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Du pluralisme linguistique sénégalais au fantasme du UN : l’Etat, le citoyen, le langagier !

« L’idéologie… est cannibale dans la mesure où elle nie l’autre dans sa différence pour n’en retenir que ce qu’elle peut faire soi » (L.-J. Calvet, [1974] 2002 :47) « L’idéologie ne supporte pas le pluralisme » (A. Appelfeld, 2004 :125)

Samedi 12 Avril 2014

La meilleure manière de répondre à une provocation c’est de se taire, avait l’habitude de dire un sage au village. Une vérité certes, mais devrais-je taire ma pensée pour ensuite me culpabiliser demain ? Je préfère désobéir à cet aîné malgré que je sois issu d’une société où le respect, l’obéissance et la soumission sont un devoir moral.


En août 2009, un député libéral plaidait déjà pour la cause fantasmatique d’une homogénéisation linguistique qui permettrait au Sénégal d’avoir une « identité nationale ». Le XXIème siècle pourrait certainement être baptisé « Ère des identités nationales » ! Il suggérait ainsi que devienne obligatoire l’usage de la langue wolof sur toute l’étendue du territoire national, à tous les citoyens. Et, à cette langue, on adjoindrait la langue dominante du milieu (région, département ou ville).

Le mercredi 06 avril 2011, un « enseignant-chercheur », publie sur la même question un article intitulé « Langues nationales : problématiques, défis et enjeux économiques ». Il y expose « sa » politique par une série de questions dont je retiens les deux suivantes. Dans ce qu’il a appelé « combat contre l’hégémonie de la langue française », il se demande « Pourquoi continue-t-on alors à conserver le français comme seule langue officielle au Sénégal alors que le peuple dans son écrasante majorité ne le comprend pas ? Qu’est ce qui nous empêche alors d’officialiser certaines langues nationales comme le wolof par exemple ? » Et, tentant de répondre à ces questions, il affirme que « c’est d’ailleurs même contraire à la démocratie qui veut que tout soit fait pour l’intérêt de la majorité ». Certaines « études » faisant croire à l’opinion que le wolof est parlé par plus de 80% de la population nationale, il faut l’officialiser ! Ce qui, pour lui, serait pourtant quelque chose de légitime.

Trois années plus tard, le 06 avril 2014 précisément, le même « enseignant-chercheur » (informaticien de surcroît, donc sans connaissance aucune en linguistique », récidive avec un article qu’il a intitulé « L'industrie linguistique le parent pauvre de notre économie. » Le contenu de son texte est et reste le même, c’est-à-dire bouter le français hors de nos frontières pour le remplacer par le wolof si nous voulons réussir le pari de l’éducation et par conséquent, développer notre pays.

Je me propose donc ici d’apporter ma modeste contribution sur cette question liée au contact de langues et donc à la gestion dudit contact que certains appellent politique, régulation, planification, normalisation ou encore aménagement linguistique.


La langue « maternelle », un DROIT pour tout citoyen
Mon but n’est pas d’entrer dans un débat futile. Bien au contraire, je tente plutôt d’attirer l’attention de ceux-là qui véhiculent ces idées sur un certain nombre de points ainsi que les éventuelles conséquences auxquelles nous pourrions faire face demain dans ce beau pays nôtre. En effet, contrairement à ce que les défenseurs d’une unité linguistique sénégalaise semblent ignorer, j’ose affirmer que la question relative à la gestion du plurilinguisme qu’ils abordent sans retenue aucune est si complexe que les décisions ne peuvent se prendre aussi facilement qu’ils le suggèrent. D’ailleurs contrairement à ce qu’ils pensent, la quasi-totalité des linguistes reconnaissent que :
 L’apprentissage, l’usage et l’enseignement de la langue de tout citoyen est un droit ;

 Ce n’est pas la taille de la population parlant une langue donnée qui fait la vitalité de celle-ci (Bourrhis et al, 1994 ; Eloy, 1998 ; Gasquet-Cyrus & Petitjean, 2009). Partant de là, on comprend que même si le wolof était parlé par 99,99% de la population Sénégalais, cela ne signifie pas qu’elle « vit » plus que les autres parlées par les groupes dits minoritaires ou minorés.

 Le plurilinguisme n’est pas un frein au développement économique encore moins une quelconque entrave à la performance de l’élève/étudiant dans son processus d’apprentissage. Et à titre d’exemple, nous avons des pays comme la Suisse, le Canada, la Belgique…, qui sont à la fois des pays multilingues et développés (Di Pietro et Matthey, 1997; Heller, 2002 ; Lüdi & Py, 1995, 2002, etc.).

En partant de là, nous voyons nettement que même si l’enseignement est un droit, il ne doit pas être imposé par voie d’une force qui se dit démocratique ; sachant que ladite démocratie n’est plus que de nom dans le monde d’aujourd’hui. Il suffit de voir ce qui se passe autour de nous dans le domaine politique pour s’en convaincre. Il ne serait cependant pas superflu de penser à la démocratie représentative plutôt qu’à la démocratie participative dans un contexte multiculturel comme le nôtre. L’enseignement doit au contraire toujours être au service de la diversité linguistique et culturelle, favoriser l’établissement de relations harmonieuses entre les différentes communautés linguistiques en mettant en œuvre, transitoirement, le principe de recoupement par consensus. Cela signifie que chaque citoyen est libre (donc a plein droit) d’apprendre la langue de son choix.

D’ailleurs, d’après la Déclaration Universelle des Droits Linguistique (D.U.D.L.) adoptée à Barcelone (Espagne) en 1996, il est clairement dit que « Toute communauté linguistique a droit à un enseignement qui permette à ses membres d’acquérir une connaissance des langues liées à leurs propres traditions culturelles...» (Section II, art. 26).
A partir de cet article, nous comprenons donc que tout citoyen Sénégalais a le droit de recevoir l’enseignement dans la langue de sa propre communauté quand bien même cela n’exclut pas le droit d’accès à la connaissance orale et écrite de toute autre langue qui pourrait lui servir d’outil de communication avec les autres communautés linguistiques. D’ailleurs, en son article 7 alinéas 1 et 2, la D.U.D.L. va encore plus loin. Il y est dit explicitement que :
1. Toutes les langues sont l’expression d’une identité collective et d’une manière distincte, elles permettent de percevoir et de décrire la réalité et de ce fait, elles doivent pouvoir bénéficier des conditions nécessaires pour leur développement dans toutes leurs fonctions.
2. Chaque langue est une réalité constituée collectivement et c’est au sein d’une communauté qu’elle devient un instrument de cohésion, d’identification, de communication et d’expressivité créatrice, disponible pour l’usage individuel.

Peut-on donc ôter ce droit à un citoyen en se fondant tout simplement sur les arguments avancés par les défenseurs du monolinguisme susmentionnés ? Ce que défendent certains Sénégalais partisans d’un monolinguisme imposé aux autres communautés dites minoritaires/minorées est ce que J.-P. Dubois appelle de ses vœux « l’enfermement des individus dans l’assignation à résidence communautaire » ou tout simplement « le couple infernal de l’uniforme et de l’identitaire ». Et c’est justement cet enfermement dans une langue UNE et non plurielle que revendiquent avec acharnement les tenants de la pureté illusoire et de la clôture uniformisant, version moderne du primitivisme.

Si la triade un Etat = un peuple = une langue a longtemps hanté l’esprit du politique ou du citoyen rêveur, nous affirmons avec Louis-Jean Calvet qu’ « on peut arracher à un homme beaucoup de choses, on ne pourra jamais, même au nom de la langue des autres, lui arracher sa propre langue avec son consentement [...]. Nulle part, jamais des locuteurs n’ont tué leur langue : on la tue pour eux, à leur corps défendant, et du même coup on tue un peu d’eux-mêmes », ([1974] 2002 :206). Cela signifie, en d’autres termes, que quelque important que soit le nombre des membres de la communauté dominante, on ne peut se baser sur de simples chiffres pour décider de quelle politique linguistique adopter.

Bien que « la pensée dominante est en quelque sorte la pensée marketing dont la devise pourrait être ‘big is beautiful’ » (Eloy, op. cit : 91), nous pouvons tout de même nous demander s’il est pertinent d’évaluer quantitativement une langue comme on le fait souvent avec le wolof en avançant les 80% de sénégalais qui en parleraient. A ceux qui défendent cet argument, je rappelle ici que les chiffres restent des chiffres et pour qu’ils aient un sens, il faut les faire parler. Or, nous savons tous que lorsqu’on fait parler un chiffre, lorsqu’on interprète une donnée statistique, c’est le point de vue du chercheur lui-même qui est véhiculé.

Osons croire que les conflits interethniques n'agiteront pas notre cher Sénégal avec toutes les conséquences que cela peut entraîner (cf: la question de la Belgique restée pendant plusieurs mois sans Gouvernement à cause des divergences linguistiques ou encore, le problème des Balkans né depuis les années 20s à cause du centralisme linguistique et dont les conséquences ne sont ressenties que 70 ans après ; c’est-à-dire à la fin des années 90). Nous ne sommes tout de même pas à l’abri de ce que vivent nos voisins, l’instinct de thanatos étant consubstantiel à l’Homme ; le tout étant les conditions de sa réactivation dont certainement l’instrumentalisme et l’essentialisme. Tous ces débats reposent la nécessaire « réévaluation » des facteurs structurants de la Nation, l’égalité des citoyens, les politiques publiques en général, celles éducatives en particulier dans leur mission de construction d’un « en-commun » pertinent, significatif et dynamique.



Dr Albinou NDECKY
Sociolinguiste
Université Gaston Berger
ndeckyalbinou@yahoo.fr


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1.Posté par Omzo le 12/04/2014 12:55
« contrairement à ce que les défenseurs d’une unité linguistique sénégalaise semblent ignorer »: relisez votre texte, Professeur et peut-être, aurez-vous besoin de changer quelque chose dans ce bout de phrase qui menace dangereusement tout votre argumentaire. Argumentaire qui semble plus reposer sur une peur panique de l’hégémonie wolof que sur une analyse scientifique rigoureuse. Et, rappeler encore une fois que trop de citations dans un texte, même si elles permettent d’étaler de douteuses connaissances livresques, nuisent à l’autorité de l’auteur surtout lorsque il ouvre son argumentaire par celles-ci

2.Posté par xalat le 12/04/2014 18:56
omzo,il faut poursuivre la phrase ,moi je comprends bien ce qu'il veut dire

3.Posté par xalat le 12/04/2014 19:01
LE SENEGAL EST UN CHANTIER QUI N'A PAS ENCORE DEMARRE

4.Posté par Bouba Diop le 12/04/2014 22:06
C'est très convaincant et intelligemment exposé.

5.Posté par Omzo le 13/04/2014 11:42
Vous comprenez parfaitement le charabia alors ! Vous méritez d’entrer dans le Guinness. Plus sérieusement, je pense que vous devriez donner au Professeur la chance de se rectifier car c’est évident que c’est une erreur de prétendre comprendre « le contraire de ce que les gens ignorent ». Parce que le Professeur ne dit pas autre. Je ne doute pas un instant que ce soit une erreur mais elle est énorme. Au lieu de jouer les thuriféraires de service, faites preuve d’un peu plus de retenue et de recul !

6.Posté par Bouba Diop le 13/04/2014 16:29
Omzo, vous êtes un prétentieux à la "supériorité intellectuelle" à démontrer: allez-y de votre pamphlet pro-wolof! Quand bien même il a commis cette erreur de sens, je répète que son propos est cohérent et bien argumenté. Et je vous prie de ne pas me chercher noise, ce serait hors sujet...Je ne suis pas un flatteur, ni un flagorneur et je distribue les satisfecit si cela me plait!

7.Posté par xalat le 14/04/2014 18:14
pas de polemique ,il faut terminer la phrase et on verra

8.Posté par Bouba Diop le 17/04/2014 09:03
Thiedane je pense que, sans combattre un tel ou un tel, il faut faire un choix, lorsque l'on est un électeur. Omzo a la mémoire courte: le bilan et le contre-bilan a été fait ici, à ma demande d'ailleurs...Effectivement, c'est un partisan de CBD

9.Posté par fatou le 17/04/2014 20:53
Xalat a bien raison de dire que le Sénégal est un chantier n'ayant pas encore démarré. Omzo, je me demande de quelle contrée tu es issu. Le terme "professeur" ne signifie nullement "être pédant, prétentieux" mais spécaliste de quelque chose que le tituliaire de la qualification peut enseigner. Mr Ndecky a eu un argumentaire cohérent et fiable pour nous linguistes. je te dis au cas où tu ne le saurais que la linguistique c'est l'étude scientifique du langage. Il est sociolinguistique, il étudie la langue dans la société. Un chercheur se doit d'actualiser sans répit ses connaissances, et les citations dont tu parles ne sont que les résultats de recherches conduites par des spécialistes et professionnelles du domaine.
ce que l'on devrait éviter et qui est le pire mal du Sénégal, c'est que des novices se prononcent sur des choses qu'ils ne maitrisent pas.
Les mathématiques sont des chiffres, elles relèvent du domaine des sciences expérimentales, mais la linguistique relève du domaine des sciences sociales. bien qu'aujourd'hui, en tout domaine l'interdisciplinarité fait de sorte que els chercheurs peuvent se côtoyer, à chacun son domaine quand même.
Une politique linguistique est une chose à ne pas prendre la légère, surtout en Afrique. Il est connu que c'est le continent dont il est difficile de dénombrer ses langues. la langue est affiliée à la culture, la culture est affiliée à l'identité d'un individu, à son soi. quand on lui ampute une part de lui, il y a des risques de ce qu'on appelle schizophrénie: perte de l'identité.
certaines études antérieures l'ont démontré auprès des émigrés qui se sont vus imposer une langue donnée. des travaux mettent en lien le lien entre langue et culture, langue et société, société et culture. si on t'enlève ton wolof, Omzo, on t'enlève l'ensemble des normes et valeurs qui caractérisent ta culture, ton patrimoine. mets toi à la place de celui qui parle pular, mandinka, sous prétexte que leurs langues ne sont pas celles de la majorité. il y a plus près. le wolof n'est pas la langue la plus parlée d'Afrique. Voyage et pourvu que ce gouvernement décide d'imposer le Swahili, le Haoussa et tu comprendras parfaitement ce que le Docteur Ndecky veut dire.
je l'espère enfin, car entre être un intellectuel et un instruit, il ya une différenc.

10.Posté par Omzo le 17/04/2014 23:08
Cheikh Bamba Dieye va vous rendre fou ! Bouba, tu as dû te tromper d’article je crois. Bref
La Fatou, tu mets vraiment les pieds dans le plat : une véritable diarrhée verbale, festival de banalités et flots e redites. Rappel quand-même de ce qui fait l’essentiel de mon post :
Professeur relisez votre texte, vous vous êtes certainement trompé car la phrase « En effet, contrairement à ce que les défenseurs d’une unité linguistique sénégalaise semblent ignorer » est un vrai non sens. Et même Bouba semble le reconnaître dans l’un de ses posts ; le reste relève de l’appréciation personnelle des uns et des autres. Quant aux attaques personnelles, j’en ai horreur même derrière l’intimité d’un écran d’ordinateur !!!

11.Posté par Xunxunöor le 24/04/2014 18:15
Que de théories sur les langues nationales depuis les indépendances.!..des théories dites scientifiques, souvent bien généreuses. Cela me fait penser à la revue "Kaddu", une initiative bien concrète celle-là, mais qui a fait long feu. Hélas! ...Mais des théoriciens qui s'expriment à merveille dans la langue de ...l'autre, celle là qui pourtant leur a permis d'en arriver là où ils en sont aujourd'hui.
En tout cas, en attendant que la volonté politique se décide à démêler cet écheveau (nos 6 langues nationales), permettez pour ma part que je considère la langue de Ronsard comme ma deuxième langue maternelle...En réalité, n'avons nous pas tous tété, tant que nous sommes, à deux seins différents?
Mais faisons vite! Car il semble d'après l'Unesco, que chaque année, c'est une dizaines de langues (dialectes? patois? idiomes?) qui meurent, qui disparaissent à jamais de cette Tour de Babel qu'est devenue notre planète.

12.Posté par fatou le 25/04/2014 21:50
Omzo, tu perds les pédales. ton problème c"'est que tu t'exprimes mal. diarrhée verbale? MDR! Il faut toujours remettre des pédants ignorants sur le chemin. bcp d'autres ont fait des commentaires, aucun n'a eu cette acidité.tu n'as même pas bien lu Ndecky.le blem c pa cette expression que ta souligné, c tte ta litérature et la manière dont tu ty es pri qui dérange! ma classe c bien maré lorkon ta lu, j te jur! on peut insulter la personne avec la manière, c'est malheureuzma une leçon no sue pour toi. Bouba fait partie de ces gens qui réléchissent. toi par contre...tu ferais un mauvais critique!
Sans rancune NAK!
xunxunoor! belle intervention! t libre de prendre la langue de ronsard com langue maternelle! la langue est une chose personnelle qui ne doit nullement etre imposée!
omzo! prends en de la graine! ça pourrait te servir un jour...linguistiquement...

13.Posté par Omzo le 26/04/2014 00:21
Encore une fois les comments sont libres mais le Prof a écrit "contrairement à ce que bcp de gens ignorent...", je souligne cette erreur et on m'interpelle de tous les côtés sauf de celui de mon post! Ta classe s'est peut-être bien marrée mais certainement à cause de ton couper-coller heterogene et kilométrique. Combien de temps cela t'a pris d'ailleurs. Maintenant; ton nouveau post vient de le confirmer: en tant que linguiste tu t'es peut-être spécialisée dans le charabia et l'amalgame car tu m'interpelles encore sur des choses dont je n'ai jamais parlées. Avc un mélange de genre simplement infect!!!

14.Posté par Omzo le 26/04/2014 00:24
J'avais oublié de souligner tes quelques vertus, la Fatou: tu t'exprimes bien. MDR!

15.Posté par Fatou le 28/04/2014 12:12
et on se marre encore! au moins il y a une chose sur laquelle je suis d'accord avec toi, ou tout au plus deux:
les commentaires sont libres, 2, tu ne sais vraiment pas de quoi tu parles. raison pour laquelle, il fallait te remettre sur les rails. si tu avais eu cette pensée avant d'écrire des inepties( ce n'est d'ailleurs pas uniquement ton expression que tu nous rabaches, nos yeux sont là pour le confirmer), tu aurais eu de plus pertinentes idées, et un meilleur sens de la critique. beaucoup de gens peuvent être en désaccord avec une opinion, la différence c'est la manière dont on s'y prend! mais bon, puisque toi-même reconnait que les comments are free...
laisse moi te faire profiter encore un peu de mon charabia. Merci pour mes quelques vertus. j'aurai bien aimé les partager avec toi! au moins cette diarrhée a un sens.sans modestie nak
et on se marre encore!
nous au moins on parle de choses qu'on sait!
et on se marre encore,
mais bon, comme les comments sont libres...
et on se marre encore!

16.Posté par Omzo le 01/05/2014 18:47
Au moins une certitude à la lecture de enième hiatus, l'auteur de cette contribution M Ndecky n'est autre que la Fatou. Le plus simple aurait été de reconnaître ton erreur parce que je suis persuadé que c'en est une. Mais je comprends que tu aies du mal à reconnaître une aussi grave erreur à ce "niveau". Car un prof d'université qui propose une contribution au public et qui se permet d'y écrire une énormité du genre " contrairement à ce que les gens ignorent" (tu vois "Kin" euh Agne..., j'en reviens à ce qui a tjrs fait l'essentiel de ma contribution et que tu essaies par tous les moyens, y compris les moins fair play, d'éluder), cela ne redort pas le blason déjà assez terni de cette institution. Bref!
Pour le reste; je pense que tu t'es dévoilé et pas necssairement à ton avantage car produire une contribution et se cacher sous un pseudo pour le défendre; on comprend pourquoi ceux qui adorent se marrer (tiens tiens) attendent avc impatience les radio trottoirs faits dans nos universités. Ben si leurs formateurs en sont à ce niveau...
PS: tu aurais quand même pu choisir un autre pseudo pour te cacher Ndecky. Je te propose Agne ci-dessus. Sans jeu de mots de ma part! Y aura à boire et à manger, et surtout matière à se marrer. Ree ba tass MDR! C'est fou comme je commence à bien m'exprimer now!!!!!

17.Posté par fatou le 21/05/2014 18:17
Bizarma, sui pa la seule ki a parlé de té bétiz OmZZZZZZZZZZZO! mé bon, com cé moi qui te fatique le plus... ah bon? suis loteur de cet articl??? MDR!!!
ET on se marre encore! cé fou ce kon peu se marrer a seneweb!
Omzzzzzzzzzo! finalement tyu fais dan la littératur diaréik!
mdr!!!!!!!

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