Plus de 20 herboristes et autres vendeurs de plantes médicinales planchent depuis hier, dans le cadre d'un atelier organisé conjointement par Enda/Santé et la municipalité de Saint-Louis, sur les techniques et autres mesures à prendre pour une meilleure réglementation de leurs activités.
Supervisés et animés par des experts de l'Agence de Développement Communal (ADC) et des agents du services d'hygiène, des Eaux et Forêts, ces travaux ont porté essentiellement sur l'hygiène et la salubrité dans la vente de ces plantes médicinales.
Selon Abdourahmane Gueye d'Enda/Santé, cet atelier entre dans le cadre de la mise en oeuvre du projet d'appui et d'encadrement des herboristes sénégalais, qui a démarré ses activités l'année dernière.
Il s'agira, a-t-il précisé, d'encadrer sur le plan national 60 tradipraticiens et 30 récolteurs de plantes médicinales rigoureusement sélectionnés dans les régions de Kaolack, de diourbel et de saint-Louis.
Si la coordination technique et financière de ce projet revient à Enda/Santé, a-t-il souligné, la mise en oeuvre de ce programme est prise en charge par la mairie de Saint-louis et ses partenaires, notamment, l'ADC, les services d'hygiène et des Eaux et Forêts, qui sont membres du comité de pilotage.
Justifiant la réalisation de ce projet, Abdourahmane Gueye a rappelé que ce programme est parti d'une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui avait constaté que 90% des populations sénégalaises ont toujours fait recours à la médecine traditionnelle pour se soigner.
Ainsi, le Sénégal, en collaboration avec Enda/Santé, s'est inspiré de l'expérience enrichissante et fructueuse du Burkina-Faso et du Mali, pour élaborer et mettre en oeuvre un projet de deux ans qui permet de réorganiser et de restructurer le secteur de la médecine traditionnelle.
Dans le même sens, le président de la commission Santé et Population de la municipalité de Saint-Louis, Docteur Birahim Diop, s'est réjoui de l'organisation de cet atelier à l'hôtel de ville et du partenariat entre la mairie et Enda/Santé qui permet d'assainir le secteur de la médecine traditionnelle.
Supervisés et animés par des experts de l'Agence de Développement Communal (ADC) et des agents du services d'hygiène, des Eaux et Forêts, ces travaux ont porté essentiellement sur l'hygiène et la salubrité dans la vente de ces plantes médicinales.
Selon Abdourahmane Gueye d'Enda/Santé, cet atelier entre dans le cadre de la mise en oeuvre du projet d'appui et d'encadrement des herboristes sénégalais, qui a démarré ses activités l'année dernière.
Il s'agira, a-t-il précisé, d'encadrer sur le plan national 60 tradipraticiens et 30 récolteurs de plantes médicinales rigoureusement sélectionnés dans les régions de Kaolack, de diourbel et de saint-Louis.
Si la coordination technique et financière de ce projet revient à Enda/Santé, a-t-il souligné, la mise en oeuvre de ce programme est prise en charge par la mairie de Saint-louis et ses partenaires, notamment, l'ADC, les services d'hygiène et des Eaux et Forêts, qui sont membres du comité de pilotage.
Justifiant la réalisation de ce projet, Abdourahmane Gueye a rappelé que ce programme est parti d'une étude de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui avait constaté que 90% des populations sénégalaises ont toujours fait recours à la médecine traditionnelle pour se soigner.
Ainsi, le Sénégal, en collaboration avec Enda/Santé, s'est inspiré de l'expérience enrichissante et fructueuse du Burkina-Faso et du Mali, pour élaborer et mettre en oeuvre un projet de deux ans qui permet de réorganiser et de restructurer le secteur de la médecine traditionnelle.
Dans le même sens, le président de la commission Santé et Population de la municipalité de Saint-Louis, Docteur Birahim Diop, s'est réjoui de l'organisation de cet atelier à l'hôtel de ville et du partenariat entre la mairie et Enda/Santé qui permet d'assainir le secteur de la médecine traditionnelle.