Il y a dans le pays, des initiatives privées qui sont bonnes à savoir et qui peuvent créer une certaine émulation chez d’autres. Visitez la ferme du groupe Thimbo sise à Semmé (Région de Matam) et vous serez séduits par la race des vaches. Selon le Gérant Souleymane Sow, de 14 sujets en 2006, la ferme compte aujourd’hui pas moins de 80.
Disposées dans une grande étable d’environ une centaine de mètre avec plusieurs compartiments, les bêtes attirent par leur beauté, leur taille et surtout leur masse qui n’ont rien à envier à celles exposées à la plus grande ferme du monde, le Salon International de l’Agriculture de Paris (SIA). Ici à Semmé on peut être fier d’avoir des « Holshteing» en provenance de Belgique qui sont mis en croisement avec les races locales et les résultats obtenus sont simplement fascinants.
Sur un autre endroit, des moutons de diverses races (bali-bali, laadoum, etc) font remarquer aux visiteurs que la plupart des femelles sont grosses.
Sur le plan de l’alimentation, Mr Sow affirme utiliser les céréales locales, la paille de riz améliorée mais surtout les cultures fourragères exploitées sur d’autres sites. Il y a une parcelle de 5ha d’arachide arrivée à maturité, une autre d’1 ha de « fausse canne » et enfin une 3è parcelle en cours de culture avec de la patate douce.
En plus de l’embouche, la ferme produit plus de 70 litres de lait chaque jour par traite manuelle en attendant la modernisation des installations en cours.
Madine NDAO
Disposées dans une grande étable d’environ une centaine de mètre avec plusieurs compartiments, les bêtes attirent par leur beauté, leur taille et surtout leur masse qui n’ont rien à envier à celles exposées à la plus grande ferme du monde, le Salon International de l’Agriculture de Paris (SIA). Ici à Semmé on peut être fier d’avoir des « Holshteing» en provenance de Belgique qui sont mis en croisement avec les races locales et les résultats obtenus sont simplement fascinants.
Sur un autre endroit, des moutons de diverses races (bali-bali, laadoum, etc) font remarquer aux visiteurs que la plupart des femelles sont grosses.
Sur le plan de l’alimentation, Mr Sow affirme utiliser les céréales locales, la paille de riz améliorée mais surtout les cultures fourragères exploitées sur d’autres sites. Il y a une parcelle de 5ha d’arachide arrivée à maturité, une autre d’1 ha de « fausse canne » et enfin une 3è parcelle en cours de culture avec de la patate douce.
En plus de l’embouche, la ferme produit plus de 70 litres de lait chaque jour par traite manuelle en attendant la modernisation des installations en cours.
Madine NDAO