
La proposition relative à l’organisation des Assises de la petite enfance a été soumise au Président de la République lors de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, ce mercredi 23 avril 2025.
Ces assises sont « destinées notamment à proposer des solutions concrètes, durables et adaptées au contexte sénégalais, en synergie avec l’ensemble des parties impliquées, sur la base de l’identification précise des obstacles qui entravent l’éradication du phénomène des enfants en situation de rue ».
Cela fait suite à l’indignation du gouvernement face à la mendicité publique des enfants et au vagabondage en général. Le Premier ministre Ousmane Sonko a approuvé la forte préoccupation de l’État du Sénégal face à ce phénomène, qui constitue une violation grave des droits de l’enfant garantis par la Constitution du Sénégal et les divers textes internationaux.
Ousmane Sonko a, dans la foulée, déploré l’accentuation du phénomène malgré un arsenal légal dissuasif et la mise en place d’organes dédiés à la lutte contre la mendicité des enfants.
Après les différentes initiatives prises par le gouvernement, qui n’ont pas produit d’impacts satisfaisants, le Premier ministre a révélé qu’un nouveau paradigme s’impose, dans le contexte de la Vision Sénégal 2050, laquelle place l’avenir de l’enfant au cœur de la promotion d’un capital humain de qualité et de l’équité sociale.
« Il s’agira de parvenir, une fois pour toutes, au retrait des enfants en situation de rue et à leur réinsertion socio-économique », lit-on dans le communiqué.
Bolo DIAW
Ces assises sont « destinées notamment à proposer des solutions concrètes, durables et adaptées au contexte sénégalais, en synergie avec l’ensemble des parties impliquées, sur la base de l’identification précise des obstacles qui entravent l’éradication du phénomène des enfants en situation de rue ».
Cela fait suite à l’indignation du gouvernement face à la mendicité publique des enfants et au vagabondage en général. Le Premier ministre Ousmane Sonko a approuvé la forte préoccupation de l’État du Sénégal face à ce phénomène, qui constitue une violation grave des droits de l’enfant garantis par la Constitution du Sénégal et les divers textes internationaux.
Ousmane Sonko a, dans la foulée, déploré l’accentuation du phénomène malgré un arsenal légal dissuasif et la mise en place d’organes dédiés à la lutte contre la mendicité des enfants.
Après les différentes initiatives prises par le gouvernement, qui n’ont pas produit d’impacts satisfaisants, le Premier ministre a révélé qu’un nouveau paradigme s’impose, dans le contexte de la Vision Sénégal 2050, laquelle place l’avenir de l’enfant au cœur de la promotion d’un capital humain de qualité et de l’équité sociale.
« Il s’agira de parvenir, une fois pour toutes, au retrait des enfants en situation de rue et à leur réinsertion socio-économique », lit-on dans le communiqué.
Bolo DIAW