Il y’a trois jours, j’ai publié un article sur Ndarinfo le mettant en cause sur une question qui secoue l’UFR de SAT et l’UFR de SJP mais il m’a fallu le rencontrer en audience hier lundi 10 juillet à son bureau au Rectorat pour me rendre compte de mon manque d’informations lors de la rédaction de l’article que j’avais intitulé « Le Recteur de l’UGB de Saint-Louis, un arbitre central sans sifflet ».
Or, seuls les grands esprits sont capables de supporter des critiques même celles venant de leurs enfants. Le Professeur Baydallaye Kane, Recteur de l’UGB fait partie de ces gens-là.
En effet, comme je m’étais levé personnellement pour donner mon avis sur une question dont je n’avais pas assez d’informations, et si j’en dispose, il est donc une obligation en tant qu’intellectuel d’apporter quelques éclaircissements afin que le public reçoive la bonne information.
En d’autres termes, le Recteur m’a reçu très favorablement. Il a aussi bien discuté avec moi et m’a même montré sa satisfaction de voir que l’UGB continue toujours de produire des citoyens modèles, dignes, bien prêts à servir la bonne cause pour contribuer à la réalisation de notre credo : « l’Excellence au Service du Développement ». En plus, le Recteur m’a fourni des informations avec des preuves à l’appui et il faut être un sourd-muet pour persister dans l’erreur.
L’affaire des UFR SJP et SAT a été pourtant évoquée lors de l’Assemblée de l’Université qui s’est tenue si j’ai une bonne mémoire le 29 juin dernier. Toutes les questions relatives surtout à ces deux UFR ont été abordées et le Recteur avait même entamé des négociations avec les enseignants en faveur des étudiants en difficulté. C’est d’ailleurs pour cette raison, a dit le Recteur, que les cours se poursuivront cette année jusqu’au 26 août pour permettre aux UFR de se réorganiser pour rattraper le temps perdu. Le Recteur a même dit que, si ce n’était pas la fête de Tabaski, les cours allaient se poursuivre jusqu’au 31 août. Aussi, par rapport à cette volonté de sauver l’année, le Recteur a fixé la date de la rentrée pour le 02 octobre.
Les documents que le Recteur m’a montrés m’ont prouvé qu’il est en train de travailler sans relâche sur la question et cela depuis très longtemps comme il vient de le faire avec les six étudiants de MASS qui étaient venus le rencontrer pour un problème de délibération. D’ailleurs, toujours par souci de bien faire, il a ordonné à ce que les étudiants qui n’ont pas encore reçu leurs bourses soient payés sans tenir compte de leur inscription.
Par ailleurs, à l’heure où j’écris cet article, tous les Recteurs du Sénégal sont à Cotonou dans le cadre d’une rencontre pédagogique convoquée par le CAMES afin de réfléchir sur le fonctionnement des enseignements et sur la meilleure politique à adopter pour redynamiser les universités. Mais, vous savez quoi ? Il est le seul Recteur sénégalais a ne pas se rendre à ce rendez-vous car, me dit-il, sa conscience ne lui permet pas de quitter l’UGB alors que des questions urgentes sont encore en attente sur sa table. Et, en tant que Président de l’assemblée de l’Université, il a l’obligation de les suivre.
Pour terminer, je remercie mon frère et ami Monsieur Ibrahima DIAO, le Directeur du CROUS qui, sachant le manque d’informations que j’avais lors de la publication de cet article, m’a appelé au téléphone (aussitôt qu’il l’a lu) pour me sommer de faire tout pour rencontrer le Recteur afin d’avoir la bonne information. Ce que j’ai fait. Je salue également son engagement sans faille pour le mieux-être de l’étudiant de Sanar car il a accepté de prolonger la fermeture du campus social jusqu’après le 26 août.
Dr. Mame Alé MBAYE
Or, seuls les grands esprits sont capables de supporter des critiques même celles venant de leurs enfants. Le Professeur Baydallaye Kane, Recteur de l’UGB fait partie de ces gens-là.
En effet, comme je m’étais levé personnellement pour donner mon avis sur une question dont je n’avais pas assez d’informations, et si j’en dispose, il est donc une obligation en tant qu’intellectuel d’apporter quelques éclaircissements afin que le public reçoive la bonne information.
En d’autres termes, le Recteur m’a reçu très favorablement. Il a aussi bien discuté avec moi et m’a même montré sa satisfaction de voir que l’UGB continue toujours de produire des citoyens modèles, dignes, bien prêts à servir la bonne cause pour contribuer à la réalisation de notre credo : « l’Excellence au Service du Développement ». En plus, le Recteur m’a fourni des informations avec des preuves à l’appui et il faut être un sourd-muet pour persister dans l’erreur.
L’affaire des UFR SJP et SAT a été pourtant évoquée lors de l’Assemblée de l’Université qui s’est tenue si j’ai une bonne mémoire le 29 juin dernier. Toutes les questions relatives surtout à ces deux UFR ont été abordées et le Recteur avait même entamé des négociations avec les enseignants en faveur des étudiants en difficulté. C’est d’ailleurs pour cette raison, a dit le Recteur, que les cours se poursuivront cette année jusqu’au 26 août pour permettre aux UFR de se réorganiser pour rattraper le temps perdu. Le Recteur a même dit que, si ce n’était pas la fête de Tabaski, les cours allaient se poursuivre jusqu’au 31 août. Aussi, par rapport à cette volonté de sauver l’année, le Recteur a fixé la date de la rentrée pour le 02 octobre.
Les documents que le Recteur m’a montrés m’ont prouvé qu’il est en train de travailler sans relâche sur la question et cela depuis très longtemps comme il vient de le faire avec les six étudiants de MASS qui étaient venus le rencontrer pour un problème de délibération. D’ailleurs, toujours par souci de bien faire, il a ordonné à ce que les étudiants qui n’ont pas encore reçu leurs bourses soient payés sans tenir compte de leur inscription.
Par ailleurs, à l’heure où j’écris cet article, tous les Recteurs du Sénégal sont à Cotonou dans le cadre d’une rencontre pédagogique convoquée par le CAMES afin de réfléchir sur le fonctionnement des enseignements et sur la meilleure politique à adopter pour redynamiser les universités. Mais, vous savez quoi ? Il est le seul Recteur sénégalais a ne pas se rendre à ce rendez-vous car, me dit-il, sa conscience ne lui permet pas de quitter l’UGB alors que des questions urgentes sont encore en attente sur sa table. Et, en tant que Président de l’assemblée de l’Université, il a l’obligation de les suivre.
Pour terminer, je remercie mon frère et ami Monsieur Ibrahima DIAO, le Directeur du CROUS qui, sachant le manque d’informations que j’avais lors de la publication de cet article, m’a appelé au téléphone (aussitôt qu’il l’a lu) pour me sommer de faire tout pour rencontrer le Recteur afin d’avoir la bonne information. Ce que j’ai fait. Je salue également son engagement sans faille pour le mieux-être de l’étudiant de Sanar car il a accepté de prolonger la fermeture du campus social jusqu’après le 26 août.
Dr. Mame Alé MBAYE