
de l’Éducation nationale secoue l’opinion publique sénégalaise. C’est le député Guy Marius Sagna, connu pour ses prises de position tranchées, qui a ouvertement interpellé le ministre en charge, Moustapha Guirassy, à travers une série de questions précises portant sur la gestion financière du département.
Parmi les éléments mis en avant par le député figure l’achat récent d’un salon de bureau d’une valeur de deux millions de francs CFA. Cette décision suscite l’étonnement, d’autant que le mobilier en place à l’arrivée du ministre aurait été, selon les informations relayées, en excellent état. Pourquoi remplacer un équipement fonctionnel par un autre à un coût aussi élevé ? Cette interrogation alimente les soupçons sur la pertinence des dépenses publiques.
Autre point controversé : l’acquisition d’un tapis iranien estimé à un million de francs CFA pour orner le bureau ministériel. Si ce type d’objet peut relever du protocole ou de l’esthétique institutionnelle, son prix paraît démesuré dans le contexte d’un ministère qui gère des défis cruciaux tels que la qualité de l’éducation, les infrastructures scolaires ou encore les conditions de travail des enseignants.
Du petit-déjeuner à 650 000 F CFA ?
La liste des dépenses problématiques ne s’arrête pas là. Le député évoque également l’achat de matériel de petit-déjeuner pour 650 000 francs CFA. Là encore, la question du rapport coût/utilité est soulevée, particulièrement dans un contexte de restrictions budgétaires et de revendications sociales dans le secteur de l’éducation.
Parmi les éléments mis en avant par le député figure l’achat récent d’un salon de bureau d’une valeur de deux millions de francs CFA. Cette décision suscite l’étonnement, d’autant que le mobilier en place à l’arrivée du ministre aurait été, selon les informations relayées, en excellent état. Pourquoi remplacer un équipement fonctionnel par un autre à un coût aussi élevé ? Cette interrogation alimente les soupçons sur la pertinence des dépenses publiques.
Autre point controversé : l’acquisition d’un tapis iranien estimé à un million de francs CFA pour orner le bureau ministériel. Si ce type d’objet peut relever du protocole ou de l’esthétique institutionnelle, son prix paraît démesuré dans le contexte d’un ministère qui gère des défis cruciaux tels que la qualité de l’éducation, les infrastructures scolaires ou encore les conditions de travail des enseignants.
Du petit-déjeuner à 650 000 F CFA ?
La liste des dépenses problématiques ne s’arrête pas là. Le député évoque également l’achat de matériel de petit-déjeuner pour 650 000 francs CFA. Là encore, la question du rapport coût/utilité est soulevée, particulièrement dans un contexte de restrictions budgétaires et de revendications sociales dans le secteur de l’éducation.