Le professeur Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses, à Marseille, le 26 février 2020. GERARD JULIEN / AFP
Une plainte a été déposée contre X pour « menaces de mort et acte d’intimidation envers un chargé de mission de service public ».
Le Pr Raoult est mis sous pression à deux reprises. Le 1er mars à 22h30, il aurait reçu un appel anonyme. « Raoult, tu vas arrêter de dire des conneries d’ici demain 14h, sinon tu verras ». Puis le lendemain matin, par sms cette fois : « Moins de 4h pour te rétracter sur la chloroquine ».
Selon les informations parues dans la presse, l’enquête aurait été transférée de Marseille à Nantes, car c’est de là qu’aurait été passé l’appel. Le téléphone portable utilisé ferait partie d’un lot mis à disposition de médecins de l’hôpital public nantais.
Les enquêteurs cherchent désormais à déterminer qui est son utilisateur et ils porteraient des soupçons sur un praticien vraisemblablement auteur d’un mail d’insulte, le même soir sur le même sujet.
Pour l’heure, les services du Pr Raoult, en pleine gestion de cette crise sanitaire, ne souhaitent pas commenter la procédure en cours.
RFI
Le Pr Raoult est mis sous pression à deux reprises. Le 1er mars à 22h30, il aurait reçu un appel anonyme. « Raoult, tu vas arrêter de dire des conneries d’ici demain 14h, sinon tu verras ». Puis le lendemain matin, par sms cette fois : « Moins de 4h pour te rétracter sur la chloroquine ».
Selon les informations parues dans la presse, l’enquête aurait été transférée de Marseille à Nantes, car c’est de là qu’aurait été passé l’appel. Le téléphone portable utilisé ferait partie d’un lot mis à disposition de médecins de l’hôpital public nantais.
Les enquêteurs cherchent désormais à déterminer qui est son utilisateur et ils porteraient des soupçons sur un praticien vraisemblablement auteur d’un mail d’insulte, le même soir sur le même sujet.
Pour l’heure, les services du Pr Raoult, en pleine gestion de cette crise sanitaire, ne souhaitent pas commenter la procédure en cours.
RFI