Dans ce match de démocratie, il pourrait arriver que l’arbitre central qui est le seul maître du terrain se trompe (de bonne ou de mauvaise foi), pour accorder un but déterminant pour la victoire; le but restera malheureusement valide, nonobstant l’avis des juges de touche, l’indignation légitime des commissaires au match ou même le démenti infaillible de la télé qui montre le hors jeu; ce sera trop tard! Tous les sénégalais s’inclineront devant la décision de l’arbitre, car, il ne s’agit pas d’avoir raison, il s’agit d’avoir "le dernier mot", et c’est l’arbitre qui l’a; l’équipe bénéficiaire de l’erreur d’arbitrage, n’est pas censée responsable des insuffisances professionnelles ou simplement visuelles de l’arbitre; elle va donc, savourer une victoire qu’elle n’a peut-être pas mérité. C’est la règle du jeu.
Agir en arbitres indépendants soucieux avant tout de l’intérêt national ? Ou alors se sentir redevable au chef d'un club qui les a porté aux cimes de l’honneur ?
Ils font le travail le plus dangereux. Leurs décisions ne sont susceptibles d’aucune voie de recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles. Naturellement, les arbitres seront toujours la cible des mécontents. C'est tout à fait normal et il en a toujours été ainsi. La décision d'attribuer un but ou un coup franc est irrévocable et suscite donc des protestations qui ne sauraient être contenues. ainsi que nous l'ont rappelé la démission du président du Conseil Constitutionnel, notre regretté Juge Kéba Mbaye le 2 mars 1993 pour ne pas avoir à prononcer une décision en inadéquation avec sa conscience de juge après un blocage constaté dans les travaux de la Commission nationale de recensement des votes devant publier les résultats provisoires de l’élection présidentielle du 21 février 1993 et l'assassinat du vice-président du Conseil constitutionnel notre regretté juge Me Babacar Seye au lendemain de la publication des résultats des élections législatives le 15 mai 1993.
Les sénégalais qui dénoncent la décision de l'arbitre ne sont pas Tango (M.N.Seck) ni Cash (B.Diaz), mais ceux chez qui ce comportement relève du réflexe incontrôlable, s'en rapprochent dangereusement. En attendant le coup de sifflet final, la chaleur qui s’installe peu à peu dans le stade pourrait donc mettre le feu aux poudres entre les joueurs des deux camps, avec des débordements aux conséquences imprévisibles sur la stabilité du pays.
Comme un combat de boxe qui s'achève généralement par jet de l'éponge ou par arrêt de l'arbitre et par jet de l'arbitre quand le combat dégénère.
Tous unis pour un Sénégal de Paix où Amour et Amitiés régneront.
Le Prophète (à lui, bénédiction et salut), a dit: «Ne faites pas de mal, et ne rendez pas le mal pour le mal». «Le pire de l`iniquité est de mépriser son frère musulman. Tout ce qui appartient au musulman est sacré pour le musulman: son sang, son bien, son honneur». «Aucun de vous ne devient véritablement croyant s`il ne désire pour son frère, ce qu`il désire pour lui-même».
QUE DIEU PROTEGE LE SENEGAL !!!
Daddy Biteye
advancedcommunication@live.com
Agir en arbitres indépendants soucieux avant tout de l’intérêt national ? Ou alors se sentir redevable au chef d'un club qui les a porté aux cimes de l’honneur ?
Ils font le travail le plus dangereux. Leurs décisions ne sont susceptibles d’aucune voie de recours. Elles s’imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités administratives et juridictionnelles. Naturellement, les arbitres seront toujours la cible des mécontents. C'est tout à fait normal et il en a toujours été ainsi. La décision d'attribuer un but ou un coup franc est irrévocable et suscite donc des protestations qui ne sauraient être contenues. ainsi que nous l'ont rappelé la démission du président du Conseil Constitutionnel, notre regretté Juge Kéba Mbaye le 2 mars 1993 pour ne pas avoir à prononcer une décision en inadéquation avec sa conscience de juge après un blocage constaté dans les travaux de la Commission nationale de recensement des votes devant publier les résultats provisoires de l’élection présidentielle du 21 février 1993 et l'assassinat du vice-président du Conseil constitutionnel notre regretté juge Me Babacar Seye au lendemain de la publication des résultats des élections législatives le 15 mai 1993.
Les sénégalais qui dénoncent la décision de l'arbitre ne sont pas Tango (M.N.Seck) ni Cash (B.Diaz), mais ceux chez qui ce comportement relève du réflexe incontrôlable, s'en rapprochent dangereusement. En attendant le coup de sifflet final, la chaleur qui s’installe peu à peu dans le stade pourrait donc mettre le feu aux poudres entre les joueurs des deux camps, avec des débordements aux conséquences imprévisibles sur la stabilité du pays.
Comme un combat de boxe qui s'achève généralement par jet de l'éponge ou par arrêt de l'arbitre et par jet de l'arbitre quand le combat dégénère.
Tous unis pour un Sénégal de Paix où Amour et Amitiés régneront.
Le Prophète (à lui, bénédiction et salut), a dit: «Ne faites pas de mal, et ne rendez pas le mal pour le mal». «Le pire de l`iniquité est de mépriser son frère musulman. Tout ce qui appartient au musulman est sacré pour le musulman: son sang, son bien, son honneur». «Aucun de vous ne devient véritablement croyant s`il ne désire pour son frère, ce qu`il désire pour lui-même».
QUE DIEU PROTEGE LE SENEGAL !!!
Daddy Biteye
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