Un programme régional est en train d’être mis en oeuvre en Afrique subsaharienne pour améliorer l’efficacité énergétique au profit des ménages et des petites et moyennes entreprises (PME), en levant ‘’toutes les barrières qui entravent la mise en place d’un marché régional viable’’, a appris l’APS, mercredi.
‘’Globalement, l’objectif de ce projet, c’est de lever toutes les barrières qui entravent la mise en place d’un marché régional viable en termes d’électrification hors réseau, en faisant en sorte que les ménages et les PME qui, jusqu’à présent, n’ont pas accès à l’électrification puissent y accéder dans un cadre bien défini avec des technologies appropriées’’, a expliqué Siré Abdoul Diallo.
Coordonnateur du Fonds d’appui au secteur privé du Centre des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (ECREEE/CEDEAO), M. Diallo était en visite à Mbour (ouest) dans le cadre du Programme régional d’électrification hors réseau, mis en place sous la coordination d’ECREEE/CEDEAO.
Ce programme, d’un coût de 240 millions de dollars et d’une durée de cinq ans, intervient dans 19 pays, dont les 15 Etats-membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Les quatre autres pays couverts sont le Cameroun, le Tchad, la Mauritanie et la République centrafricaine.
‘’La levée des barrières consiste à travailler sur les cadres réglementaires et politiques, sur l’accès aux financements mais aussi sur tout ce qui concerne le renforcement des capacités des différents acteurs, publics et privés’’, a souligné Siré Abdoul Diallo. Il estime que le projet doit répondre aux attentes des pays bénéficiaires afin de cerner l’écart qu’il y a entre les différents pays, les différentes régions et les différentes populations.
Il s’est dit persuadé que l’impact de ce projet dans le quotidien des populations sera bien visible, parce qu’il s’agit de faire en sorte que les ménages, les entreprises et les structures publiques n’ayant pas accès à l’électricité, puissent en disposer.
Selon lui, cela passe par la mise en place d’’’un cadre réglementaire et législatif très clair’’, le financement des entreprises évoluant dans ce secteur et la levée des barrières d’accès aux technologies pour les ménages et les autres usagers de l’électricité et des énergies renouvelables.
‘’Le projet prend en compte toutes ces problématiques-là, en y apportant des solutions pragmatiques. Ainsi, la ligne de crédit qu’on va mettre en place au niveau des institutions de microfinance et des banques classiques aura un taux d’intérêt de moins de 10%’’, a-t-il indiqué.
Il a souligné que c’est "une nouveauté dans ce secteur où l’accès au financement a toujours été un frein pour les entreprises et pour les ménages’’. A cet effet, il a promis des subventions aux entreprises concernées, pour leur permettre d’aller vers les populations des zones reculées avec un service approprié.
APS
‘’Globalement, l’objectif de ce projet, c’est de lever toutes les barrières qui entravent la mise en place d’un marché régional viable en termes d’électrification hors réseau, en faisant en sorte que les ménages et les PME qui, jusqu’à présent, n’ont pas accès à l’électrification puissent y accéder dans un cadre bien défini avec des technologies appropriées’’, a expliqué Siré Abdoul Diallo.
Coordonnateur du Fonds d’appui au secteur privé du Centre des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (ECREEE/CEDEAO), M. Diallo était en visite à Mbour (ouest) dans le cadre du Programme régional d’électrification hors réseau, mis en place sous la coordination d’ECREEE/CEDEAO.
Ce programme, d’un coût de 240 millions de dollars et d’une durée de cinq ans, intervient dans 19 pays, dont les 15 Etats-membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Les quatre autres pays couverts sont le Cameroun, le Tchad, la Mauritanie et la République centrafricaine.
‘’La levée des barrières consiste à travailler sur les cadres réglementaires et politiques, sur l’accès aux financements mais aussi sur tout ce qui concerne le renforcement des capacités des différents acteurs, publics et privés’’, a souligné Siré Abdoul Diallo. Il estime que le projet doit répondre aux attentes des pays bénéficiaires afin de cerner l’écart qu’il y a entre les différents pays, les différentes régions et les différentes populations.
Il s’est dit persuadé que l’impact de ce projet dans le quotidien des populations sera bien visible, parce qu’il s’agit de faire en sorte que les ménages, les entreprises et les structures publiques n’ayant pas accès à l’électricité, puissent en disposer.
Selon lui, cela passe par la mise en place d’’’un cadre réglementaire et législatif très clair’’, le financement des entreprises évoluant dans ce secteur et la levée des barrières d’accès aux technologies pour les ménages et les autres usagers de l’électricité et des énergies renouvelables.
‘’Le projet prend en compte toutes ces problématiques-là, en y apportant des solutions pragmatiques. Ainsi, la ligne de crédit qu’on va mettre en place au niveau des institutions de microfinance et des banques classiques aura un taux d’intérêt de moins de 10%’’, a-t-il indiqué.
Il a souligné que c’est "une nouveauté dans ce secteur où l’accès au financement a toujours été un frein pour les entreprises et pour les ménages’’. A cet effet, il a promis des subventions aux entreprises concernées, pour leur permettre d’aller vers les populations des zones reculées avec un service approprié.
APS