La Division des investigations criminelles (DIC) a perquisitionné le domicile de l’Agent comptable de la Commission de régulation du secteur de l’énergie (CRSE), Tabaski NGOM, situé aux Maristes. Cette intervention fait suite à des allégations graves de détournement de deniers publics alors qu’elle occupait son poste, tant à la CRSE qu'à l'Agence d'aménagement et de promotion des sites industriels (APROSI).
Selon les informations rapportées par Libération, les enquêteurs ont découvert des documents révélateurs concernant le patrimoine immobilier de l’inspectrice du Trésor. Parmi ces éléments, un titre foncier à Pikine, un bail situé dans la zone de l'aéroport Léopold Senghor, ainsi que deux terrains à Mbomboye (Notto Diobass) et une parcelle à Sam Notaire, où un projet de construction d’une villa de deux niveaux est en cours. Ces révélations soulèvent des questions quant à l'origine des fonds ayant permis l'acquisition de ces biens.
Le parquet financier aurait déjà demandé la saisie provisoire de ce patrimoine foncier dans son réquisitoire, renforçant l'idée que ces acquisitions pourraient être le fruit d'activités illicites. De plus, lors de la perquisition, plusieurs factures afférentes à des transactions douteuses ont également été saisies. Ces documents portent des noms de sociétés qui auraient reçu des paiements de l'APROSI, incitant les enquêteurs à vérifier la validité de ces opérations, dans l’éventualité où elles seraient liées à des marchés fictifs.
Selon les informations rapportées par Libération, les enquêteurs ont découvert des documents révélateurs concernant le patrimoine immobilier de l’inspectrice du Trésor. Parmi ces éléments, un titre foncier à Pikine, un bail situé dans la zone de l'aéroport Léopold Senghor, ainsi que deux terrains à Mbomboye (Notto Diobass) et une parcelle à Sam Notaire, où un projet de construction d’une villa de deux niveaux est en cours. Ces révélations soulèvent des questions quant à l'origine des fonds ayant permis l'acquisition de ces biens.
Le parquet financier aurait déjà demandé la saisie provisoire de ce patrimoine foncier dans son réquisitoire, renforçant l'idée que ces acquisitions pourraient être le fruit d'activités illicites. De plus, lors de la perquisition, plusieurs factures afférentes à des transactions douteuses ont également été saisies. Ces documents portent des noms de sociétés qui auraient reçu des paiements de l'APROSI, incitant les enquêteurs à vérifier la validité de ces opérations, dans l’éventualité où elles seraient liées à des marchés fictifs.