C’est le grand rush touristique à Saint-Louis, à l’occasion de cette 22e édition du Festival international de Jazz de Saint-Louis. Les professionnels, satisfaits de la forte affluence, expriment leur satisfaction.
« Les retombées du Festival de jazz sont visibles. Cela a été laborieux pour les premières journées où nous avions atteint un taux d’occupation de l’ordre de 56 à 65 %. Aujourd’hui, nous sommes à 98 % et nous pensons qu’avant la fin du Festival, nous pourrons atteindre 100% », explique Doudou Diop, directeur de l’exploitation de l’hôtel Le Rogniat.
« Ce sont des retombées très positives et nous attendons des opérations de ce genre à Saint-Louis. Cette une bonne réussite. Si nous arrivons à répéter des situations de ce genre, le tourisme va s’en sortir cette année », a-t-il ajouté.
Pour lui, le festival peut booster le tourisme à Saint-Louis et constitue un acquis à préserver.
« Je travaille avec une clientèle de société, mais avec le Festival de jazz reçu beaucoup de touristes européens qui sont venus qui prennent des chambres et la restauration. C’est assez important, surtout au mois de juin où le tourisme se dirige vers une période basse », note le directeur Diop.
NDAR INFO
« Les retombées du Festival de jazz sont visibles. Cela a été laborieux pour les premières journées où nous avions atteint un taux d’occupation de l’ordre de 56 à 65 %. Aujourd’hui, nous sommes à 98 % et nous pensons qu’avant la fin du Festival, nous pourrons atteindre 100% », explique Doudou Diop, directeur de l’exploitation de l’hôtel Le Rogniat.
« Ce sont des retombées très positives et nous attendons des opérations de ce genre à Saint-Louis. Cette une bonne réussite. Si nous arrivons à répéter des situations de ce genre, le tourisme va s’en sortir cette année », a-t-il ajouté.
Pour lui, le festival peut booster le tourisme à Saint-Louis et constitue un acquis à préserver.
« Je travaille avec une clientèle de société, mais avec le Festival de jazz reçu beaucoup de touristes européens qui sont venus qui prennent des chambres et la restauration. C’est assez important, surtout au mois de juin où le tourisme se dirige vers une période basse », note le directeur Diop.
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