C'est le journal espagnol La Provincia qui relate dans sa parution de ce mercredi 19 février 2025 le contours de ce drame survenu à bord d’une pirogue arrivée sur l’île d’El Hierro le 28 décembre 2024 dernier.
Un bébé de 14 mois, décédé pendant la traversée, a été arraché des bras de sa mère et jeté à la mer. Selon les témoignages des passagers, la pirogue avait quitté l’île de Bassar, au Sénégal, sept jours plus tôt, avec 232 personnes à bord. La Garde civile espagnole a indiqué que sept personnes auraient perdu la vie durant le voyage. Elle a également recueilli les témoignages des rescapés et procédé à l’arrestation de sept individus, dont le capitaine du bateau. Au total, 224 personnes, dont 14 enfants et 57 femmes, ont été secourues par la Marine espagnole.
Parmi les victimes figuraient également un père et son fils, âgés de 50 et 18 ans, originaires de Guinée. Le compagnon du père, qui voyageait avec eux, a assisté à leur agression avant de se suicider à bord de l’embarcation.
À leur arrivée, certains survivants présentaient des blessures graves, qui, selon les mêmes sources, pourraient correspondre à des coups de fouet ou des blessures par armes blanches. Ces blessures auraient été infligées lors d’une violente altercation survenue pendant la traversée, a précisé la Garde civile.
Un bébé de 14 mois, décédé pendant la traversée, a été arraché des bras de sa mère et jeté à la mer. Selon les témoignages des passagers, la pirogue avait quitté l’île de Bassar, au Sénégal, sept jours plus tôt, avec 232 personnes à bord. La Garde civile espagnole a indiqué que sept personnes auraient perdu la vie durant le voyage. Elle a également recueilli les témoignages des rescapés et procédé à l’arrestation de sept individus, dont le capitaine du bateau. Au total, 224 personnes, dont 14 enfants et 57 femmes, ont été secourues par la Marine espagnole.
Parmi les victimes figuraient également un père et son fils, âgés de 50 et 18 ans, originaires de Guinée. Le compagnon du père, qui voyageait avec eux, a assisté à leur agression avant de se suicider à bord de l’embarcation.
À leur arrivée, certains survivants présentaient des blessures graves, qui, selon les mêmes sources, pourraient correspondre à des coups de fouet ou des blessures par armes blanches. Ces blessures auraient été infligées lors d’une violente altercation survenue pendant la traversée, a précisé la Garde civile.