Géomatica et d’Azerty Solutions se sont lancés dans ce projet innovant. Le prototype devrait être disponible dans quatre mois, renseignent les deux entités, en marge d’un atelier d’un atelier de présentation des applications liées au drone.
« Il permettra de pulvériser des zones inondées d‘eaux stagnantes inaccessibles durant l’hivernage en vue de renforcer la lutte contre le paludisme », a renseigné Mamadou Wade DIOP, chargé de l’aspect technique. « L’engin sera assez performant pour poster un réservoir pour plus d’une vingtaine de minutes », a-t-il renseigné.
« Nous avons pu acquérir le premier financement pour lancer le programme. Nous attendons un apport supplémentaire pour concrétiser ce rêve », a déclaré Labaly TOURÉ, le coordonnateur de Géomatica.
Le géographe a insisté sur les avantages qu’offrent les drones dans la cartographie des collectivités territoriales, dans le domaine de l’agriculture et l’éducation.
Il a invité néanmoins les usagers à maitriser les applications et s’imprégner de la réglementation avant de se mettre au pilotage.
« Il y a des zones qu’on ne doit pas survoler et des altitudes qu’on ne doit pas dépasser », a-t-il rappelé. « Il faut que le savoir précédé l’action », signalé le chercheur à l’Université Gaston Berger.
NDARINFO.COM
« Il permettra de pulvériser des zones inondées d‘eaux stagnantes inaccessibles durant l’hivernage en vue de renforcer la lutte contre le paludisme », a renseigné Mamadou Wade DIOP, chargé de l’aspect technique. « L’engin sera assez performant pour poster un réservoir pour plus d’une vingtaine de minutes », a-t-il renseigné.
« Nous avons pu acquérir le premier financement pour lancer le programme. Nous attendons un apport supplémentaire pour concrétiser ce rêve », a déclaré Labaly TOURÉ, le coordonnateur de Géomatica.
Le géographe a insisté sur les avantages qu’offrent les drones dans la cartographie des collectivités territoriales, dans le domaine de l’agriculture et l’éducation.
Il a invité néanmoins les usagers à maitriser les applications et s’imprégner de la réglementation avant de se mettre au pilotage.
« Il y a des zones qu’on ne doit pas survoler et des altitudes qu’on ne doit pas dépasser », a-t-il rappelé. « Il faut que le savoir précédé l’action », signalé le chercheur à l’Université Gaston Berger.
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