Encore aujourd’hui, le paludisme fait partie des maladies les plus meurtrières au monde avec plus de 500.000 morts chaque année, surtout en Afrique. De plus, le parasite qui la provoque devient résistant aux médicaments et le vaccin promis pour 2018 s’est avéré décevant. Pourtant, une plante, très rependue au Sénégal, serait très efficace contre le paludisme. Mais l’OMS interdit son utilisation. Est-ce un procédé de l’Oms pour protéger les gens ou font-il un « business » sur les malades du paludisme ?
Aujourd’hui, le journal France24 a publié un documentaire nommé « Malaria Business », réalisé par Bernard Crutzen, l’auteur du film du même nom. A travers son film, il dénonçait, en novembre dernier, les agissements de l’Oms, qui cacherait intentionnellement l’artemisia (Kadd).
« Pendant ce temps, des chercheurs africains, américains et européens révèlent qu’une simple tisane d’Artemisia peut prévenir et soigner le paludisme. Utilisée depuis deux millénaires en Chine, cette plante est pourtant déconseillée par l’OMS et interdite en Belgique », explique Bernard Crutzen, l’auteur du film, « Malaria Business ».
« L’artemisia n’est un problème que pour ceux qui ont fait du paludisme un business », ajoute l’un des intervenants dans ce documentaire.
Aujourd’hui, le journal France24 a publié un documentaire nommé « Malaria Business », réalisé par Bernard Crutzen, l’auteur du film du même nom. A travers son film, il dénonçait, en novembre dernier, les agissements de l’Oms, qui cacherait intentionnellement l’artemisia (Kadd).
« Pendant ce temps, des chercheurs africains, américains et européens révèlent qu’une simple tisane d’Artemisia peut prévenir et soigner le paludisme. Utilisée depuis deux millénaires en Chine, cette plante est pourtant déconseillée par l’OMS et interdite en Belgique », explique Bernard Crutzen, l’auteur du film, « Malaria Business ».
« L’artemisia n’est un problème que pour ceux qui ont fait du paludisme un business », ajoute l’un des intervenants dans ce documentaire.