Le chef du service départemental de l’élevage de Dagana, Makhtar Barro, préconise que 70 pour cent des chiens soient vaccinés pour éradiquer la rage devenue endémique dans cette partie du nord du Sénégal.
"Il nous faut arriver à vacciner 70 pour cent des chiens pour arriver à éradiquer la rage", a-t-il dit à des journalistes, mardi, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre la rage, célébrée cette année à Taba Darou Darousalam, dans la commune de Diama (Dagana).
Selon le chef du service départemental de l’élevage de Dagana, le choix de commémorer cette journée dans cette zone est lié à la "situation épidémiologique" de cette partie du Sénégal.
Il note que chaque année, "une trentaine de morsures de chiens" sont enregistrées dans cette zone, sans compter que ces deux dernières années, deux décès liés à cette maladie ont été notés, signale-t-il.
Aussi invite-t-il les populations à se rapprocher de ses services pour vacciner gratuitement leurs chiens.
Il les appelle en même temps à informer les services d’élevage et d’hygiène sur la présence de chiens errants dans leurs lieux d’habitation, afin qu’ils soient abattus.
De même, le chef du service départemental de l’élevage de Dagana demande aux populations de s’occuper de leurs chiens "comme elles le font avec les animaux domestiques, afin de limiter la propagation de la rage dont ils sont un des vecteurs".
Mohamadou Lamine Baldé, chef de projet à l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), est revenu sur les dangers de la rage, maladie placée sous surveillance par l’Organisation mondiale de la santé.
M. Baldé a souligné la nécessité d’apporter une assistance à l’Etat dans ce domaine, avant de signaler que l’USAID a mis en place des activités de sensibilisation des populations, pas toujours bien informées des risques liés à la cohabitation avec ces animaux.
Dans le monde, lit-on dans un dossier de presse, environ 59.000 personnes décèdent chaque année dans des conditions atroces de cette maladie, pour la plupart dans les zones rurales de l’Afrique et de l’Asie.
Près de 40% des victimes de la rage ont moins de 15 ans, selon des statistiques de l’Organisation mondiale de la Santé datant de 2017.
APS
"Il nous faut arriver à vacciner 70 pour cent des chiens pour arriver à éradiquer la rage", a-t-il dit à des journalistes, mardi, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre la rage, célébrée cette année à Taba Darou Darousalam, dans la commune de Diama (Dagana).
Selon le chef du service départemental de l’élevage de Dagana, le choix de commémorer cette journée dans cette zone est lié à la "situation épidémiologique" de cette partie du Sénégal.
Il note que chaque année, "une trentaine de morsures de chiens" sont enregistrées dans cette zone, sans compter que ces deux dernières années, deux décès liés à cette maladie ont été notés, signale-t-il.
Aussi invite-t-il les populations à se rapprocher de ses services pour vacciner gratuitement leurs chiens.
Il les appelle en même temps à informer les services d’élevage et d’hygiène sur la présence de chiens errants dans leurs lieux d’habitation, afin qu’ils soient abattus.
De même, le chef du service départemental de l’élevage de Dagana demande aux populations de s’occuper de leurs chiens "comme elles le font avec les animaux domestiques, afin de limiter la propagation de la rage dont ils sont un des vecteurs".
Mohamadou Lamine Baldé, chef de projet à l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), est revenu sur les dangers de la rage, maladie placée sous surveillance par l’Organisation mondiale de la santé.
M. Baldé a souligné la nécessité d’apporter une assistance à l’Etat dans ce domaine, avant de signaler que l’USAID a mis en place des activités de sensibilisation des populations, pas toujours bien informées des risques liés à la cohabitation avec ces animaux.
Dans le monde, lit-on dans un dossier de presse, environ 59.000 personnes décèdent chaque année dans des conditions atroces de cette maladie, pour la plupart dans les zones rurales de l’Afrique et de l’Asie.
Près de 40% des victimes de la rage ont moins de 15 ans, selon des statistiques de l’Organisation mondiale de la Santé datant de 2017.
APS