Le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (MESRI) a réagi vendredi sur la crise qui secoue son secteur, résultante de la mesure de fermeture du campus de Ziguinchor.
« Ni un ministre, ni un recteur ou un directeur de Crous n’ont aucune la prérogative de fermer une université. C’est le conseil académique, en toute responsabilité, sans aucune ingérence du ministre, qui a décidé de fermer l’Université de Ziguinchor », a déclaré Abdourahmane DIOUF qui tenait une conférence de presse à Saint-Louis en marge d’une visite à l’Université Gaston Berger (UGB).
« Je ne veux pas avoir la mort d’un jeune étudiant sur la conscience. Le recteur et le conseil académique sont dans la même situation que moi. Nous sommes à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis où des étudiants ont perdu dans des circonstances similaires », a ajouté le ministre. « Nous préférons subir des critiques, assumer la fermeture pour quelques jours et d’éviter la mort d’homme », a ajouté le docteur DIOUF.
« Ni un ministre, ni un recteur ou un directeur de Crous n’ont aucune la prérogative de fermer une université. C’est le conseil académique, en toute responsabilité, sans aucune ingérence du ministre, qui a décidé de fermer l’Université de Ziguinchor », a déclaré Abdourahmane DIOUF qui tenait une conférence de presse à Saint-Louis en marge d’une visite à l’Université Gaston Berger (UGB).
« Je ne veux pas avoir la mort d’un jeune étudiant sur la conscience. Le recteur et le conseil académique sont dans la même situation que moi. Nous sommes à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis où des étudiants ont perdu dans des circonstances similaires », a ajouté le ministre. « Nous préférons subir des critiques, assumer la fermeture pour quelques jours et d’éviter la mort d’homme », a ajouté le docteur DIOUF.