Ce jeudi 03 avril 14, suite à la énième audition de Monsieur Karim Wade à la CREI (Cour qui ne respecte pas la LOI), les jeunes libéraux, venus apporter, sans tambour ni trompettent, leur soutien moral à un frère injustement détenu, ont été interpellés par la police et conduits au commissariat central pour le motif fallacieux et saugrenu de trouble à l’ordre public. Derrière cet acte anti démocratique, n’y a –t-il pas une ferme volonté d’intimidation ? Depuis quand une expression de solidarité à l’endroit d’un frère, d’un concitoyen est-il un crime ? Depuis quand la libre expression d’un sentiment est considérée comme un trouble à l’ordre public ?
Considérant que la Constitution garantit aux citoyens la liberté d’expression, le MEEL-UGB :
• exige la libération sans délai ni condition des frères arbitrairement détenus ;
• dénonce manifestement et vigoureusement le non respect des droits de l’homme qui est de plus en plus érigé en règle dans notre pays ;
• et interpelle l’opinion nationale et internationale sur les graves manquements de l’Etat du Sénégal par rapport aux droits de l’Homme.
Fait à Saint-Louis, le 03 avril 2014
Le Secrétaire Général
Abdou Khadre SANO
Considérant que la Constitution garantit aux citoyens la liberté d’expression, le MEEL-UGB :
• exige la libération sans délai ni condition des frères arbitrairement détenus ;
• dénonce manifestement et vigoureusement le non respect des droits de l’homme qui est de plus en plus érigé en règle dans notre pays ;
• et interpelle l’opinion nationale et internationale sur les graves manquements de l’Etat du Sénégal par rapport aux droits de l’Homme.
Fait à Saint-Louis, le 03 avril 2014
Le Secrétaire Général
Abdou Khadre SANO