Allons trouver la réponse dans notre vécu identitaire fondamentalement basé sur la solidarité.La tradition de solidarité perpétuée depuis des générations, inscrit dans la mémoire collective une vertu jaillie des profondeurs de la nation sénégalaise. Transcendant le genre, l’âge, les ethnies, les terroirs et les religions, la solidarité comme composante essentielle de notre commune volonté de vivre ensemble, fait de chaque individu, le parent de l’autre. De ce fait, elle doit aussi transcender les clivages politiques pour amener le corps social vers des consensus exemplaires, porteurs de progrès.
La solidarité est une richesse sociale, un attribut de la démocratie, une recommandation divine. Elle renforce le confort moral national, efface les inégalités et les suspicions, complète les insuffisances, accompagne, console, élève et procure du bonheur là où la solitude, la déception ou la précarité allaient installer le malheur ou la tristesse.Elle bannit la confrontation en lui substituant la coopération.
Voila les fondements moraux et idéologiques du DIALOGUE auquel le président Macky SALL invite la classe politique. Hélas quelques égarés ne manquent jamais d’étaler leurs carences qui méritent d’être sanctionnées.
Heureusement de grandes figures de cette opposition, comprenant les enjeux cruciaux de ce dialogue inscrivent leurs noms au panthéon de lhistoire en surmontant les clivages et autres égoïsmes. Ceux la méritent respect et admirationpour leur sens élevé du patriotisme.
Ce que certains spécialistes appellent égoïsme universel ou égoïsme psychologique découlant d’une motivation cachée derrière l’acte bienveillant pour en récolter des fruits, cet égoïsme est méconnu chez le Président SALL. Ses actes sont purs, sincères, mus par un altruisme caractéristique de la nature humaine. Il est l’incarnation d’un leadership certain, porté par une jeunesse digne et ambitieuse, résolument tournée vers le progrès national et continental.
Celui ou celle qui guide, dirige ou oriente, devient une personne bien en vue dans une activité, une entreprise, une organisation, une association, un Etat….. A ce titre le leader, dépositaire d’une légitimité, incarne toujours un espoir. Le leadership est une position de pouvoir. Une posture qui braque sur vous les regards, attire les attentions et nourrit les espoirs. C’est une responsabilité dont l’exercice requiert des qualités.
Un leader doit avoir du caractère non pas pour inspirer la crainte ou la peur, mais simplement le respect qui force l’Autorité. Le caractère se forge. Il est la marque indélébile de l’« Etre» alliant le cœur et la raison dans une attitude expressive du « moi » profond. La personnalité en est le reflet. Incarner l’espoir d’un peuple ou d’un groupe aussi restreint soit-il, nécessite de solides épaules pour demeurer grand devant la douleur et humble dans la réussite. Grandeur et humilité sont des traits de caractère indispensables au leader.
« Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu ». Cet appel à la patience et au réalisme de Victor HUGO cloue le bec à ceux qui veulent entretenir prématurément un débat sur la Présidentielle de 2024. Disserter sur les mandats présidentiels n’est véritablement pas à l’ordre du jour. Le refus d’un débat hâtif, insensé, traduit un engagement plein et entier sur l’urgence, une concentration des efforts physiques, intellectuels et financiers sur les préoccupations des Sénégalaises et des Sénégalais. « Une fois la voie tracée, il ne faut pas s’arrêter sur les états d’âmes subalternes ; il faut être indifférent aux jugements éphémères, aux coteries, aux manipulations, aux jalousies. Il faut avoir la nuque raide pour ce que l’on estime juste ». Ainsi parlait le Président François MITERRAND.
Tout le monde accepte l’impérieuse nécessité d’oxygéner notre démocratie selon deux axes complémentaires: le dialogue et le travail, pour résister à la démagogie oppressive.
Le rejet systématique et outrancier de tous les actes posés par l’actuelle majorité présidentielle ne constitue – t – il pas une oppression ? Ne cherche – t – on pas à embarquer le peuple dans un nihilisme porteur de violences, pour assouvir des desseins inavoués ?
L’histoire a appris à ce peuple mur, responsable et foncièrement patriotique, la résistance à l’automatisme. Une gouvernance pragmatique et évolutive en passe de promouvoir un développement endogène délicieux, achève d’inhiber les démagogies oppressives.
« Réalise ton projet en silence, la réussite se chargera du bruit ». En politique comme ailleurs, la concertation s’avère plus productive que la confrontation. Pour se réaliser, l’humilité dont a besoin le consensus s’est raréfiée dans la classe politique, cédant la place aux vomissures suffocantes du genre « Deal international », « campagne électorale déguisée », « wax waxèt », « tentatives de musellement », et récemment depuis le 30 Juillet 2017, d’autres concepts sont créés ou réchauffés : « holdup électoral », «magouilles », « élections antidémocratiques », « transfert d’électeurs »…
Toutes sortes d’arguments sont avancées pour dévoyer l’option conciliatrice du Président Macky SALL. Faire la paix s’avère très souvent plus difficile et plus contraignant que faire la guerre. Si la contestation est inhérente à l’être humain, celui-ci doit toujours avoir à l’esprit, que la vie est meilleure si l’on construit des ponts entre les gens et non des murs.
« Dans un souci de préservation du dialoguepolitique, le gouvernement, en acteur respectueux de ses partenaires a toujours étalé sa disponibilité dans le cadre des retrouvailles des forces vives de la nation, autour des problèmes de la nation. Ainsi doivent être comprises les concertations déclenchées depuis le 28 Mai 2016 par le Président de la République qui, en esprit libre et ouvert à tous les possibles, en vue d’un développement inclusif, tire son pays vers le haut, avec le bonheur d’engager, d’agir et de réussir.
Les inerties nées de l’instinct de conservation ou de la peur de l’inconnu ont fini de plomber les volontés, pour accoucher une rupture fatale à l’opposition laminée aux dernières élections législatives.
Les idées simples mais faussent l’emportent souvent aux yeux de l’opinion sur les idées justes mais complexes. Or la complexité aiguise et vivifie l’intelligence que la simplicité sclérose. Par une fatalité déplorable, les hommes politiques vivent entre eux dans une défiance réciproque, perpétuellement occupés à repousser les entreprises justes ou injustes des autres, ou à en former eux-mêmes. Si la raison les gouvernait, si elle avait sur eux l’emprise qui lui est due, on ne les verrait point se livrer inconsidérément à cet acharnement. La violence, verbale ou physique, fruit de la dépravation des hommes, est une maladie convulsive et violente dont souffrent certains segments.
Cultivons ensemble l’esprit de Concertation à la place de la Confrontation. Il y a une telle joie à discuter, identifier les difficultés, envisager des solutions et les mettre en œuvre dans la cohésion et le respect des identités. « Impossible n’est pas sénégalais » est – on - tenté de dire !!
En homme d’actions, le Président avance, mu par sa foi dans la justesse des choix et l’effort surhumain d’amélioration de l’existant. Sa volonté d’engager et d’agir devient une cruelle nécessité contre les soubresauts inhérents aux changements réducteurs de privilèges. Cette noble motivation triomphe sur les inerties qu’engendrent la peur de l’inconnu ou l’instinct de conservation qui plombent les volontés. « Les choses sont difficiles parce qu’on ose pas ». Cette constatation de Sénèque justifie l’audace d’une démarche porteuse de développement, matérialisant des préoccupations longtemps ressassées. Ici le rêve est permis pour un peuple conscient que l’utopie d’hier devient réalité. « Le développement à long terme des individus et des institutions constitue la contribution la plus significative des leaders ».
Au sortir de cette année particulièrement éprouvante, nous prions ALLAH LE TOUT PUISSANT, de bénir les actes posés par son Excellence le Président Macky SALL pour l’émergence du Sénégal dans une humanité débarrassée du CORONA VIRUS. AMINE
Ibrahima DIAO
Coordonnateur APR Commune de Fass Ngom
Directeur commissariat sécurité alimentaire
La solidarité est une richesse sociale, un attribut de la démocratie, une recommandation divine. Elle renforce le confort moral national, efface les inégalités et les suspicions, complète les insuffisances, accompagne, console, élève et procure du bonheur là où la solitude, la déception ou la précarité allaient installer le malheur ou la tristesse.Elle bannit la confrontation en lui substituant la coopération.
Voila les fondements moraux et idéologiques du DIALOGUE auquel le président Macky SALL invite la classe politique. Hélas quelques égarés ne manquent jamais d’étaler leurs carences qui méritent d’être sanctionnées.
Heureusement de grandes figures de cette opposition, comprenant les enjeux cruciaux de ce dialogue inscrivent leurs noms au panthéon de lhistoire en surmontant les clivages et autres égoïsmes. Ceux la méritent respect et admirationpour leur sens élevé du patriotisme.
Ce que certains spécialistes appellent égoïsme universel ou égoïsme psychologique découlant d’une motivation cachée derrière l’acte bienveillant pour en récolter des fruits, cet égoïsme est méconnu chez le Président SALL. Ses actes sont purs, sincères, mus par un altruisme caractéristique de la nature humaine. Il est l’incarnation d’un leadership certain, porté par une jeunesse digne et ambitieuse, résolument tournée vers le progrès national et continental.
Celui ou celle qui guide, dirige ou oriente, devient une personne bien en vue dans une activité, une entreprise, une organisation, une association, un Etat….. A ce titre le leader, dépositaire d’une légitimité, incarne toujours un espoir. Le leadership est une position de pouvoir. Une posture qui braque sur vous les regards, attire les attentions et nourrit les espoirs. C’est une responsabilité dont l’exercice requiert des qualités.
Un leader doit avoir du caractère non pas pour inspirer la crainte ou la peur, mais simplement le respect qui force l’Autorité. Le caractère se forge. Il est la marque indélébile de l’« Etre» alliant le cœur et la raison dans une attitude expressive du « moi » profond. La personnalité en est le reflet. Incarner l’espoir d’un peuple ou d’un groupe aussi restreint soit-il, nécessite de solides épaules pour demeurer grand devant la douleur et humble dans la réussite. Grandeur et humilité sont des traits de caractère indispensables au leader.
« Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu ». Cet appel à la patience et au réalisme de Victor HUGO cloue le bec à ceux qui veulent entretenir prématurément un débat sur la Présidentielle de 2024. Disserter sur les mandats présidentiels n’est véritablement pas à l’ordre du jour. Le refus d’un débat hâtif, insensé, traduit un engagement plein et entier sur l’urgence, une concentration des efforts physiques, intellectuels et financiers sur les préoccupations des Sénégalaises et des Sénégalais. « Une fois la voie tracée, il ne faut pas s’arrêter sur les états d’âmes subalternes ; il faut être indifférent aux jugements éphémères, aux coteries, aux manipulations, aux jalousies. Il faut avoir la nuque raide pour ce que l’on estime juste ». Ainsi parlait le Président François MITERRAND.
Tout le monde accepte l’impérieuse nécessité d’oxygéner notre démocratie selon deux axes complémentaires: le dialogue et le travail, pour résister à la démagogie oppressive.
Le rejet systématique et outrancier de tous les actes posés par l’actuelle majorité présidentielle ne constitue – t – il pas une oppression ? Ne cherche – t – on pas à embarquer le peuple dans un nihilisme porteur de violences, pour assouvir des desseins inavoués ?
L’histoire a appris à ce peuple mur, responsable et foncièrement patriotique, la résistance à l’automatisme. Une gouvernance pragmatique et évolutive en passe de promouvoir un développement endogène délicieux, achève d’inhiber les démagogies oppressives.
« Réalise ton projet en silence, la réussite se chargera du bruit ». En politique comme ailleurs, la concertation s’avère plus productive que la confrontation. Pour se réaliser, l’humilité dont a besoin le consensus s’est raréfiée dans la classe politique, cédant la place aux vomissures suffocantes du genre « Deal international », « campagne électorale déguisée », « wax waxèt », « tentatives de musellement », et récemment depuis le 30 Juillet 2017, d’autres concepts sont créés ou réchauffés : « holdup électoral », «magouilles », « élections antidémocratiques », « transfert d’électeurs »…
Toutes sortes d’arguments sont avancées pour dévoyer l’option conciliatrice du Président Macky SALL. Faire la paix s’avère très souvent plus difficile et plus contraignant que faire la guerre. Si la contestation est inhérente à l’être humain, celui-ci doit toujours avoir à l’esprit, que la vie est meilleure si l’on construit des ponts entre les gens et non des murs.
« Dans un souci de préservation du dialoguepolitique, le gouvernement, en acteur respectueux de ses partenaires a toujours étalé sa disponibilité dans le cadre des retrouvailles des forces vives de la nation, autour des problèmes de la nation. Ainsi doivent être comprises les concertations déclenchées depuis le 28 Mai 2016 par le Président de la République qui, en esprit libre et ouvert à tous les possibles, en vue d’un développement inclusif, tire son pays vers le haut, avec le bonheur d’engager, d’agir et de réussir.
Les inerties nées de l’instinct de conservation ou de la peur de l’inconnu ont fini de plomber les volontés, pour accoucher une rupture fatale à l’opposition laminée aux dernières élections législatives.
Les idées simples mais faussent l’emportent souvent aux yeux de l’opinion sur les idées justes mais complexes. Or la complexité aiguise et vivifie l’intelligence que la simplicité sclérose. Par une fatalité déplorable, les hommes politiques vivent entre eux dans une défiance réciproque, perpétuellement occupés à repousser les entreprises justes ou injustes des autres, ou à en former eux-mêmes. Si la raison les gouvernait, si elle avait sur eux l’emprise qui lui est due, on ne les verrait point se livrer inconsidérément à cet acharnement. La violence, verbale ou physique, fruit de la dépravation des hommes, est une maladie convulsive et violente dont souffrent certains segments.
Cultivons ensemble l’esprit de Concertation à la place de la Confrontation. Il y a une telle joie à discuter, identifier les difficultés, envisager des solutions et les mettre en œuvre dans la cohésion et le respect des identités. « Impossible n’est pas sénégalais » est – on - tenté de dire !!
En homme d’actions, le Président avance, mu par sa foi dans la justesse des choix et l’effort surhumain d’amélioration de l’existant. Sa volonté d’engager et d’agir devient une cruelle nécessité contre les soubresauts inhérents aux changements réducteurs de privilèges. Cette noble motivation triomphe sur les inerties qu’engendrent la peur de l’inconnu ou l’instinct de conservation qui plombent les volontés. « Les choses sont difficiles parce qu’on ose pas ». Cette constatation de Sénèque justifie l’audace d’une démarche porteuse de développement, matérialisant des préoccupations longtemps ressassées. Ici le rêve est permis pour un peuple conscient que l’utopie d’hier devient réalité. « Le développement à long terme des individus et des institutions constitue la contribution la plus significative des leaders ».
Au sortir de cette année particulièrement éprouvante, nous prions ALLAH LE TOUT PUISSANT, de bénir les actes posés par son Excellence le Président Macky SALL pour l’émergence du Sénégal dans une humanité débarrassée du CORONA VIRUS. AMINE
Ibrahima DIAO
Coordonnateur APR Commune de Fass Ngom
Directeur commissariat sécurité alimentaire