A l'occasion de l'ouverture de l'atelier bilan de la campagne de production de tomate industrielle 2012/2013, qui s'est déroulée hier dans la capitale du Nord en présence du Directeur Général Adjoint de la Saed, Mor Diop, Abdoulaye Dieng a précisé que cette contreperformance s'explique entre autres, par le désistement de certaines unions hydrauliques, le retard noté sur les façons culturales et les contraintes phytosanitaires dues à une maladie causée par l'acariose bronzée et la bactériose.
Malgré ces difficultés, M. Dieng a salué l'esprit de partenariat des ces trois sociétés industrielles, la Socas, Agroline et Takamoul qui ont respectivement reçu des producteurs du delta et de la vallée du fleuve Sénégal, 19.632 tonnes, 13.893 t et 5560 t de tomate bord-champ.
Abdoulaye Dieng leur a encore demandé d'honorer leur engagement en mettant en place dans les plus brefs délais dans le département de Podor des usines de transformation de tomate. Ceci, pour accompagner de manière durable, le développement de la filière tomate industrielle dans notre pays.
Il a rappelé que la culture de tomate dans la vallée remonte aux années 70 et depuis, elle ne cesse d'engranger des acquis dans cette zone agro-écologique qui regorge d'énormes potentialités naturelles.
Ces dernières années, a-t-il poursuivi, d'importants résultats ont été obtenus, en témoignent la forte progression des superficies emblavées, l'amélioration de la productivité, la création du comité national de concertation sur la tomate industrielle en 1995 et les importants investissements industriels réalisés par l'implantation de deux usines de la Socas à Savoigne et à Dagana.
Parlant des stratégies à mettre en œuvre pour résoudre les problèmes de cette filière, le Dg adjoint de la Saed, Mor Diop a longuement insisté sur la nécessité de respecter scrupuleusement le calendrier cultural. Ce qui permettra d'éviter ces nombreuses maladies qui détruisent les cultures et d'enregistrer une baisse du rendement.
Cela fait trente ans que les paysans de la vallée s'adonnent à la culture de tomate. Cette filière est actuellement malade. Les producteurs ont enregistré un déficit de production et les industriels ont travaillé à perte.
Selon Mor Diop, on doit mobiliser toutes les énergies pour permettre aux paysans de produire au moins 100.000 tonnes de tomate par campagne.
Mbagnick Kharachi Diagne
Malgré ces difficultés, M. Dieng a salué l'esprit de partenariat des ces trois sociétés industrielles, la Socas, Agroline et Takamoul qui ont respectivement reçu des producteurs du delta et de la vallée du fleuve Sénégal, 19.632 tonnes, 13.893 t et 5560 t de tomate bord-champ.
Abdoulaye Dieng leur a encore demandé d'honorer leur engagement en mettant en place dans les plus brefs délais dans le département de Podor des usines de transformation de tomate. Ceci, pour accompagner de manière durable, le développement de la filière tomate industrielle dans notre pays.
Il a rappelé que la culture de tomate dans la vallée remonte aux années 70 et depuis, elle ne cesse d'engranger des acquis dans cette zone agro-écologique qui regorge d'énormes potentialités naturelles.
Ces dernières années, a-t-il poursuivi, d'importants résultats ont été obtenus, en témoignent la forte progression des superficies emblavées, l'amélioration de la productivité, la création du comité national de concertation sur la tomate industrielle en 1995 et les importants investissements industriels réalisés par l'implantation de deux usines de la Socas à Savoigne et à Dagana.
Parlant des stratégies à mettre en œuvre pour résoudre les problèmes de cette filière, le Dg adjoint de la Saed, Mor Diop a longuement insisté sur la nécessité de respecter scrupuleusement le calendrier cultural. Ce qui permettra d'éviter ces nombreuses maladies qui détruisent les cultures et d'enregistrer une baisse du rendement.
Cela fait trente ans que les paysans de la vallée s'adonnent à la culture de tomate. Cette filière est actuellement malade. Les producteurs ont enregistré un déficit de production et les industriels ont travaillé à perte.
Selon Mor Diop, on doit mobiliser toutes les énergies pour permettre aux paysans de produire au moins 100.000 tonnes de tomate par campagne.
Mbagnick Kharachi Diagne