e poulpe, une espèce halieutique qui avait tendance à se raréfier, commence à devenir plus fréquent, a révélé le président du comité dé gestion de l’Aire marine protégée (AMP) de Saint-Louis, Bara Sène.
Ce dernier qui s’exprimait en marge d’un atelier dé formation en direction des gestionnaires de cette AMP, a signalé que 203 récifs artificiels ont été installés à Saint-Louis depuis juin 2011.
Cette AMP créée par décret présidentiel du 4 novembre 2004 se situe sur la façade maritime entre le quartier de Guet-Ndar et le Parc national de la Langue de Barbarie.
Elle s’étend sur 49.600 ha. Selon M. Sène, la création de cette AMP a permis d’améliorer sensiblement la productivité de la pêche dans la région de Saint-Louis.
Les pêcheurs de Guet-Ndar et des autres localités de la Langue de Barbarie commencent à ressentir les retombées positives de ce renouveau avec ces espèces comme le poulpe qui revient sur le marché.
Pour le poulpe, le kilogramme s’échange à 2.500 francs CFA, a indiqué M. Sène notant aussi la capture d’autres espèces halieutiques régénérées dans cette AMP au profit du secteur de la pêche.
Quant au colonel Ibrahima Diop, conservateur par intérim de cet espace de régénération des espèces halieutique, cette AMP a une incidence dans la protection des sites de frayères et de nourriceries dans la perspective d’une gestion durable.
Cette AMP a d’autres retombées sur la préservation de la biodiversité marine, l’équilibre des stocks et la gestion durable des ressources halieutiques, a-t-il indiqué.
Ce dernier qui s’exprimait en marge d’un atelier dé formation en direction des gestionnaires de cette AMP, a signalé que 203 récifs artificiels ont été installés à Saint-Louis depuis juin 2011.
Cette AMP créée par décret présidentiel du 4 novembre 2004 se situe sur la façade maritime entre le quartier de Guet-Ndar et le Parc national de la Langue de Barbarie.
Elle s’étend sur 49.600 ha. Selon M. Sène, la création de cette AMP a permis d’améliorer sensiblement la productivité de la pêche dans la région de Saint-Louis.
Les pêcheurs de Guet-Ndar et des autres localités de la Langue de Barbarie commencent à ressentir les retombées positives de ce renouveau avec ces espèces comme le poulpe qui revient sur le marché.
Pour le poulpe, le kilogramme s’échange à 2.500 francs CFA, a indiqué M. Sène notant aussi la capture d’autres espèces halieutiques régénérées dans cette AMP au profit du secteur de la pêche.
Quant au colonel Ibrahima Diop, conservateur par intérim de cet espace de régénération des espèces halieutique, cette AMP a une incidence dans la protection des sites de frayères et de nourriceries dans la perspective d’une gestion durable.
Cette AMP a d’autres retombées sur la préservation de la biodiversité marine, l’équilibre des stocks et la gestion durable des ressources halieutiques, a-t-il indiqué.