Le colonel Abdourahim Kébé a été libéré hier mais placé sous contrôle judiciaire. Devant les enquêteurs de la Section de Recherches, raconte Libération, le Secrétaire national chargé de la Défense du parti Rewmi reprécise sa pensée après son post sur Facebook, appelant à la révolte, qui lui a valu d'être cueilli, dimanche dernier, chez lui à Saint-Louis.
"Il faut le prendre au sens littéraire du terme. À ce titre, la riposte populaire peut-être perçue comme un appel à une réaction démocratique énergique pour que les votants se mobilisent massivement en faisant de leurs cartes d'électeur une arme. Au lieu de parler de fusil ou d'actes de violence, il s'agit du bon usage de la carte d'électeur", a-t-il dit aux pandores.
Revenant sur les coulisses des aveux de l'ancien patron de la Dirpa, Libération signale qu'il a confié aux enquêteurs n'avoir jamais cautionné un quelconque appel à la révolte et à la violence. Bien au contraire, le colonel Abdourahim Kébé a précisé qu'il est profondément républicain et respectueux de la stabilité des institutions de la République.
Avec SENEWEB
"Il faut le prendre au sens littéraire du terme. À ce titre, la riposte populaire peut-être perçue comme un appel à une réaction démocratique énergique pour que les votants se mobilisent massivement en faisant de leurs cartes d'électeur une arme. Au lieu de parler de fusil ou d'actes de violence, il s'agit du bon usage de la carte d'électeur", a-t-il dit aux pandores.
Revenant sur les coulisses des aveux de l'ancien patron de la Dirpa, Libération signale qu'il a confié aux enquêteurs n'avoir jamais cautionné un quelconque appel à la révolte et à la violence. Bien au contraire, le colonel Abdourahim Kébé a précisé qu'il est profondément républicain et respectueux de la stabilité des institutions de la République.
Avec SENEWEB