Le Comité Sénégalais pour la fortification des aliments en micronutriments (COSFAM) a tenu, samedi, une séance de sensibilisation à l’Espace Jeunes de Saint-Louis, marquée par une forte mobilisation et rythmée par des projections de films, distributions de plaquettes et échanges avec les populations.
Le collectif qui fait escale dans la ville tricentenaire, dans le cadre d’une vaste campagne de sensibilisation, a insisté sur les répercussions dangereuses de la carence des vitamines A et B2 sur l’organisme.
« Elle peut provoquer la cécité infantile, l’anémie, et des problèmes de croissance en bas âge », a alerté Souleymane NDIAYE, son président.
« Saint Louis est en dessous de la moyenne nationale», a-t-il renseigné. « C’est pour cela que le COSFAM a entrepris un certain nombre d’actions dans les départements de Saint-Louis, Podor et Dagana pour approcher les populations et les sensibiliser dur le sujet », a-t-il dit.
Cet organe, installé en 2009 par l’État, veut pallier au manque de consommations de ces deux nutriments essentiels dans l’huile et la farine et lutter, ainsi, contre ces « incidents multiples.
En plus des actions d’informations qu’il mène, il bénéficie d’un appui institutionnel au niveau des industriels, des commerçants et des populations.
> Suivez les explications de M. NDIAYE …
Le collectif qui fait escale dans la ville tricentenaire, dans le cadre d’une vaste campagne de sensibilisation, a insisté sur les répercussions dangereuses de la carence des vitamines A et B2 sur l’organisme.
« Elle peut provoquer la cécité infantile, l’anémie, et des problèmes de croissance en bas âge », a alerté Souleymane NDIAYE, son président.
« Saint Louis est en dessous de la moyenne nationale», a-t-il renseigné. « C’est pour cela que le COSFAM a entrepris un certain nombre d’actions dans les départements de Saint-Louis, Podor et Dagana pour approcher les populations et les sensibiliser dur le sujet », a-t-il dit.
Cet organe, installé en 2009 par l’État, veut pallier au manque de consommations de ces deux nutriments essentiels dans l’huile et la farine et lutter, ainsi, contre ces « incidents multiples.
En plus des actions d’informations qu’il mène, il bénéficie d’un appui institutionnel au niveau des industriels, des commerçants et des populations.
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