La tension a atteint son paroxysme au Centre Hospitalier Régional de Saint-Louis (Chrsl). La rage syndicalisme qui s’y déverse développe désormais une colère noire contre le directeur Ousmane GUEYE accusé d’avoir plongé l’institution sanitaire dans le chaos.
Après plusieurs jours de sit-in pour dénoncer une « gestion nébuleuse », les membres les trois principaux syndicats (SUTSAS-SAS-SAMES) regroupés autour de l’alliance 3S ont pris d’assaut, ce matin, des artères de la ville pour une marche pacifique.
Travailleurs et médecins fustigent ensemble une « gestion sombre » des finances de l’institution sanitaire, la dotation d’équipements défaillants en plus d’une hausse des tarifs de consultation. Un tableau peu reluisant peint par les entités soutenues par d’autres représentations syndicales et des personnalités de la ville.
Les fractions syndicales invitent l’Etat à auditer la gestion du directeur afin que la lumière soit faite notamment sur les 884 000.000 FCFA destinés à la réhabilitation de l’hôpital. Pour eux, aucune réalisation n’a été sentie après la réception de ce financement.
Ils ont par ailleurs évoqué des micmacs sur une enveloppe de 364 millions FCFA, une subvention du gouvernement. Très en verve, les manifestants révèlent que l’hôpital n’a pas fait déposé ses cotisations à l’IPRES depuis plusieurs mois et que les classements des travailleurs sont faits de manière inéquitable.
>>> Suivez les temps forts de la marche ...
Après plusieurs jours de sit-in pour dénoncer une « gestion nébuleuse », les membres les trois principaux syndicats (SUTSAS-SAS-SAMES) regroupés autour de l’alliance 3S ont pris d’assaut, ce matin, des artères de la ville pour une marche pacifique.
Travailleurs et médecins fustigent ensemble une « gestion sombre » des finances de l’institution sanitaire, la dotation d’équipements défaillants en plus d’une hausse des tarifs de consultation. Un tableau peu reluisant peint par les entités soutenues par d’autres représentations syndicales et des personnalités de la ville.
Les fractions syndicales invitent l’Etat à auditer la gestion du directeur afin que la lumière soit faite notamment sur les 884 000.000 FCFA destinés à la réhabilitation de l’hôpital. Pour eux, aucune réalisation n’a été sentie après la réception de ce financement.
Ils ont par ailleurs évoqué des micmacs sur une enveloppe de 364 millions FCFA, une subvention du gouvernement. Très en verve, les manifestants révèlent que l’hôpital n’a pas fait déposé ses cotisations à l’IPRES depuis plusieurs mois et que les classements des travailleurs sont faits de manière inéquitable.
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