Une situation alarmante qui perdure depuis plusieurs mois. Entre une pression faible et des coupures d’eau intempestives, la maternité et le service d’urgences du centre de santé de Saint-Louis peinent à fonctionner convenablement.
« Au début, nous pensions que la situation était passagère. Nous avions d’ailleurs eu recours à des bâches à eau. Nous n’arrivions pas à les remplir faute d’une bonne pression », confie le secrétaire exécutif du collectif de développement sanitaire, joint par NDARINFO.
« Une nuit, en pleine pratique d’une ventouse sur une patiente, toutes les réserves étaient vides. Les sages-femmes étaient obligées de puiser de l’eau avec des bassines depuis la seule source fonctionnelle, une borne-fontaine de 0,50 mètre derrière l'institution. C’est inadmissible pour un service sanitaire qui doit fonctionner 24/24 heures », a-t-il ajouté. Les concessions riveraines n’échappent pas à ces privations.
Braves, les blouses blanches supportent la corvée
Malgré la persistance de la pénurie, le personnel médical tient le coup. Il fait l’effort de s’approvisionner au quotidien depuis le petit robinet qui, de temps en temps, laisse passer quelques traits. Il y a quelques mois, le comité de santé a acquis une réserve de 10m3. Impossible de la remplir convenablement.
NDARINFO.COM
« Au début, nous pensions que la situation était passagère. Nous avions d’ailleurs eu recours à des bâches à eau. Nous n’arrivions pas à les remplir faute d’une bonne pression », confie le secrétaire exécutif du collectif de développement sanitaire, joint par NDARINFO.
« Une nuit, en pleine pratique d’une ventouse sur une patiente, toutes les réserves étaient vides. Les sages-femmes étaient obligées de puiser de l’eau avec des bassines depuis la seule source fonctionnelle, une borne-fontaine de 0,50 mètre derrière l'institution. C’est inadmissible pour un service sanitaire qui doit fonctionner 24/24 heures », a-t-il ajouté. Les concessions riveraines n’échappent pas à ces privations.
Braves, les blouses blanches supportent la corvée
Malgré la persistance de la pénurie, le personnel médical tient le coup. Il fait l’effort de s’approvisionner au quotidien depuis le petit robinet qui, de temps en temps, laisse passer quelques traits. Il y a quelques mois, le comité de santé a acquis une réserve de 10m3. Impossible de la remplir convenablement.
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