Une étude qui a été menée dans la région du Nord notamment à Saint-Louis a révélé une prévalence inquiétante de 13% des personnes touchées par le diabète. A l’origine des facteurs de la recrudescence du diabète, le médecin-chef de la région, Dr Seynabou Ndiaye, souligne que l’étude a mentionné que les comportements alimentaires sont le plus indexés, en sus du sédentarisme qui favorise l’obésité. Le médecin renseigne que pour inverser la tendance, des stratégies de ripostes sont en train d’être déroulées depuis que cette étude a été rendue publique. Ceci a conduit l’association des diabétiques de Saint-Louis à mener des activités de dépistage au niveau des structures de santé et solliciter l’accroissement de l’offre de service pour une prise en charge plus opérationnelle de cette maladie chronique. Aussi la prévention et la sensibilisation au niveau des postes de santé et centres de santé sont au quotidien, en plus du dépistage systématiquement de certains types de patients.
D’ailleurs, fera remarquer le médecin-chef régional, dans la croisade contre le paludisme, une attention particulière est accordée aux malades pour détecter éventuellement le diabète dont le statut est généralement ignoré par la plupart des malades. «La prise en charge est, par conséquent, différente», fera ensuite remarquer le Dr Ndiaye qui précise, en outre, que la prévalence dans la région du Nord est inquiétante. Car, au-delà d’une prévalence de 10%, l’on peut dire que le diabète devient un problème de santé publique au sein d’une communauté. Le médecin d’annoncer ensuite une observation-suivie des malades qui bénéficient de traitement et des conseils nécessaires. A travers les médias, a-t-elle ajouté, des informations sont régulièrement données pour un changement de comportement alimentaire et pousser les populations à lutter contre le sédentarisme.
L’HYPERTENSION ARTERIELLE, UN AUTRE FLEAU QUI PREDOMINE
Au-delà du diabète, il y a la question tout aussi actuelle de l’hypertension artérielle devenue un autre fléau souvent diagnostiqué dans la zone nord. Rappelant les résultats de l’étude du Professeur Aboul Kane qui avaient montré que Saint-Louis reste la région la plus touchée par l’hypertension artérielle, avec une prévalence de 40% de la population atteinte, le médecin-chef régional relève que cela a suscité l’intérêt général au niveau central. Il s’en est suivi la mise en place d’un plan de communication soutenu par un fort engagement de la collectivité locale pour que les relais soient sur le terrain afin de sensibiliser les populations sur cette problématique. Un groupe de prestataires et de médecins de la municipalité s’est rendu également auprès des communautés pour des prises de tension artérielle, aidant les personnes à savoir leur statut.
SUDQUOTIDIEN
D’ailleurs, fera remarquer le médecin-chef régional, dans la croisade contre le paludisme, une attention particulière est accordée aux malades pour détecter éventuellement le diabète dont le statut est généralement ignoré par la plupart des malades. «La prise en charge est, par conséquent, différente», fera ensuite remarquer le Dr Ndiaye qui précise, en outre, que la prévalence dans la région du Nord est inquiétante. Car, au-delà d’une prévalence de 10%, l’on peut dire que le diabète devient un problème de santé publique au sein d’une communauté. Le médecin d’annoncer ensuite une observation-suivie des malades qui bénéficient de traitement et des conseils nécessaires. A travers les médias, a-t-elle ajouté, des informations sont régulièrement données pour un changement de comportement alimentaire et pousser les populations à lutter contre le sédentarisme.
L’HYPERTENSION ARTERIELLE, UN AUTRE FLEAU QUI PREDOMINE
Au-delà du diabète, il y a la question tout aussi actuelle de l’hypertension artérielle devenue un autre fléau souvent diagnostiqué dans la zone nord. Rappelant les résultats de l’étude du Professeur Aboul Kane qui avaient montré que Saint-Louis reste la région la plus touchée par l’hypertension artérielle, avec une prévalence de 40% de la population atteinte, le médecin-chef régional relève que cela a suscité l’intérêt général au niveau central. Il s’en est suivi la mise en place d’un plan de communication soutenu par un fort engagement de la collectivité locale pour que les relais soient sur le terrain afin de sensibiliser les populations sur cette problématique. Un groupe de prestataires et de médecins de la municipalité s’est rendu également auprès des communautés pour des prises de tension artérielle, aidant les personnes à savoir leur statut.
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