
L’école élémentaire, Cheikh Touré, située dans ce quartier de la Langue de Barbarie, a été d’ailleurs fermée et ses occupants redéployés dans d’autres établissements scolaires publics de la capitale du Nord afin de les prémunir d’éventuels risques.
Le ministre français de l’Economie et des Finances s’y est rendu peu après son arrivée à 17 heures dans la vieille ville en compagnie de son homologue sénégalais, Amadou Ba, du maire Mansour Faye et de l’ambassadeur de France au Sénégal, Christophe Bigot.
Le gouvernement français, par le biais de l’Agence française de développement (AFD), a accompagné l’Etat du Sénégal à mettre en place un plan d’urgence dotée d’un financement de 10 milliards de francs pour la construction entre autres d’une digue de protection.
Ce plan d’urgence annoncé par le président Français, Emmanuel Macron lors de sa visite dans l’ancienne capitale du Sénégal, classée patrimoine mondiale de l’UNESCO, est conjointement piloté avec l’Agence de développement municipal (ADM).
Bruno Le Maire, qui a constaté l’étendue des dégâts de l’érosion, s’est ensuite rendu à la Résidences des artistes, avant de traverser à pied avec sa délégation, les allées de la Place Faidherbe pour visiter la gouvernance, ancienne résidence du gouverneur de l’Afrique occidentale française (AOF).
Il a également visité le chantier du l’Institut français situé au nord de l’île de Saint-Louis
Son passage à hauteur du pont Faidherbe réhabilité avec l’appui financier de l’AFD a été ponctué de prises de photos et autres ‘’selfies’’.
Le ministre français, reparti de Saint-Louis sans faire de déclaration publique, était arrivé peu après 17 heures à bord d’un avion aux couleurs de son pays.
A l’aéroport de cette ville du nord du Sénégal, il a eu droit à un accueil folklorique où se sont mêlés chants, danses et autres prestations artistiques inspirées de la richesse culturelle locale.
Le défilé de filles déguisées en ‘’Signares’’ (des femmes indigènes souvent mariées à des français de souche, des blancs durant la colonisation) a été particulièrement remarqué.
APS
Le ministre français de l’Economie et des Finances s’y est rendu peu après son arrivée à 17 heures dans la vieille ville en compagnie de son homologue sénégalais, Amadou Ba, du maire Mansour Faye et de l’ambassadeur de France au Sénégal, Christophe Bigot.
Le gouvernement français, par le biais de l’Agence française de développement (AFD), a accompagné l’Etat du Sénégal à mettre en place un plan d’urgence dotée d’un financement de 10 milliards de francs pour la construction entre autres d’une digue de protection.
Ce plan d’urgence annoncé par le président Français, Emmanuel Macron lors de sa visite dans l’ancienne capitale du Sénégal, classée patrimoine mondiale de l’UNESCO, est conjointement piloté avec l’Agence de développement municipal (ADM).
Bruno Le Maire, qui a constaté l’étendue des dégâts de l’érosion, s’est ensuite rendu à la Résidences des artistes, avant de traverser à pied avec sa délégation, les allées de la Place Faidherbe pour visiter la gouvernance, ancienne résidence du gouverneur de l’Afrique occidentale française (AOF).
Il a également visité le chantier du l’Institut français situé au nord de l’île de Saint-Louis
Son passage à hauteur du pont Faidherbe réhabilité avec l’appui financier de l’AFD a été ponctué de prises de photos et autres ‘’selfies’’.
Le ministre français, reparti de Saint-Louis sans faire de déclaration publique, était arrivé peu après 17 heures à bord d’un avion aux couleurs de son pays.
A l’aéroport de cette ville du nord du Sénégal, il a eu droit à un accueil folklorique où se sont mêlés chants, danses et autres prestations artistiques inspirées de la richesse culturelle locale.
Le défilé de filles déguisées en ‘’Signares’’ (des femmes indigènes souvent mariées à des français de souche, des blancs durant la colonisation) a été particulièrement remarqué.
APS