Le jeune producteur Natogo DIOP dans son champ, avec Amadou DIOP, responsable des constrats de culture de la CASL
« Je ne me soucie plus de l’écoulement de ma production. En aménageant mes champs, je sais déjà que mon riz sera commercialisé grâce au contrat de culture qui me lie avec la CASL », dit-il parcourant fièrement ses champs, à perte de vue, à quelques encablures de ROSS-BETHIO.
« Du début à la fin de la campagne, je bénéficie d’accompagnement et de suivi de la part de mes partenaires de la CASL. Cette assistance m’oriente dans l’usage rationnel des produits phytosanitaires pour la préservation de l’environnement. Il faut dire qu’avec ces contrats, j’ai enregistré de nettes améliorations dans mes activités culturales », a-t-il ajouté.
Lancé lors de la campagne contre saison chaude 2017 avec un objectif de 400 hectares, ce programme inscrit dans les engagements sociaux de l’entreprise avait permis d’enrôler 52 petits producteurs riziers. À l’hivernage 2017, la CASL avait misé sur 600 hectares. Elle avait signé des contrats avec 76 bénéficiaires.
Aujourd’hui, pour la contre saison chaude 2018, 1200 ha sont exploités et 82 producteurs contractés. Le prix de vente du riz est fixé par l’interprofessionnelle du riz après une large concertation entre les acteurs. D’ailleurs, cette organisation, satisfaite des résultats de cette nouvelle synergie collaborative, souhaite dupliquer le modèle entre les riziers et les commerçants.
« Nous notons un grand engouement autour du projet de la part des producteurs de riz », se félicite Amadou DIOP, responsable de contrats de culture à la Compagnie agricole de Saint-Louis.
Il faut rappeler qu’en amont de ce partenariat, l’Agroindustiel membre de VAllagri assiste, au besoin, les exploitants à acquérir des financements auprès des institutions financières. Au démarrage de la culture, la CASL épaule le producteur avec des suivis réguliers « à des étapes stratégiques », explique M. DIOP.
« De la parcelle à l’usine, nous suivons le processus. L’exploitant est soulagé du fardeau de garder son riz dans un stockage intermédiaire », a-t-il noté, en précisant que les propriétaires gagnent, en moyenne, 80.000 FCFA avec cet appui de la CASL.
« À travers cette assistance, nous cherchons à systématiser la culture en double campagne pour les producteurs partenaires. Cela leur permettra d’avoir ainsi des revenus conséquents », a-t-il assuré.
>>> Les impressions de NATOGO DIOP et les explications d'AMADOU DIOP
« Du début à la fin de la campagne, je bénéficie d’accompagnement et de suivi de la part de mes partenaires de la CASL. Cette assistance m’oriente dans l’usage rationnel des produits phytosanitaires pour la préservation de l’environnement. Il faut dire qu’avec ces contrats, j’ai enregistré de nettes améliorations dans mes activités culturales », a-t-il ajouté.
Lancé lors de la campagne contre saison chaude 2017 avec un objectif de 400 hectares, ce programme inscrit dans les engagements sociaux de l’entreprise avait permis d’enrôler 52 petits producteurs riziers. À l’hivernage 2017, la CASL avait misé sur 600 hectares. Elle avait signé des contrats avec 76 bénéficiaires.
Aujourd’hui, pour la contre saison chaude 2018, 1200 ha sont exploités et 82 producteurs contractés. Le prix de vente du riz est fixé par l’interprofessionnelle du riz après une large concertation entre les acteurs. D’ailleurs, cette organisation, satisfaite des résultats de cette nouvelle synergie collaborative, souhaite dupliquer le modèle entre les riziers et les commerçants.
« Nous notons un grand engouement autour du projet de la part des producteurs de riz », se félicite Amadou DIOP, responsable de contrats de culture à la Compagnie agricole de Saint-Louis.
Il faut rappeler qu’en amont de ce partenariat, l’Agroindustiel membre de VAllagri assiste, au besoin, les exploitants à acquérir des financements auprès des institutions financières. Au démarrage de la culture, la CASL épaule le producteur avec des suivis réguliers « à des étapes stratégiques », explique M. DIOP.
« De la parcelle à l’usine, nous suivons le processus. L’exploitant est soulagé du fardeau de garder son riz dans un stockage intermédiaire », a-t-il noté, en précisant que les propriétaires gagnent, en moyenne, 80.000 FCFA avec cet appui de la CASL.
« À travers cette assistance, nous cherchons à systématiser la culture en double campagne pour les producteurs partenaires. Cela leur permettra d’avoir ainsi des revenus conséquents », a-t-il assuré.
>>> Les impressions de NATOGO DIOP et les explications d'AMADOU DIOP
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