Pour chaque gouvernement, il existe ses localités de légitimité d’où le hold-up électoral constaté lors de ses élections. La transparence instaurée par le régime libéral semble être dédaigné par des autorités véreuses reprenant la logique des manœuvres déviantes dans les élections fissurant de facto les acquis démocratique d’antan. La modification de la volonté du corps électoral de Saint Louis est motivée par l’enjeu que représente la coopération décentralisée de cette localité qui finance beaucoup de grands projets de la Commune. Cette impiété est l’épilogue d’une longue série de bassesses. L’intérêt devait pourtant s’éveiller progressivement après l’altération de maints leviers impropres à un jeu démocratique sincère dont la déclaration de l’hypocrisie républicaine lors des opérations de nettoiement de la ville de Décembre 2013 et les dépenses électorales d’Etat notamment.
La ferme volonté de la coalition présidentielle de gagner la Commune de la première dame s’est manifestée dans la pratique du don électoral qui - tout en demeurant illégale - entre dans le cadre d’une opération d’envergure de corruption des masses. Le don électoral a exhorté certains leaders politiques au papillonnage idéologique et à la pirouette politique à Saint Louis. Ceci incite à la croyance à la famine manifeste de certains leaders d’opinions, politiciens et militants de certains partis d’opposition. La mise en place de système de fraudes comme la corruption et les avantages en nature afin d’inciter les électeurs à voter pour la liste Benno Bok Yaakar s’est avérée très efficace. Cela s’explique par maints facteurs : ralliements massifs, l’espionnage politique et volatilité électorale dans certains quartiers. La finalité des toutes ses pratiques électorales manipulées et corrompues est la gestion patriarcale de la Commune.
La conspiration contre Saint Louis a vu la participation de plusieurs acteurs dont une bande des déviants espérant des promotions de la honte et des recommandations pour des avancements en soutenant une gestion patriarcale. La gestion patriarcale de la Commune conduira certainement à une confusion dans la mesure où les relations de gestion seront calquées sur les rapports familiaux ce qui engendre un bafouillage de la démocratie participative. La floraison des relations affectives de loyauté personnelle sape les principes de base de la gestion des affaires publiques. Pourtant, il apparaît clair que l’argent du contribuable doit servir à la satisfaction des besoins de la collectivité mais le constat n’est que la prémisse d’une gestion paternaliste. Les irrégularités du processus électoral sont des symptômes d’une pathologie de loyalisme. Dans le loyalisme, l’idée de performance est exclue car les emplois sont distribués en fonction de considérations particularistes. L’objectif principal est de récompenser les alliés.
L’installation de cette municipalité constitue un mauvais choix et une très mauvaise idée pour deux raisons principales. La première entraine la multiplication des frustrations nées de la gestion du beau-frère au niveau central et un mécontentement généralisé suite au hold-up électoral. La seconde raison suscite l'accaparement privé des ressources collectives par une minorité. Admettons que ceux qui sont habitués à compter sur l’Etat n’apprennent jamais l’art de l’action autonome et n’acquièrent pas non plus le sens du bien commun donc l’acte 3 de la décentralisation sera une incohérence et il ne sera guère étonnant de constater des soulèvements dans l’avenir. Finalement la Commune de Saint Louis est en danger.
DJIBY NDIAYE
UJTL/Saint Louis
La ferme volonté de la coalition présidentielle de gagner la Commune de la première dame s’est manifestée dans la pratique du don électoral qui - tout en demeurant illégale - entre dans le cadre d’une opération d’envergure de corruption des masses. Le don électoral a exhorté certains leaders politiques au papillonnage idéologique et à la pirouette politique à Saint Louis. Ceci incite à la croyance à la famine manifeste de certains leaders d’opinions, politiciens et militants de certains partis d’opposition. La mise en place de système de fraudes comme la corruption et les avantages en nature afin d’inciter les électeurs à voter pour la liste Benno Bok Yaakar s’est avérée très efficace. Cela s’explique par maints facteurs : ralliements massifs, l’espionnage politique et volatilité électorale dans certains quartiers. La finalité des toutes ses pratiques électorales manipulées et corrompues est la gestion patriarcale de la Commune.
La conspiration contre Saint Louis a vu la participation de plusieurs acteurs dont une bande des déviants espérant des promotions de la honte et des recommandations pour des avancements en soutenant une gestion patriarcale. La gestion patriarcale de la Commune conduira certainement à une confusion dans la mesure où les relations de gestion seront calquées sur les rapports familiaux ce qui engendre un bafouillage de la démocratie participative. La floraison des relations affectives de loyauté personnelle sape les principes de base de la gestion des affaires publiques. Pourtant, il apparaît clair que l’argent du contribuable doit servir à la satisfaction des besoins de la collectivité mais le constat n’est que la prémisse d’une gestion paternaliste. Les irrégularités du processus électoral sont des symptômes d’une pathologie de loyalisme. Dans le loyalisme, l’idée de performance est exclue car les emplois sont distribués en fonction de considérations particularistes. L’objectif principal est de récompenser les alliés.
L’installation de cette municipalité constitue un mauvais choix et une très mauvaise idée pour deux raisons principales. La première entraine la multiplication des frustrations nées de la gestion du beau-frère au niveau central et un mécontentement généralisé suite au hold-up électoral. La seconde raison suscite l'accaparement privé des ressources collectives par une minorité. Admettons que ceux qui sont habitués à compter sur l’Etat n’apprennent jamais l’art de l’action autonome et n’acquièrent pas non plus le sens du bien commun donc l’acte 3 de la décentralisation sera une incohérence et il ne sera guère étonnant de constater des soulèvements dans l’avenir. Finalement la Commune de Saint Louis est en danger.
DJIBY NDIAYE
UJTL/Saint Louis