Sachant d’emblée, que M. Sonko aura sûrement beaucoup d'autres choses importantes a faire qu’a répondre a vos inepties, qui, témoignent plus votre mauvaise foi que votre impertinence inouïe, je me suis donné le grand plaisir d’écrire ces quelques lignes en guise de réponse a votre contribution sur la sortie de M.SONKO, par rapport a la dotation de carburant.
Je ne m’attarderai pas sur le début de votre argumentaire, ou précisément, vous évoquez le sois disant manquement a l’obligation de réserve de M. Sonko. Puisque, ni vous, ni personne d'ailleurs n’arrivera à le prouver. Et que, malheureusement pour vous, cette argumentation sent aujourd’hui le réchauffé, qui, avec l’usure du temps, a perdu toute odeur et toute saveur.
Le patriotisme de M. Sonko n’est plus une chose à prouver. Car, pour quelqu’un qui pouvais faire le choix de s’enrichir a outrance sur le dos de l’état, qui pouvait se la couler douce dans son bureau climatisé, puis chaque soir, rentrer tranquillement chez lui ou bien faire le tour des driankés de Dakar avec les poches remplies de l’argent du contribuable sénégalais sans être inquiété, faire le choix de s’engager en politique, de se dresser contre un système pourri-corrompu, avec tous les risques que cela peut comporter, ne peut que constituer pour nous une preuve indéniable de courage et de patriotisme.
Au demeurant, en ce qui concerne la dotation de carburant, vous êtes la entrain de rater Mme Thiam, une occasion historique de vous comporter en « femme d’état ». Puisqu’on est la entrain de vous montrer la lune, vous êtes la entrain de commenter le doigt qui vous la montre. Le fond du débat n’est ni total, ni shell, ni touba oil encore moins la personne de Ousmane sonko.
La question fondamentale qu’il y a à se poser aujourd'hui, est qu’après le consommé local chanté urbi et orbi par le gouvernement actuel, devons nous encore voir des institutions publiques se ravitailler en carburant au prés de multinationaux étrangers alors qu’elles pouvaient bien le faire auprès d’entreprises locales.
Pour des économies fragiles aux entreprises balbutiantes comme la notre, le consommer local devient plus qu’une nécessité pour la consolidation et le développement économique. Donc, que touba oil soit une filiale de total ou pas, une chose que vous-même vous êtes incapable d’affirmer ou d’infirmer, cela ne change en rien au fait que, les institutions publiques, doivent en toute chose, privilégier les compétences locales, avant de se tourner vers les entreprises étrangères.
Pour la question des emplois générés, je me demande bien d’où est ce que vous sortez de telles sottises ? Puisque, d’après les infos disponibles sur le site internet de total, en 2016, l’entreprise employait 1800 français rien qu’en recherche et développement, alors qu’elle n’employait que 180 sénégalais dans toute l’étendue du territoire. Voila une preuve palpable qu’avoir notre « total senegalais » a beaucoup plus d’impact sur le problème de l’emploi, que de se fier a une entreprise étrangère pour la gestion de cette question délicate.
En ce qui concerne le reste de vos niaiseries, je ne m’y attarderai pas, l’histoire nous jugera.
Baye Mamadou Lahi Diagne, Coordonnateur de Pastef-ugb
LE DON DE SOI POUR LA PATRIE
Je ne m’attarderai pas sur le début de votre argumentaire, ou précisément, vous évoquez le sois disant manquement a l’obligation de réserve de M. Sonko. Puisque, ni vous, ni personne d'ailleurs n’arrivera à le prouver. Et que, malheureusement pour vous, cette argumentation sent aujourd’hui le réchauffé, qui, avec l’usure du temps, a perdu toute odeur et toute saveur.
Le patriotisme de M. Sonko n’est plus une chose à prouver. Car, pour quelqu’un qui pouvais faire le choix de s’enrichir a outrance sur le dos de l’état, qui pouvait se la couler douce dans son bureau climatisé, puis chaque soir, rentrer tranquillement chez lui ou bien faire le tour des driankés de Dakar avec les poches remplies de l’argent du contribuable sénégalais sans être inquiété, faire le choix de s’engager en politique, de se dresser contre un système pourri-corrompu, avec tous les risques que cela peut comporter, ne peut que constituer pour nous une preuve indéniable de courage et de patriotisme.
Au demeurant, en ce qui concerne la dotation de carburant, vous êtes la entrain de rater Mme Thiam, une occasion historique de vous comporter en « femme d’état ». Puisqu’on est la entrain de vous montrer la lune, vous êtes la entrain de commenter le doigt qui vous la montre. Le fond du débat n’est ni total, ni shell, ni touba oil encore moins la personne de Ousmane sonko.
La question fondamentale qu’il y a à se poser aujourd'hui, est qu’après le consommé local chanté urbi et orbi par le gouvernement actuel, devons nous encore voir des institutions publiques se ravitailler en carburant au prés de multinationaux étrangers alors qu’elles pouvaient bien le faire auprès d’entreprises locales.
Pour des économies fragiles aux entreprises balbutiantes comme la notre, le consommer local devient plus qu’une nécessité pour la consolidation et le développement économique. Donc, que touba oil soit une filiale de total ou pas, une chose que vous-même vous êtes incapable d’affirmer ou d’infirmer, cela ne change en rien au fait que, les institutions publiques, doivent en toute chose, privilégier les compétences locales, avant de se tourner vers les entreprises étrangères.
Pour la question des emplois générés, je me demande bien d’où est ce que vous sortez de telles sottises ? Puisque, d’après les infos disponibles sur le site internet de total, en 2016, l’entreprise employait 1800 français rien qu’en recherche et développement, alors qu’elle n’employait que 180 sénégalais dans toute l’étendue du territoire. Voila une preuve palpable qu’avoir notre « total senegalais » a beaucoup plus d’impact sur le problème de l’emploi, que de se fier a une entreprise étrangère pour la gestion de cette question délicate.
En ce qui concerne le reste de vos niaiseries, je ne m’y attarderai pas, l’histoire nous jugera.
Baye Mamadou Lahi Diagne, Coordonnateur de Pastef-ugb
LE DON DE SOI POUR LA PATRIE