Le Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes) ne digère pas la décision du ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, de fermer les universités publiques. La section de Saint-Louis a tenu un sit-in lundi pour contester la mesure. Elle a décrété lundi une grève de 48 heures, accompagnée d'un boycott des soutenances et des activités administratives.
Le Saes estime que la mesure de fermeture n'est justifiée que par " des considérations sociopolitiques", en alertant sur des conséquences néfastes qui pèsent sur l'avenir des étudiants. Les enseignants disent regretter l'attitude de la tutelle sur la question qui " adopte une position déconcertante face à la situation critique."
Ils dénoncent par ailleurs " le non-respect flagrant du protocole d'accord signé entre le syndicat et le gouvernement le 06 janvier 2023" ainsi que des retards de paiement de pensions et divers émoluments.
Le Saes estime que la mesure de fermeture n'est justifiée que par " des considérations sociopolitiques", en alertant sur des conséquences néfastes qui pèsent sur l'avenir des étudiants. Les enseignants disent regretter l'attitude de la tutelle sur la question qui " adopte une position déconcertante face à la situation critique."
Ils dénoncent par ailleurs " le non-respect flagrant du protocole d'accord signé entre le syndicat et le gouvernement le 06 janvier 2023" ainsi que des retards de paiement de pensions et divers émoluments.