C’est désolant, triste et ahurissant la façon dont la politique de basse classe, maladroite et légère s’émisse dans les affaires sérieuses de la cité. C’est pitoyable la façon dont le « Sérieux » est folklorisé, bafoué par les travers du giottisme à outrance qui a fini de prendre en otage les cérémonies les plus solennelles à Saint-Louis. Si l’on est arrivé à ce recul, c’est parce qu’une partie de la classe politique ne comprend pas la quintessence de sa mission, elle en ignore l’essence.
C’est effarant, le fait que le propagandisme politique ait installé son hégémonie aux effets pervers, jusque dans les confins les plus éloignés de la Science. Ceux qui se livrent à ces bourdonnements verbaux insignifiants savent-ils qu’ils sont en train de pervertir toute cette génération à venir ?
Pauvre Saint-Louis ! Ton sort est incertain, ton avenir valse entre des acharnements de groupuscules friands de pouvoir et dont les membres se dédoublent en constance pour s’en accaparer.
Pour qui se prennent ces acteurs de la politique maladroite au point de séquestrer le peuple dans ce carcan noir et démagogique ? Ne savent-ils pas que tous les régimes sont assis sur des chaises éjectables et qu’avant ce départ imminent, ils devraient plutôt inscrire leur action sous le signe de la Vérité et de la promotion des bonnes valeurs ?
Oui, l’on peut bien faire de la politique de façon moralisée, vertueuse et respectueuse de nos valeurs intrinsèques; une politique qui exacerbe le travail et la bonne gestion du temps.
Le changement des mentalités précède l'émergence de la Cité. « Nous ne changerons pas un Peuple, tant que ce dernier n’aura pas décidé de changer ses comportements », enseigne le Coran. Cette assertion doit servir de viatique aux populations, mais surtout aux élus qui aspirent à les gouverner. Pour vouloir diriger, il faut nécessairement être un modèle et pouvoir montrer clairement au peuple la voie de la lumière.
Domou Ndar
C’est effarant, le fait que le propagandisme politique ait installé son hégémonie aux effets pervers, jusque dans les confins les plus éloignés de la Science. Ceux qui se livrent à ces bourdonnements verbaux insignifiants savent-ils qu’ils sont en train de pervertir toute cette génération à venir ?
Pauvre Saint-Louis ! Ton sort est incertain, ton avenir valse entre des acharnements de groupuscules friands de pouvoir et dont les membres se dédoublent en constance pour s’en accaparer.
Pour qui se prennent ces acteurs de la politique maladroite au point de séquestrer le peuple dans ce carcan noir et démagogique ? Ne savent-ils pas que tous les régimes sont assis sur des chaises éjectables et qu’avant ce départ imminent, ils devraient plutôt inscrire leur action sous le signe de la Vérité et de la promotion des bonnes valeurs ?
Oui, l’on peut bien faire de la politique de façon moralisée, vertueuse et respectueuse de nos valeurs intrinsèques; une politique qui exacerbe le travail et la bonne gestion du temps.
Le changement des mentalités précède l'émergence de la Cité. « Nous ne changerons pas un Peuple, tant que ce dernier n’aura pas décidé de changer ses comportements », enseigne le Coran. Cette assertion doit servir de viatique aux populations, mais surtout aux élus qui aspirent à les gouverner. Pour vouloir diriger, il faut nécessairement être un modèle et pouvoir montrer clairement au peuple la voie de la lumière.
Domou Ndar