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Une plateforme régionale de plaidoyer en faveur des jeunes dans le cadre de l’éducation sexuelle complète en milieu extra-scolaire, été mise sur orbite, vendredi, en présence de l’adjoint au maire de Saint-Louis chargé de la santé et du directeur du service régional de la jeunesse.
Plusieurs représentants de conseil de jeunes de la région, acteurs évoluant dans ce secteur, ont été conviés au lancement de cette nouvelle entité soutenue par l’UNFPA et qui se veut un innovant cadre d’échanges et de réflexion sur la santé sexuelle et reproductive des jeunes.
Birame Tabara NDIAYE, l’administrateur de l’Espaces Jeunes de Saint-Louis, organisateur de ce conclave, s’est réjoui des « résultats satisfaisants » enregistrés dans le domaine de la lutte contre la propagation de maladies sexuellement transmissibles (MST) au niveau des jeunes, en invitant les parties prenantes « à maintenir le cap ».
« En 2016, 75 cas d’infections ont été détectés et traités chez les jeunes », a-t-t-il révélé en indiquant « qu’aucun cas de VIH/ SIDA n’a été enregistré ».
L’adjoint au maire de Saint-Louis chargé de la santé a exprimé la satisfaction de la Commune de constater la création d’une « plateforme pertinente ».
Lamine NDIAYE qui a mené d’importants échanges avec les jeunes participants, en marge de l’atelier, a fait part de l’engagement et de la disponibilité de la Mairie à soutenir son fonctionnement.
►►► Suivez les explications de Birame Tabara NDIAYE
Plusieurs représentants de conseil de jeunes de la région, acteurs évoluant dans ce secteur, ont été conviés au lancement de cette nouvelle entité soutenue par l’UNFPA et qui se veut un innovant cadre d’échanges et de réflexion sur la santé sexuelle et reproductive des jeunes.
Birame Tabara NDIAYE, l’administrateur de l’Espaces Jeunes de Saint-Louis, organisateur de ce conclave, s’est réjoui des « résultats satisfaisants » enregistrés dans le domaine de la lutte contre la propagation de maladies sexuellement transmissibles (MST) au niveau des jeunes, en invitant les parties prenantes « à maintenir le cap ».
« En 2016, 75 cas d’infections ont été détectés et traités chez les jeunes », a-t-t-il révélé en indiquant « qu’aucun cas de VIH/ SIDA n’a été enregistré ».
L’adjoint au maire de Saint-Louis chargé de la santé a exprimé la satisfaction de la Commune de constater la création d’une « plateforme pertinente ».
Lamine NDIAYE qui a mené d’importants échanges avec les jeunes participants, en marge de l’atelier, a fait part de l’engagement et de la disponibilité de la Mairie à soutenir son fonctionnement.
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NDARINFO.COM
