L’année 2017 devra être retenue dans l’histoire du Sénégal comme étant une année de messages divins et de symboles ! En effet, c’est en cette année 2017 que Dieu le Créateur des Cieux et de la Terre a rappelé auprès de Lui, trois grandes personnalités de notre pays, dont les parcours exceptionnels seront inscrits en lettre d’or sur les tablettes éternelles de l’histoire du Sénégal.
Chacun de ces grands hommes a laissé à notre pays un héritage immense et inoubliable ! Aliou Ardo Sow était un bienfaiteur incontestable. Il était d’une générosité remarquable. Il fut discret et humble. Il rendait service et ne s’est jamais gonflé d’orgueil. Je regrette beaucoup de ne l’avoir jamais vu et de ne lui avoir jamais serré la main.
Djibo Leyti Kâ fut un homme d’État intègre, compétent et courageux. Il assumait ses opinions et ses positions politiques sans peur et sans reproche. Il fut le meilleur ministre de la République que j’ai eu comme patron, durant mes 40 ans de service dans l’administration sénégalaise.
El hadj Abdoul Aziz Sy Al Amine, à l’image de Daabaax, son vénérable homonyme, fut un chef religieux qui a toujours joué son rôle d’éveilleur de conscience, de guide religieux, de gardien infatigable de l’héritage légué par Cheikh Seydi Elhadj Malick Sy (RTA). Il a toujours accompli sa mission de lanceur d’alerte et de médiateur de la République.
Il partageait toujours ses revenus avec les démunis. En résumé, il fut un véritable Ambassadeur de la Paix et de la Justice sociales. Je l’ai rencontré une seule fois. Je lui ai serré la main une seule fois. Mais j’écoutais toujours ses messages et conférences avec respect et attention.
Voilà donc que par la volonté divine, ces patriotes de très haut rang dont Allah (SWT) avait gratifié le Sénégal et dont les œuvres sur Terre seront inscrites à jamais sur les limbes de l’histoire récente de notre pays viennent d’être arrachées à notre affection. À la surprise générale, ils viennent de terminer leurs nobles missions sur Terre… Ainsi va la vie.
Le Coran nous a rappelé que la mort que nous craignons tant nous surprendra toujours ! Nous serons ramenés à Celui qui connait parfaitement le monde invisible et le monde visible. Il nous informera alors de ce que nous avons accompli sur Terre. À Lui nous appartenons, à Lui nous retournerons.
Après une profonde analyse de ces pénibles évènements successifs qui ont frappé le Sénégal en 2017, je me vois obligé de rappeler que la disparition brutale de Aliou Ardo Sow, l’homme d’affaires, Djibo Leyti Kâ, l’homme d’État et Elhadj Abdoul Aziz Sy Al amine, l’homme de Dieu (Que Dieu soit Satisfait d’eux), ne devrait jamais être perçue tout simplement comme une mort normale, ordinaire et naturelle réservée à tous les êtres vivants. Il est évident que la vie est un village d’où personne ne sortira vivant !
Mais au regard de l’envergure de ces trois hommes, de la diversité de leurs sacerdoces, de la grandeur de leurs œuvres à travers notre pays, de la complémentarité salutaire de leurs tâches, il s’agit véritablement d’un message divin adressé au Peuple sénégalais. En fait, les illustres disparus, connus et respectés de tous et qui ont bénéficié d’honneurs, de privilèges, d’adoration et de respect par la grâce de Dieu, sont les exemples emblématiques qui illustrent ce message divin adressé à notre Peuple et que je traduirais ainsi :
« Le Peuple sénégalais devrait toujours se rappeler les bienfaits dont Allah (SWT) a gratifié ce grand pays. Il nous a offert des terres fertiles. Il nous a donné la pluie qui arrose nos terres, fait germer les semences et fait pousser les plantes pour notre profit et celui de nos troupeaux. Il nous a offert des fleuves, des cours d’eau et des lacs. Il nous a offert la mer et ses richesses immenses et incalculables. Il nous a offert de l’or, du fer, du phosphate, du zircon, du pétrole et du gaz naturel.
Par la grâce de Dieu, le Sénégal est un pays béni où toute l’année se succèdent des périodes de récolte de maïs, de mil, d’arachide, de pastèque, d’oignon, de tomate, de pomme de terre, de melons, de mangues, d’oranges et de fruits forestiers de toutes sortes.
Mais ce peuple chanceux à qui Allah (SWT) a offert la PAIX et tant de trésors et de bienfaits, au lieu de remercier intensément et en permanence Dieu le Tout-Puissant en jouissant de toutes ces faveurs, s’est distingué négativement à la face du monde.
Notre pays est le champion du Monde en matière de bavardage inutile, de lamentations interminables, de mensonges infâmes, de critiques sans fondement, de violence verbale, d’injures ignobles, d’indiscipline généralisée, de détournement des biens publics et de meurtre gratuit. Notre peuple n’est jamais satisfait ! Il se plaint toujours et à toutes les occasions. Il râle quand il pleut. Quand la pluie et la foudre font une seule victime, le Sénégalais oublie totalement les bienfaits de l’hivernage et maudit l’eau de pluie malgré ses nombreux bienfaits.
Quand il tarde à pleuvoir, il proteste et accuse ses dirigeants d’avoir la poisse. Il rouspète quand il fait chaud. Il peste quand il fait froid. Quand il est fauché, il accuse son Président sans chercher à travailler. Ce Peuple est souvent divisé quand le mois de Ramadan s’annonce. Il prolonge la division à la Tabaski et s’inquiète à tort pour la rareté des moutons du sacrifice.
L’exercice favori de notre Peuple consiste à souvent critiquer, à interpeler, à invectiver et à manquer de respect au Chef de l’État, gardien de la Constitution. Cent jours après avoir élu son Président, notre Peuple ne lui laisse presque jamais de répit pour lui permettre de dérouler sereinement ses programmes et résoudre les préoccupations majeures de ses compatriotes. Notre Peuple n’épargne même pas ses guides religieux qu’il accuse de laxisme, quand par sagesse, ils gardent le silence. Quand ils se prononcent sur les affaires de la cité, ils le critiquent sévèrement en cachette.
C’est aussi dans ce pays majoritairement musulman qu’est le Sénégal où l’on voit les femmes envahir les cérémonies de levée des corps rappelés à Dieu. Et pourtant, exception faite pour les femmes en charge de la toilette mortuaire, aucune autre femme n’a sa place aux cérémonies funéraires. En effet, les femmes n’ont souvent pas en charge la toilette du défunt. Elles ne l’enveloppent pas dans le linceul. Elles ne participent pas à la prière mortuaire. Elles ne transportent pas le mort au cimetière.
Elles ne creusent pas la tombe et ce ne sont pas elles qui enterrent le mort. Elles n’ont donc rien à faire dans les cérémonies de levée de corps qu’elles envahissent et perturbent souvent avec leurs bavardages interminables, leurs complaintes intempestives, leurs cris stridents, leurs gémissements plaintifs et leurs transes souvent ridicules. Tous ces excès étant formellement interdits par l’Islam
En plus de toutes ces dérives regrettables, une bonne partie de notre Peuple est atteint d’une grave maladie morale dénommée « ignorance ».
L’ignorance est la plus grande tragédie qui affecte le Peuple sénégalais. Dans ce pays pourtant très chanceux, le mal de l’ignorance est profond et persistant. Il a fini par atteindre des couches très importantes de la société. Ainsi, nous entendons souvent des ignorants et des indisciplinés qui au nom de la liberté d’expression et de la démocratie, prennent publiquement la parole pour dire ce qu’ils pensent. C’est le fameux exercice du « wax sa xalaat ».
Malheureusement, les déclarations des ignorants génèrent presque toujours des paroles qui fâchent le peuple, des paroles qui désorientent le peuple, des paroles qui font peur au peuple, des paroles qui génèrent la violence. En un mot, ce sont souvent des paroles dépourvues de sens, d’élégance et de bienveillance.
Le paroxysme du mal a été atteint ces temps derniers, quand des citoyens ordinaires se sont permis à travers les réseaux sociaux, d’adresser des propos monstrueux, indécents et irrespectueux aux institutions de la République. Jamais le Sénégal, pays de la teraanga n’a connu de telles dérives dans son histoire politique !
Et pourtant, Allah (SWT) nous a offert comme guide, le Coran glorieux. Il nous a envoyé d’honorables guides religieux pour perpétuer l’islam et la tradition du Prophète Mouhamed (PSL). Il nous a permis de vivre en paix avec nos frères chrétiens, fidèles aux messages d’Issa ibn Mariam (PSL). Allah (SWT) a fait de nous un peuple susceptible de jouir de ses capacités physiques, mentales et intellectuelles. C’est dire qu’en vérité, Dieu n’a jamais oublié ce beau pays qu’est le Sénégal.
Par le signe du rappel à Dieu de cet homme exceptionnel que fut Aliou Ardo Sow (Qu’Allah SWT Soit Satisfait de lui), notre Créateur nous a rappelé que ceux qui sont riches doivent obéir à l’obligation de solidarité et de partage qui pèse sur eux. Il nous rappelle les règles de la générosité, de l’humilité et de la foi en Dieu.
Par le signe du rappel à Dieu de ce grand homme d’État que fut Djibo Leyti Kâ, (Qu’Allah SWT Soit Satisfait de lui) à l’heure où l’Assemblée nationale réunissait les plus grands politiciens de notre pays pour élire son Président et son bureau, notre Créateur nous a rappelé que la politique n’est pas du tout un concours d’injures et de coups de poing. Elle ne consiste pas non plus à rivaliser dans le mensonge et la trahison.
Enfin, par le signe du rappel à Dieu de Elhadj Abdoul Aziz Sy Al Amine, (Qu’Allah SWT Soit Satisfait de lui) gardien de l’héritage de Cheikh Seydi Elhadj Malick Sy (RTA), notre Créateur nous étalé les hautes qualités morales d’un guide religieux qui a toujours suivi le droit chemin tracé par Allah (SWT). Un homme qui a toujours fait des dons charitables sur les richesses que Dieu lui a données, comme le lui a recommandé le saint Coran ».
Allah adresse ses signes à ceux qui croient, à ceux qui pensent et à ceux qui réfléchissent. Le Peuple sénégalais répond à ces critères.
Que Dieu protège le Sénégal et son Peuple et l’éloigne des chemins de l’ignorance, de l’indiscipline et de la violence sous toutes ses formes.
Moumar GUEYE
Écrivain
Président du PEN Sénégal
E-mail : moumar@orange.sn
Chacun de ces grands hommes a laissé à notre pays un héritage immense et inoubliable ! Aliou Ardo Sow était un bienfaiteur incontestable. Il était d’une générosité remarquable. Il fut discret et humble. Il rendait service et ne s’est jamais gonflé d’orgueil. Je regrette beaucoup de ne l’avoir jamais vu et de ne lui avoir jamais serré la main.
Djibo Leyti Kâ fut un homme d’État intègre, compétent et courageux. Il assumait ses opinions et ses positions politiques sans peur et sans reproche. Il fut le meilleur ministre de la République que j’ai eu comme patron, durant mes 40 ans de service dans l’administration sénégalaise.
El hadj Abdoul Aziz Sy Al Amine, à l’image de Daabaax, son vénérable homonyme, fut un chef religieux qui a toujours joué son rôle d’éveilleur de conscience, de guide religieux, de gardien infatigable de l’héritage légué par Cheikh Seydi Elhadj Malick Sy (RTA). Il a toujours accompli sa mission de lanceur d’alerte et de médiateur de la République.
Il partageait toujours ses revenus avec les démunis. En résumé, il fut un véritable Ambassadeur de la Paix et de la Justice sociales. Je l’ai rencontré une seule fois. Je lui ai serré la main une seule fois. Mais j’écoutais toujours ses messages et conférences avec respect et attention.
Voilà donc que par la volonté divine, ces patriotes de très haut rang dont Allah (SWT) avait gratifié le Sénégal et dont les œuvres sur Terre seront inscrites à jamais sur les limbes de l’histoire récente de notre pays viennent d’être arrachées à notre affection. À la surprise générale, ils viennent de terminer leurs nobles missions sur Terre… Ainsi va la vie.
Le Coran nous a rappelé que la mort que nous craignons tant nous surprendra toujours ! Nous serons ramenés à Celui qui connait parfaitement le monde invisible et le monde visible. Il nous informera alors de ce que nous avons accompli sur Terre. À Lui nous appartenons, à Lui nous retournerons.
Après une profonde analyse de ces pénibles évènements successifs qui ont frappé le Sénégal en 2017, je me vois obligé de rappeler que la disparition brutale de Aliou Ardo Sow, l’homme d’affaires, Djibo Leyti Kâ, l’homme d’État et Elhadj Abdoul Aziz Sy Al amine, l’homme de Dieu (Que Dieu soit Satisfait d’eux), ne devrait jamais être perçue tout simplement comme une mort normale, ordinaire et naturelle réservée à tous les êtres vivants. Il est évident que la vie est un village d’où personne ne sortira vivant !
Mais au regard de l’envergure de ces trois hommes, de la diversité de leurs sacerdoces, de la grandeur de leurs œuvres à travers notre pays, de la complémentarité salutaire de leurs tâches, il s’agit véritablement d’un message divin adressé au Peuple sénégalais. En fait, les illustres disparus, connus et respectés de tous et qui ont bénéficié d’honneurs, de privilèges, d’adoration et de respect par la grâce de Dieu, sont les exemples emblématiques qui illustrent ce message divin adressé à notre Peuple et que je traduirais ainsi :
« Le Peuple sénégalais devrait toujours se rappeler les bienfaits dont Allah (SWT) a gratifié ce grand pays. Il nous a offert des terres fertiles. Il nous a donné la pluie qui arrose nos terres, fait germer les semences et fait pousser les plantes pour notre profit et celui de nos troupeaux. Il nous a offert des fleuves, des cours d’eau et des lacs. Il nous a offert la mer et ses richesses immenses et incalculables. Il nous a offert de l’or, du fer, du phosphate, du zircon, du pétrole et du gaz naturel.
Par la grâce de Dieu, le Sénégal est un pays béni où toute l’année se succèdent des périodes de récolte de maïs, de mil, d’arachide, de pastèque, d’oignon, de tomate, de pomme de terre, de melons, de mangues, d’oranges et de fruits forestiers de toutes sortes.
Mais ce peuple chanceux à qui Allah (SWT) a offert la PAIX et tant de trésors et de bienfaits, au lieu de remercier intensément et en permanence Dieu le Tout-Puissant en jouissant de toutes ces faveurs, s’est distingué négativement à la face du monde.
Notre pays est le champion du Monde en matière de bavardage inutile, de lamentations interminables, de mensonges infâmes, de critiques sans fondement, de violence verbale, d’injures ignobles, d’indiscipline généralisée, de détournement des biens publics et de meurtre gratuit. Notre peuple n’est jamais satisfait ! Il se plaint toujours et à toutes les occasions. Il râle quand il pleut. Quand la pluie et la foudre font une seule victime, le Sénégalais oublie totalement les bienfaits de l’hivernage et maudit l’eau de pluie malgré ses nombreux bienfaits.
Quand il tarde à pleuvoir, il proteste et accuse ses dirigeants d’avoir la poisse. Il rouspète quand il fait chaud. Il peste quand il fait froid. Quand il est fauché, il accuse son Président sans chercher à travailler. Ce Peuple est souvent divisé quand le mois de Ramadan s’annonce. Il prolonge la division à la Tabaski et s’inquiète à tort pour la rareté des moutons du sacrifice.
L’exercice favori de notre Peuple consiste à souvent critiquer, à interpeler, à invectiver et à manquer de respect au Chef de l’État, gardien de la Constitution. Cent jours après avoir élu son Président, notre Peuple ne lui laisse presque jamais de répit pour lui permettre de dérouler sereinement ses programmes et résoudre les préoccupations majeures de ses compatriotes. Notre Peuple n’épargne même pas ses guides religieux qu’il accuse de laxisme, quand par sagesse, ils gardent le silence. Quand ils se prononcent sur les affaires de la cité, ils le critiquent sévèrement en cachette.
C’est aussi dans ce pays majoritairement musulman qu’est le Sénégal où l’on voit les femmes envahir les cérémonies de levée des corps rappelés à Dieu. Et pourtant, exception faite pour les femmes en charge de la toilette mortuaire, aucune autre femme n’a sa place aux cérémonies funéraires. En effet, les femmes n’ont souvent pas en charge la toilette du défunt. Elles ne l’enveloppent pas dans le linceul. Elles ne participent pas à la prière mortuaire. Elles ne transportent pas le mort au cimetière.
Elles ne creusent pas la tombe et ce ne sont pas elles qui enterrent le mort. Elles n’ont donc rien à faire dans les cérémonies de levée de corps qu’elles envahissent et perturbent souvent avec leurs bavardages interminables, leurs complaintes intempestives, leurs cris stridents, leurs gémissements plaintifs et leurs transes souvent ridicules. Tous ces excès étant formellement interdits par l’Islam
En plus de toutes ces dérives regrettables, une bonne partie de notre Peuple est atteint d’une grave maladie morale dénommée « ignorance ».
L’ignorance est la plus grande tragédie qui affecte le Peuple sénégalais. Dans ce pays pourtant très chanceux, le mal de l’ignorance est profond et persistant. Il a fini par atteindre des couches très importantes de la société. Ainsi, nous entendons souvent des ignorants et des indisciplinés qui au nom de la liberté d’expression et de la démocratie, prennent publiquement la parole pour dire ce qu’ils pensent. C’est le fameux exercice du « wax sa xalaat ».
Malheureusement, les déclarations des ignorants génèrent presque toujours des paroles qui fâchent le peuple, des paroles qui désorientent le peuple, des paroles qui font peur au peuple, des paroles qui génèrent la violence. En un mot, ce sont souvent des paroles dépourvues de sens, d’élégance et de bienveillance.
Le paroxysme du mal a été atteint ces temps derniers, quand des citoyens ordinaires se sont permis à travers les réseaux sociaux, d’adresser des propos monstrueux, indécents et irrespectueux aux institutions de la République. Jamais le Sénégal, pays de la teraanga n’a connu de telles dérives dans son histoire politique !
Et pourtant, Allah (SWT) nous a offert comme guide, le Coran glorieux. Il nous a envoyé d’honorables guides religieux pour perpétuer l’islam et la tradition du Prophète Mouhamed (PSL). Il nous a permis de vivre en paix avec nos frères chrétiens, fidèles aux messages d’Issa ibn Mariam (PSL). Allah (SWT) a fait de nous un peuple susceptible de jouir de ses capacités physiques, mentales et intellectuelles. C’est dire qu’en vérité, Dieu n’a jamais oublié ce beau pays qu’est le Sénégal.
Par le signe du rappel à Dieu de cet homme exceptionnel que fut Aliou Ardo Sow (Qu’Allah SWT Soit Satisfait de lui), notre Créateur nous a rappelé que ceux qui sont riches doivent obéir à l’obligation de solidarité et de partage qui pèse sur eux. Il nous rappelle les règles de la générosité, de l’humilité et de la foi en Dieu.
Par le signe du rappel à Dieu de ce grand homme d’État que fut Djibo Leyti Kâ, (Qu’Allah SWT Soit Satisfait de lui) à l’heure où l’Assemblée nationale réunissait les plus grands politiciens de notre pays pour élire son Président et son bureau, notre Créateur nous a rappelé que la politique n’est pas du tout un concours d’injures et de coups de poing. Elle ne consiste pas non plus à rivaliser dans le mensonge et la trahison.
Enfin, par le signe du rappel à Dieu de Elhadj Abdoul Aziz Sy Al Amine, (Qu’Allah SWT Soit Satisfait de lui) gardien de l’héritage de Cheikh Seydi Elhadj Malick Sy (RTA), notre Créateur nous étalé les hautes qualités morales d’un guide religieux qui a toujours suivi le droit chemin tracé par Allah (SWT). Un homme qui a toujours fait des dons charitables sur les richesses que Dieu lui a données, comme le lui a recommandé le saint Coran ».
Allah adresse ses signes à ceux qui croient, à ceux qui pensent et à ceux qui réfléchissent. Le Peuple sénégalais répond à ces critères.
Que Dieu protège le Sénégal et son Peuple et l’éloigne des chemins de l’ignorance, de l’indiscipline et de la violence sous toutes ses formes.
Moumar GUEYE
Écrivain
Président du PEN Sénégal
E-mail : moumar@orange.sn