La grande faucheuse a encore frappé. C’est dans le milieu de la communication et du journalisme. Elle a emporté un jeune pétri de talent. Farba Alassane Sy. Ce nom peut ne pas vous dire grand chose dans le milieu de la presse mais pour ce qui est de la communication. Oui. Le bonhomme très affable et dynamique est parti sur la pointe des pieds.
En allant à son bureau ce matin à bord de son véhicule, il ne savait pas qu’il ne retournerait plus jamais à son domicile. Il a été terrassé par un méchant malaise qui ne lui a malheureusement pas laissé le choix. Avant que ses collègues de travail ne comprennent, la faucheuse sournoise et impénitente s’est pointée. A la clinique, le décès est constaté.
En allant à son bureau ce matin à bord de son véhicule, il ne savait pas qu’il ne retournerait plus jamais à son domicile. Il a été terrassé par un méchant malaise qui ne lui a malheureusement pas laissé le choix. Avant que ses collègues de travail ne comprennent, la faucheuse sournoise et impénitente s’est pointée. A la clinique, le décès est constaté.
Farba Alassane Sy, petit au parcours bigarré. Après le prytanie militaire de Saint louis, il est parti à l’hexagone, à l’université de Nice où il a fait information communication. A son retour pays de la teranga, le jeune qui a eu à flirter avec le mouvement Thiantacoune de Cheikh Béthio Thioune a embrassé le monde des médias. Il a intégré la rédaction de Kotch le Journal, une entité du groupe d’Abdoulaye Bamba Diallo.
De ce quotidien, à la faveur de l’alternance de mars 2012, il est mis en rapport avec le Ministre de la Communication, des TIC et des Télécom de l’époque, Abou Lo. Sa loyauté avec cette autorité lui a valu par la suite sa migration avec le monsieur membre de la Direction de l’APR vers l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP). Une Agence qui finalement fait partie de son ADN malgré les vicissitudes et contingences politiciennes.
Farba Alassane Sy avait fini par marquer la facekookosphère. Par ses chroniques, cet addict de la plume partageait très souvent avec ses «amis» sur la toile ses humeurs et autres entorses à la bienséance. Ce que j’adorais à lire chez lui, ce sont ses carnets de voyage. A chaque fois, Farba visitait une contrée, il partageait ses moments forts et donnait envie à ses amis de s’y rendre.
J’ai été tellement meurtri que j’ai pu croire à la nouvelle de ton décès. J’ai écrasé des larmes. J’ai eu tellement mal que je me suis levé sans savoir quelle direction prendre.
Farba Alassane, j’ai repris la plume pour te rendre hommage, prier pour toi mais surtout pour tes petits enfants si aimables. Tu étais trop attaché à ces petits moments et je me rappelle de nos discussions sur la douleur de la séparation. Une leçon de vie qui m’est très utile mon frère. Avec toi, j’ai appris aussi qu’en ce bas monde, rien ne sert de courir. Le bien matériel est insignifiant et les relations humaines malgré nos différences et nos appartenances.
Ton départ est si brusque que ma douleur est sans égale. Ce que je retiens de toi, c’est ton dynamisme, ta sincérité, ta loyauté. Des valeurs rares en ce 21e siècle.
Repose en paix mon frère et qu’Allah t’absout de tous tes péchés
Ibrahima Lissa FAYE
Journaliste à PressAfrik
De ce quotidien, à la faveur de l’alternance de mars 2012, il est mis en rapport avec le Ministre de la Communication, des TIC et des Télécom de l’époque, Abou Lo. Sa loyauté avec cette autorité lui a valu par la suite sa migration avec le monsieur membre de la Direction de l’APR vers l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP). Une Agence qui finalement fait partie de son ADN malgré les vicissitudes et contingences politiciennes.
Farba Alassane Sy avait fini par marquer la facekookosphère. Par ses chroniques, cet addict de la plume partageait très souvent avec ses «amis» sur la toile ses humeurs et autres entorses à la bienséance. Ce que j’adorais à lire chez lui, ce sont ses carnets de voyage. A chaque fois, Farba visitait une contrée, il partageait ses moments forts et donnait envie à ses amis de s’y rendre.
J’ai été tellement meurtri que j’ai pu croire à la nouvelle de ton décès. J’ai écrasé des larmes. J’ai eu tellement mal que je me suis levé sans savoir quelle direction prendre.
Farba Alassane, j’ai repris la plume pour te rendre hommage, prier pour toi mais surtout pour tes petits enfants si aimables. Tu étais trop attaché à ces petits moments et je me rappelle de nos discussions sur la douleur de la séparation. Une leçon de vie qui m’est très utile mon frère. Avec toi, j’ai appris aussi qu’en ce bas monde, rien ne sert de courir. Le bien matériel est insignifiant et les relations humaines malgré nos différences et nos appartenances.
Ton départ est si brusque que ma douleur est sans égale. Ce que je retiens de toi, c’est ton dynamisme, ta sincérité, ta loyauté. Des valeurs rares en ce 21e siècle.
Repose en paix mon frère et qu’Allah t’absout de tous tes péchés
Ibrahima Lissa FAYE
Journaliste à PressAfrik