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Comment Faciliter la Défense et la Sécurité de la Population Africaine ?

Jeudi 3 Mai 2012

La Tiède Stratégie Propose des Solutions Simultanées
En Afrique Septentrionale, Méridionale, Occidentale, et Orientale


(Cette hypothèse est en construction)

Comment Faciliter la Défense et la Sécurité de la Population Africaine ?
L’Ébauche de la TièdeStratégie
Ci-dessous figurent quelques stratégies de développement suivant le modèle de la TièdeStratégie. Ceci pour construire une Afrique forte, unie, émergente, et prospère. Au besoin d’autres stratégies pourront s’y ajouter notamment celles océanographiques, douanières, politiques, topographiques, géographiques, navales, et maritimes.

Stratégies sociales (santé publique)
L’affirmation suivante semble banale, mais elle est d’une importance capitale. L’une des stratégies sociales la plus importante est celle de la préservation des valeurs consensuelles, traditionnelles, familiales, et africaines. Ceci préviendra tout dysfonctionnement social conduisant à la crise des valeurs, la prostitution, la délinquance juvénile, et la recrudescence de la criminalité. En effet, quand les enfants obéissent aux bonnes règles éthiques inculquées en eux dès le bas âge, ils sont à l'abri de tous les fléaux sociaux. Une telle stratégie sociale pourrait ralentir la progression de certaines maladies qui sont entrain de faire ravage en Afrique (SIDA, syphilis). Des médecins et scientifiques ont beaucoup parlé de la recrudescence des maladies sexuellement transmissibles. Il faudra un dépistage permanent et assidu. Si l’on ne soigne pas la population touchée par ces maladies graves et contagieuses, elle ne pourra jamais contribuer au développement de l’Afrique.
Une seconde stratégie sociale accorde une place toute particulière aux enfants. Ainsi, le droit de tous les enfants devrait être promulgué pour que plus jamais, un enfant ne travaille dans les zones belligérantes dangereuses, ou ne vadrouille tout seul dans les rues des grandes capitales africaines. En plus, puisqu’ils sont les futurs dirigeants des pays africains, ils devraient avoir les mêmes chances. Ils ne devraient plus être esclaves ni dans les usines, ni dans les rues des capitales africaines (exemples des talibés au Sénégal).
Une défense africaine devrait mettre en exergue de nouveaux concepts tels que l’évitement de l’émigration clandestine, le dépistage des maladies contagieuses, la multiplication des actions humanitaires, la lutte contre l’analphabétisme, le contrôle des mouvements clandestins, la bonne gestion et une stricte prévention de tous les conflits ethniques africains. Là sont des stratégies sociales qui pourraient faciliter la défense et la sécurité de toute la population africaine.

Stratégies écologiques et secours publics en cas de catastrophes naturelles
Une bonne protection de l’environnement est nécessaire. Une stratégie de protection durable est tout au moins aussi ou plus importante que la préservation des valeurs traditionnelles familiales consensuelles et africaines. En plantant des arbres et en multipliant les espaces verts, les Africains pourront atténuer la pollution causée par les vieilles voitures et usines obsolescentes, ainsi que l’air nocif faisant l’objet de plusieurs attaques asthmatiques. Il est important de noter que des stratégies environnementales ont fait l’objet de plusieurs études dans le milieu scientifique africain et européen. Une politique agricole et maraîchère pourra pallier la hausse de la malnutrition tout en permettant aux Africains d’avoir accès à des ressources alimentaires suffisantes pour une bonne croissance biologique.
L’instauration de la salubrité par des mesures [s'il le faut] coercitives est nécessaire. Il n’est plus question de vivre dans la saleté tant répandue dans la majorité des villes africaines. Il faudra donc faire un travail constant d’assainissement. Ce n’est pas parce que l’on est pauvre que l’on doit vivre dans des quartiers insalubres. Chaque individu doit prendre le temps de nettoyer son environnement immédiat. Les gouvernements, quant à eux, devront être responsables des lieux publics.
Finalement, comme ils ont déjà commencé, les scientifiques Africains sont entrain d’étudier les futurs enjeux de l’environnement causé par le réchauffement terrestre. « Un homme averti en vaut deux ! » Les futures catastrophes naturelles ne devraient pas prendre tous les Africains au dépourvu. Pour atténuer les effets négatifs des inondations, des érosions, des séismes, des éruptions volcaniques, et des éventuels raz-de-marée, les gouvernements africains devraient initier des cours sur tout ce qui concernent les secours publics. Tous les Africains y gagneront. Si en plus de toutes ces mesures, les Africains parviennent à gérer leurs déchets (tri, recyclage, et compostage), l’Afrique avec son soleil rayonnant et omniprésent, sera sans doute un paradis terrestre pour les Africains eux-mêmes, et les étrangers et touristes qui choisiront d’y vivre. Ce qui s’est passé en Haïti entre 2010 et 2011 devrait servir de leçon au monde entier, et aux Africains en particulier.

Stratégies de sécurité (tolerance zero)
Une stratégie de sécurité parait être une mer à boire. Cependant, elle est une tâche nécessaire. Qu’est-ce qui fait l’insécurité des villes africaines ? On peut énumérer une multitude de problèmes. Ici on ne retiendra que quelques uns. En effet, plusieurs buildings se construisent en Afrique sans l’expertise de professionnels avertis. Par conséquent, ils s’écrasent quelquefois en laissant un bilan humain lourd et macabre. Autre chose, le manque de liaisons piétonnes prudentes, cause une myriade d’accidents mortels sans compter le non respect du code de la route dans certaines villes africaines.
Les vieilles voitures font des dégâts incommensurables. Et comme par hasard, elles ne sont jamais en règle. L’achat des permis de conduire devrait être réprimé et interdit dans toute l’Afrique, de même que la désinvolture qui règne au sein des transports interurbains. Il est nécessaire de mettre en vigueur une politique de déplacement efficace prônant le respect des règles du stationnement tout en favorisant une bonne desserte. L’élimination des vieilles voitures sans freins ni rétroviseur est souhaitée. Il est absurde qu’un Africain, ou qu’un visiteur étranger, perde la vie au niveau d’un passage clouté puisque qu’une loi conventionnelle les a induits en erreur. Les panneaux de signalisations doivent être respectés sous peine de payer non pas un « bakchich », mais une forte amende qui ira directement dans les caisses de l’Etat. Bien sûr, toute amende devrait se singulariser par sa spécificité référentielle dans un system informatique étatique.


Malheureusement le problème de sécurité le plus alarmant se trouve dans les ports, les aéroports, et les gares. En 2007, le taux de la criminalité était inquiétant aussi bien qu’au Sénégal que dans les autres pays africains. Le paragraphe suivant illustre des crimes perpétrés à Dakar-Sénégal entre 2006 et 2007. Par exemple, d’après quelques medias sénégalais, une domestique a été sauvagement assassinée à Dakar pour un ordinateur qui appartenait à ses patrons. La victime a été tuée par des badauds qui cherchaient de petits gadgets (ordinateurs, portables, ipod) ; ceci, pendant qu’elle vendait sa force de travail. Toujours durant la même période, une femme a été brutalement égorgée à cinq heures du matin dans le marché où elle s’approvisionnait le poisson qu’elle revendait par détail dans les quartiers dakarois. Des vacanciers Sénégalais qui n’ont pas vu les membres de leur famille pendant plus de 10 ans, ont perdu la vie trois jours après leur arrivée au Sénégal pour de petits gadgets qu’ils ramenaient d’Italie. Un « talibé » a été trouvé mort à la Médina pour des raisons inconnues. Une Européenne qui vivait à Sally Portudal, a été tuée et enterrée dans la maison qu’elle louait. Malheureusement, d’après la division des investigations criminelles (DIC) du Sénégal, ces crimes n’ont même pas représentés 1% des crimes commis au pays de la Teranga entre les années 2006 et 2007. Ce qui signifie au moins une chose. Nul n’est épargné. Les bonnes, les ménagères, les chefs de famille, les gardiens, les « talibés », les mendiants, les touristes, les propriétaires des téléphones portables, et le plus révoltant, les enfants. Par exemple durant les élections présidentielles sénégalaises 2012, la presse sénégalaise a dénoncé des abus vis-à-vis des enfants « Talibés » et des albinos en bas âge. Ces derniers sont victimes des crimes les plus odieux dans une Afrique qui continue de chanter ses valeurs éthiques ancestrales.
Qui est à l’origine de ces crimes ? Depuis quand les criminels s’en prenaient aux plus faibles et aux plus pauvres ? Il semble que ces crimes sont perpétrés par des Sénégalais de mêmes que des Africains qui résident à Dakar. Y-a-t-il des dysfonctions dans les familles africaines ? Et le trafic des stupéfiants et des organes humains pourquoi ont-ils pris de grandes proportions en Afrique ? Il y a beaucoup de polémiques. Mais sont-elles fiables ? Les autorités gouvernementales telles que la police, la gendarmerie, et la DIC, pourront certainement éclairer nos lanternes après leurs investigations.

Tenez-vous bien, finalement, le problème de sécurité le plus grave en Afrique, est celui des bagnards Chinois qui y travaillent pour, soi-disant, parfaire nos infrastructures, nos échangeurs, nos autoroutes à péage, et notre technologie de pointe. D’après des sources crédibles provenant des Africains qui ont travaillé en équipe avec les Chinois entre 2000 et 2012, la Chine utilise ses "bagnards" dans ses chantiers localisés en dehors de la Chine, notamment en Afrique. Ce qui, en bon stratège, lui donne un capital humain gratuit.

A cela, s’ajoute la venue des criminels Africains qui ont déjà purgé leur peine chez eux, et qui s’aventurent désormais vers d’autres pays africains pour garder leur anonymat ou simplement pour recommencer à zéro. Quelques criminels Européens s’adonnent à cette même pratique en quittant l’Europe pour émigrer vers l’Afrique, ou vers d’autres cieux. Une question très importante est la suivante. Y-a-t-il des récidivistes parmi ces bagnards Chinois qui travaillent en Afrique ? Y-a-t-il des récidivistes dans ce lot d’Africains ou Européens qui a choisi de s’installer dans d’autres pays africains ? En tout cas, certaines statistiques montrent une criminalité montant en crescendo aussi bien qu'au Sénégal que dans les autres régions africaines. En 2011, durant la grande crise Libyenne et Maghrébine, les médias ont parlé d’une présence mercenaire en Afrique. Par conséquent, chaque gouvernement qui aspire à une sécurité nationale fiable, devrait contrôler ses frontières maritimes, terrestres et fluviales de mêmes que ses bureaux de douanes, ses ports et aéroports. Il est vrai que la règle prônant la tolérance zéro doit être flexible, ce qui fait que des deuxièmes et troisièmes chances doivent être attribuées : en effet, nul n’est parfait. Cependant, pour valider la légitimité du recommencement à zéro en Afrique, il faudra que certaines conditions soient réunies.


Premièrement, les concernés devraient s’assujettir devant les lois des pays qui les accueillent. Deuxièmement, ils devraient accepter de vivre dans la paix dans les communautés qui acceptent de les accueillir. L’Afrique a besoin de bons citoyens. Être un bon citoyen c’est savoir assumer ses devoirs et ses responsabilités. C’est se respecter tout en respectant les autres, c’est avoir un comportement exemplaire en Afrique, en Europe, en Amérique, en Asie, bref dans le monde entier.


Ainsi, pour créer une Afrique émergente, forte, unie, et prospère, il faut des Africains forts, unis, et intègres. Être fort, c’est être en mesure de mettre ses intérêts personnels à coté pour avancer l’intérêt général. Être fort, c’est travailler et gagner son pain quand on est en mesure de le faire. C’est partager son savoir sans rien attendre en retour, c’est pouvoir vivre en paix dans la diversité, c’est savoir que notre prétendue supériorité ethnique ne vaut que pour nous, c’est respecter et accepter les autres tels qu’ils sont, c’est comprendre que l’Afrique a besoin d’une paix durable pour décoller économiquement… C’est savoir que l’on ne sait pas tout, et qu’on ne peut pas tout savoir.

C’est savoir écouter, échanger, et dialoguer de façon objective.
Quant aux ex criminels qui choisissent de recommencer à zéro en Afrique, qu’ils sachent que les troisièmes et quatrièmes chances ne sont automatiques nulle part dans ce monde. Les gens ont le droit d’avoir des gadgets sans pour autant être agressés. Ils ont le droit de dormir sous la claire de lune avec leur famille sans pour autant recevoir leurs coups de haches léonins. D’ailleurs, pourquoi tuer des citoyens dont le seul tort est d’avoir accepté d’être vos hôtes ? L’exemplarité morale doit primer sur l’égocentrisme.

Voila les questions et valeurs républicaines qui méritent d’être débattues au profit des débats ethniques qui ne font qu’enflammer et carboniser les quartiers et villages africains dans lesquels règne une opacité culturelle provenant de l’esclavage et/ou du colonialisme. Ces derniers n’ont fait qu’éclabousser la dignité africaine. Il faut encourager une rhétorique républicaine et fraternelle qui transcende l’histoire des castes, des croyances de supériorité subjectives, et de certaines perceptions négatives pour faciliter une cohabitation civile entre différentes ethnies africaines et Africains et étrangers non-Africains en provenance d’autres cieux.

L’Afrique triomphera quand elle saura transformer ses villages et ses quartiers d’antan en sanctuaires prônant le droit des enfants, des femmes, et des animaux ; ceci, en chantant les louanges du leadership des hommes qui malgré leur supériorité physique et psychique, choisiront de guider, de protéger, et de respecter leurs compatriotes les plus faibles. C’est la voie du Salut pour une intégration africaine dans la paix, la liberté, la fraternité, et le bonheur pour tous.

L’intégration et la Centralisation du System Administratif et Informatique en Afrique Occidentale, Orientale, Méridionale, et Septentrionale !



La Tiède-Stratégie propose une intégration et une centralisation des systèmes informatiques et administratifs utilisés dans les gares, les aéroports, et les ports situés dans tous les pays africains. Cette centralisation devra se faire par étape. Les pays qui maintiennent le statut de « leadership » économique tels que L’Afrique du Sud, le Nigeria, le Kenya, et la Tunisie, […], pourront peut-être assumer la gestion d’un tel projet, tout en encourageant un travail d’équipe avec les pays les moins nantis. La Tiède-Stratégie propose une libre circulation des personnes, des biens, et des services en Afrique de même qu’une fluidité du commerce africain, une union douanière africaine et un système centralisé aussi bien pour l’Afrique Méridionale, Occidentale, Septentrionale, et Orientale.

Ainsi, au lieu d’un système propre pour chaque pays africain, il y aura un système central homogène par région, bref une intégration économique régionale africaine. Une responsabilité colossale et complexe certes, mais qui peut se réaliser. Par conséquent, les aéroports, les gares, et les ports africains, seront informatisés et interconnectés dans quatre systèmes centraux (Est, Ouest, Nord, Sud) , et, en contrepartie, ce phénomène pourra aider dans la collection du renseignement brut sur toutes les sociétés et compagnies étrangères et leurs activités en Afrique. Ainsi les firmes multinationales, les organisations non gouvernementales (ONG) étrangères, et les ambassades seront enregistrées. Les visiteurs Africains ou étrangers, quelque soit leur statut (militaire, marin, diplomate, étudiant, commerçant), devront tous présenter un passeport biométrique où leurs empreintes et photo seront bien figées.

Chaque passeport devra être accompagné d’un certificat du cassier judiciaire de l’individu en question, un certificat de bonne vie et mœurs, et d’un carnet de santé en règle. En règle signifiant que les résultats des maladies contagieuses telles que la tuberculose et le SIDA y figureront, et y seront négatifs. Malheureusement pour le visiteur ou la visiteuse qui n’est pas en bonne santé, et heureusement pour les victimes potentielles, le/la visiteur (se) devra être rapatrié (e) vers son pays d’origine si au moins un des résultats des maladies contagieuses est positif, ou si son casier judiciaire est virulent.

En plus du carnet de vaccination et du passeport, le/la visiteur (se) ou la firme étrangère, devra payer une taxe. Par exemple les individus paieront 2000 CFA et les compagnies privées et les grandes firmes multinationales 10000 CFA à chaque entrée.

Les versements devront être utilisés pour moderniser, entretenir, et/ou maintenir les aéroports et leur tour de contrôle, de mêmes que les ports, les bureaux de douanes, les frontières terrestres, fluviales, et maritimes. Après sept ou douze heures de vol, les visiteurs en Afrique doivent trouver dans les aéroports des toilettes propres et accessibles. Les autres lieux tels que les ports, les postes de douanes, et les gares routières doivent faire de même. La propreté dans ces lieux ne doit pas être un privilège, mais elle doit être un droit pour les Africains et leurs hôtes étrangers.


Finalement, un système de contrôle strict atténuera ou arrêtera toute falsification des documents et toute malversation. Avec des cameras cachées ou visibles, de mêmes que des mots de passe pour accéder au system informatique financier, l'argent du contribuable et les revenues acquises seront impérativement utilisés à bon escient. La défense coûte chère. Mais elle est nécessaire dans un système monde « globalisé ». Les gouvernements africains y parviendront avec une élimination définitive de toutes les dépenses extravagantes et inutiles chez eux et ailleurs. Il faut remplir les caisses des banques africaines : la Suisse est pour les Suisses, et c’est légitime !

Stratégies et intelligence économiques
Des chercheurs ont révélé des espionnages sur tous les plans. D’après certains experts, les ressources halieutiques africaines sont constamment pillées de façon illégale. Qui est à la tête de ces crimes économiques ? Selon certaines sources fiables, les Asiatiques, plus spécifiquement, les Coréens sont les plus impliqués. Puisque les instruments radars et hydroacoustiques font défaut, les gouvernements africains ne parviennent pas à traquer ou à détecter les pilleurs et les espions en temps opportun. Les espaces maritimes africains deviennent alors un sanctuaire tous azimuts pour les contrebandiers des ressources naturelles. Ainsi, les Africains perdent des dizaines de milliards de francs CFA au profit de certains qui parviennent à acheminer pierres précieuses, fruits de mer, poissons, et même du pétrole vers l’Asie, l’Europe, et l’Amérique, pour les revendre à des prix exorbitants. De telles pratiques égocentriques aident les pilleurs à poursuivre des transactions lucratives sur le dos d’une Afrique « pauvre » et « mal partie ».


Cela va de même en matière pharmaceutique et de recherche médicale. Un contrôle de tout espionnage, par le biais d’une défense et une vigilance économique, pourrait dorénavant faciliter l’éventuel décollage économique des Africains. Est-il juste de dire qu’il faudra approximativement deux centenaires pour changer les mentalités ? En tout cas, il faudra beaucoup de patience pour instaurer le travail assidu, ponctuel, constant, et bien fait.

Une planification stratégique de développement
Dans le contexte Africain, la planification stratégique requiert une signification toute particulière. Avec la Tiède-Stratégie, elle inclura non pas des notions militaires, mais plutôt, gouvernementales, "managériales", environnementales, et sociales. Elle donne une priorité aux crises sociales, et propose comme solutions : 1) l’instauration d’une société civile proactive, 2) d’une diplomatie non gouvernementale encore appelée en Anglais "track II diplomacy", 3) du maintien du patrimoine collectif des Africains, 4) de la bonne gouvernance, sans oublier l’intégration de la femme dans toutes les structures sociopolitiques. Autres éléments sont convoités à savoir l’autosuffisance alimentaire, l’utilisation de l’énergie solaire et du drainage d’eau potable dans les zones rurales et urbaines.

L’entretien et le maintien des infrastructures, et une bonne gestion des conflits et des ressources humaines et naturelles, seront au préalable nécessaires. Là est le salut pour atteindre des objectifs prudemment fixés dans une Afrique libre, unie, émergente, et prospère. La Tiède-Stratégie installée, Africains et Africaines pourront dès lors aspirer à la Tiè-Def-Stratégie pour une posture permanente de sûreté Africaine (PPS). « La charrue ne doit pas être devant les bœufs.» L’Afrique doit pouvoir éduquer et nourrir toute sa population d’abord, avant d’aspirer aux armes à destruction massive. (A suivre …)

Ami Collê Diaw
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Ms. Aminata Diaw
Spécialiste USPACOM
Chercheuse en politique de défense et de sécurité
Spécialiste dans la gestion et la prévention des conflits
www.canesvenatici.org


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