Le Centre de Recherche Agricole de l'ISRA de Saint-Louis veut contribuer efficacement à l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire dans le pays. Ses responsables travaillent d’arrache-pied pour réduire le taux élevé des importations dans le pays en aidant les agriculteurs à booster leurs rendements. Ainsi, au cours d’une rencontre présidée par l’Ajointe au Gouverneur de Saint-Louis, en charge des affaires administratives, en l’occurrence Mme Fatou Mokhtar Fall, le Directeur du Centre de recherches agricoles (Cra) de l’Isra de Saint-Louis, Omar Ndaw Faye, a rappelé que le Sénégal dispose d’énormes potentialités hydro-agricoles qui peuvent lui permettre de booster la production agricole. Ce qui fait également de Saint-Louis un vivier pour le Sénégal, pour reprendre les propos de l’autorité administrative.
« Toutes les potentialités sont là. Elles sont énormes.Au-delà du riz, il y a l’oignon, la tomate, la patate douce et plusieurs autres filières qui peuvent être développées pour l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire dans le pays », a-t-elle dit. Dans cette même lancée, le Directeur du Cra de l’ISRA de Saint-Louis a laissé entendre qu’il y a assez de terres cultivables, du Soleil, des ressources en eau, des intrants agricoles, des variétés de semences de riz performantes, entre autres, qui sont disponibles dans notre pays.
« Il suffit tout simplement de nous réorganiser pour mettre à la disposition des producteurs, les acquis de la recherche agricole, pour relever le défi de l’autosuffisance en riz », a précisé Omar Ndaw Faye tout en rappelant que l’exploitation de toutes ces potentialités agricoles dont dispose le Sénégal en particulier la région de Saint-Louis, pourrait permettre également de développer toutes les autres filières agricoles. Poursuivant toujours dans ce même sillage, l’ingénieur agronome a souligné que le Centre de Recherches Agricoles (CRA) de Saint-Louis couvre les activités de recherches de l’ISRA dans la zone agro-écologique de la vallée du Fleuve Sénégal, du Diéry et du Lac de Guiers.
Cet atelier de deux jours permettra ainsi aux chercheurs de l’ISRA d’écouter les principaux partenaires dans le transfert des technologies (services d’appui - conseil, Présidents des filières), de recenser pour ensuite traduire en projets ou activités de recherche, leurs demandes, attentes ou préoccupations.
NDARINFO.COM
« Toutes les potentialités sont là. Elles sont énormes.Au-delà du riz, il y a l’oignon, la tomate, la patate douce et plusieurs autres filières qui peuvent être développées pour l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire dans le pays », a-t-elle dit. Dans cette même lancée, le Directeur du Cra de l’ISRA de Saint-Louis a laissé entendre qu’il y a assez de terres cultivables, du Soleil, des ressources en eau, des intrants agricoles, des variétés de semences de riz performantes, entre autres, qui sont disponibles dans notre pays.
« Il suffit tout simplement de nous réorganiser pour mettre à la disposition des producteurs, les acquis de la recherche agricole, pour relever le défi de l’autosuffisance en riz », a précisé Omar Ndaw Faye tout en rappelant que l’exploitation de toutes ces potentialités agricoles dont dispose le Sénégal en particulier la région de Saint-Louis, pourrait permettre également de développer toutes les autres filières agricoles. Poursuivant toujours dans ce même sillage, l’ingénieur agronome a souligné que le Centre de Recherches Agricoles (CRA) de Saint-Louis couvre les activités de recherches de l’ISRA dans la zone agro-écologique de la vallée du Fleuve Sénégal, du Diéry et du Lac de Guiers.
Cet atelier de deux jours permettra ainsi aux chercheurs de l’ISRA d’écouter les principaux partenaires dans le transfert des technologies (services d’appui - conseil, Présidents des filières), de recenser pour ensuite traduire en projets ou activités de recherche, leurs demandes, attentes ou préoccupations.
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