges de la preuve. Ce n’est pas encore le cas.
Rappelons que la présomption d’innocence est un pilier fondamental sur lequel repose l’état de droit et il doit absolument respecté.
Un expert a été commis par le tribunal pour auditer ma gestion, attendons ses conclusions.
La somme de 2 300 000 Fcfa représente des mois de salaires virés dans mon compte. Par conséquent, il n’y avait pas lieu de la rembourser. C’est sous la contrainte que je l’ai donnée au gendarme.
Sur les condamnations supposées
- J’ai fait l’objet de quatre procédures judiciaires successives quatre jours après ma prise de fonction. Ce qui confirme l’acharnement dont j’ai tant fait mention. Le Tribunal Régional de Saint-Louis a ordonné l’arrêt des poursuites contre ma personne le 30 juin 2012, les plaintes pour détournement étant non fondées, dixit les juges.
- Il s’y ajoute que la Cour d’Appel de Saint-Louis, par l’arrêt N° 51 rendu le 27 août dernier, demande à la partie adverse de rendre les documents comptables sous astreinte de 25 000 Fcfa par jour de retard. Cet arrêt leur a été signifié le 7 décembre 2013.
- Pour le reste, il est loisible à tout justiciable de faire appel d’une décision de justice, ce que j’ai fait. Le droit se dit au tribunal, laissons aux juges le soin de trancher les débats.
S’il était avéré que 13 millions de francs avaient été dissipés, considérant son chiffre d’affaires annuel, l’auberge ne pourrait payer que les salaires et les indemnités, Cela voudrait dire que les autres charges de fonctionnement, eau/ électricité/ téléphone/internet/ entretien/sécurité sociale/IPRES/TVA/TPT/IPM/patente, taxe sur la publicité, etc … ne sauraient être assurées, encore moins les investissements. A l’évidence, ce chiffre est fabriqué. La partie adverse doit apporter les charges de la preuve. Ce n’est pas encore le cas.
Rappelons que la présomption d’innocence est un pilier fondamental sur lequel repose l’état de droit et il doit absolument respecté.
Un expert a été commis par le tribunal pour auditer ma gestion, attendons ses conclusions.
La somme de 2 300 000 Fcfa représente des mois de salaires virés dans mon compte. Par conséquent, il n’y avait pas lieu de la rembourser. C’est sous la contrainte que je l’ai donnée au gendarme.
Sur les condamnations supposées
- J’ai fait l’objet de quatre procédures judiciaires successives quatre jours après ma prise de fonction. Ce qui confirme l’acharnement dont j’ai tant fait mention. Le Tribunal Régional de Saint-Louis a ordonné l’arrêt des poursuites contre ma personne le 30 juin 2012, les plaintes pour détournement étant non fondées, dixit les juges.
- Il s’y ajoute que la Cour d’Appel de Saint-Louis, par l’arrêt N° 51 rendu le 27 août dernier, demande à la partie adverse de rendre les documents comptables sous astreinte de 25 000 Fcfa par jour de retard. Cet arrêt leur a été signifié le 7 décembre 2013.
- Pour le reste, il est loisible à tout justiciable de faire appel d’une décision de justice, ce que j’ai fait. Le droit se dit au tribunal, laissons aux juges le soin de trancher les débats.