La section de Saint-Louis de l'Association nationale de la presse sportive dégage toutes ses responsabilités par rapport à tout ce qui a été écrit et publié dans le troisième paragraphe de la contribution postée et titrée "L'Odcav de Saint-Louis en perte de vitesse...".
Nous ne sommes ni de près ni de loin et d'aucune manière impliqués dans la rédaction de cette contribution dont l'auteur avance encagoulé. D'ailleurs, la pratique journaliste impose à tout contributeur de s'identifier à travers ses contacts pour s'exposer lui aussi à la réaction de l'opinion et de la victime qui peut décider de toute procédure pour réparer le tort subi.
Concernant, la première phrase du troisième paragraphe en question, l'ANPS de Saint-Louis ne s'est jamais plainte de qui que ce soit pour émettre un quelconque "pincement de cœur" par rapport aux conditions de travail des journalistes au stade. De par le passé, tous les écueils ont été gérés entre partenaires et les actuelles conditions de travail ont été décidées de commun accord en parties.
Pour apporter des éclairages sur le vol de dictaphone et portable de journaliste, nous sommes au regret de démentir ces allégations. De tels faits ne se sont jamais pour le moment produits et sont donc considérés comme une simple vue de l'esprit du contributeur. Il faut enfin souligner qu'aucun journaliste n'a jamais encore agressé au stade. Tirez-en toutes les conclusions...
Ibrahima DIARA, Président ANPS Saint-Louis
Nous ne sommes ni de près ni de loin et d'aucune manière impliqués dans la rédaction de cette contribution dont l'auteur avance encagoulé. D'ailleurs, la pratique journaliste impose à tout contributeur de s'identifier à travers ses contacts pour s'exposer lui aussi à la réaction de l'opinion et de la victime qui peut décider de toute procédure pour réparer le tort subi.
Concernant, la première phrase du troisième paragraphe en question, l'ANPS de Saint-Louis ne s'est jamais plainte de qui que ce soit pour émettre un quelconque "pincement de cœur" par rapport aux conditions de travail des journalistes au stade. De par le passé, tous les écueils ont été gérés entre partenaires et les actuelles conditions de travail ont été décidées de commun accord en parties.
Pour apporter des éclairages sur le vol de dictaphone et portable de journaliste, nous sommes au regret de démentir ces allégations. De tels faits ne se sont jamais pour le moment produits et sont donc considérés comme une simple vue de l'esprit du contributeur. Il faut enfin souligner qu'aucun journaliste n'a jamais encore agressé au stade. Tirez-en toutes les conclusions...
Ibrahima DIARA, Président ANPS Saint-Louis