
Avant d’accéder à des postes de haute responsabilité au niveau national, Abdoulaye Alioune Sylla a exercé comme procureur de la République à Saint-Louis, où il a renforcé sa réputation de magistrat exigeant et indépendant. Son obsession du détail et sa rigueur dans l’analyse des dossiers ont marqué les milieux judiciaires de cette ville historique. Ce passage à Saint-Louis a été déterminant dans son ascension, lui permettant d’affiner ses compétences avant sa nomination comme avocat général délégué à la Cour suprême.
Dès sa nomination au PJF, Abdoulaye Alioune Sylla se distingue par sa dynamique de travail impressionnante. En quelques mois, il prend en main 91 dossiers, ordonne la saisie de 2,5 milliards de francs CFA et transmet 87 affaires aux juges d’instruction. Ce rythme intense et cette efficacité lui valent la réputation de "rouleau compresseur" dans la lutte contre les crimes économiques.
Malgré les pressions politiques, Abdoulaye Alioune Sylla reste intransigeant sur son indépendance. Des proches collaborateurs témoignent de sa fermeté face aux influences extérieures, affirmant qu’il ne tolérerait aucune ingérence dans ses décisions. Cette posture renforce sa crédibilité et son image d’homme de principe, fidèle à l’éthique judiciaire.
Formé à l’ex-École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), promotion 1997-1999, Abdoulaye Alioune Sylla a construit sa carrière sur des postes de terrain. De Kaolack à Ziguinchor, en passant par Louga, Rufisque et Saint-Louis, il a exercé diverses fonctions avant d’accéder à la Cour suprême, puis au PJF.
À Saint-Louis, il a laissé une empreinte forte, consolidant sa réputation de magistrat rigoureux et méthodique. Cet épisode a constitué une étape charnière dans son parcours, l’amenant à perfectionner ses compétences d’analyse et de gestion des affaires sensibles.
Abdoulaye Alioune Sylla est décrit par ses pairs comme un magistrat animé par l’obsession du détail. Il ne se contente jamais de preuves fragiles et exige des charges solides et des enquêtes complètes avant d’engager des poursuites. Cette approche méthodique, souvent perçue comme exigeante, est l’une des clés de son efficacité.
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Dès sa nomination au PJF, Abdoulaye Alioune Sylla se distingue par sa dynamique de travail impressionnante. En quelques mois, il prend en main 91 dossiers, ordonne la saisie de 2,5 milliards de francs CFA et transmet 87 affaires aux juges d’instruction. Ce rythme intense et cette efficacité lui valent la réputation de "rouleau compresseur" dans la lutte contre les crimes économiques.
Malgré les pressions politiques, Abdoulaye Alioune Sylla reste intransigeant sur son indépendance. Des proches collaborateurs témoignent de sa fermeté face aux influences extérieures, affirmant qu’il ne tolérerait aucune ingérence dans ses décisions. Cette posture renforce sa crédibilité et son image d’homme de principe, fidèle à l’éthique judiciaire.
Formé à l’ex-École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), promotion 1997-1999, Abdoulaye Alioune Sylla a construit sa carrière sur des postes de terrain. De Kaolack à Ziguinchor, en passant par Louga, Rufisque et Saint-Louis, il a exercé diverses fonctions avant d’accéder à la Cour suprême, puis au PJF.
À Saint-Louis, il a laissé une empreinte forte, consolidant sa réputation de magistrat rigoureux et méthodique. Cet épisode a constitué une étape charnière dans son parcours, l’amenant à perfectionner ses compétences d’analyse et de gestion des affaires sensibles.
Abdoulaye Alioune Sylla est décrit par ses pairs comme un magistrat animé par l’obsession du détail. Il ne se contente jamais de preuves fragiles et exige des charges solides et des enquêtes complètes avant d’engager des poursuites. Cette approche méthodique, souvent perçue comme exigeante, est l’une des clés de son efficacité.
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