Après réception de la lettre du président de la République, Bassirou Diomaye Faye, informant le président de l’Assemblée nationale de la tenue de la Déclaration de politique générale (DPG) du Premier ministre Ousmane Sonko le 13 septembre 2024, l’hémicycle a finalement accédé à cette demande.
Initialement, l’Assemblée nationale avait proposé que la DPG du Premier ministre Sonko se tienne le 11 septembre. Toutefois, face à la requête officielle du chef de l’État, l’institution parlementaire a décidé de s’y conformer, laissant ainsi de côté leur décision antérieure. Cette décision témoigne de la volonté de l’Assemblée de respecter les prérogatives présidentielles, tout en maintenant un climat de coopération institutionnelle.
Une question clé agite les esprits : le président Bassirou Diomaye Faye pourrait-il dissoudre l’Assemblée nationale le 12 septembre, soit un jour avant la déclaration du Premier ministre ? Cette hypothèse soulève des interrogations dans le paysage politique, notamment en raison du contexte tendu qui prévaut entre l’exécutif et certains membres de l’opposition.
Alors que le débat autour de la motion de censure déposée par Benno Bokk Yaakaar contre le gouvernement demeure en suspens, une dissolution de l’Assemblée nationale pourrait rebattre les cartes du jeu politique sénégalais. Si cette dissolution se concrétise, elle pourrait marquer un tournant majeur dans l’orientation des institutions du pays.
À l’approche de la date de la DPG, les regards sont donc rivés sur l’évolution de la situation. Quelle que soit la décision, le 13 septembre promet d’être une journée décisive pour le Premier ministre Ousmane Sonko et pour le gouvernement en place.
RTS
Initialement, l’Assemblée nationale avait proposé que la DPG du Premier ministre Sonko se tienne le 11 septembre. Toutefois, face à la requête officielle du chef de l’État, l’institution parlementaire a décidé de s’y conformer, laissant ainsi de côté leur décision antérieure. Cette décision témoigne de la volonté de l’Assemblée de respecter les prérogatives présidentielles, tout en maintenant un climat de coopération institutionnelle.
Une question clé agite les esprits : le président Bassirou Diomaye Faye pourrait-il dissoudre l’Assemblée nationale le 12 septembre, soit un jour avant la déclaration du Premier ministre ? Cette hypothèse soulève des interrogations dans le paysage politique, notamment en raison du contexte tendu qui prévaut entre l’exécutif et certains membres de l’opposition.
Alors que le débat autour de la motion de censure déposée par Benno Bokk Yaakaar contre le gouvernement demeure en suspens, une dissolution de l’Assemblée nationale pourrait rebattre les cartes du jeu politique sénégalais. Si cette dissolution se concrétise, elle pourrait marquer un tournant majeur dans l’orientation des institutions du pays.
À l’approche de la date de la DPG, les regards sont donc rivés sur l’évolution de la situation. Quelle que soit la décision, le 13 septembre promet d’être une journée décisive pour le Premier ministre Ousmane Sonko et pour le gouvernement en place.
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