Le Club Cedeao de l’Université Gaston Berger (UGB) a organisé des journées d’échanges et de sensibilisation sur les missions et valeurs fondamentales de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Hier samedi, des panels autour des thèmes « Diplomatie au service de l’intégration africaine et de la paix » et « Mobilité, intégration des jeunes dans l’espace CEDEAO », ont été tenus.
Suzanne Diouf Mbodj, présidente du club, a souligné l’importance cruciale de sensibiliser les jeunes aux objectifs et aux fonctions de la CEDEAO. « La CEDEAO est le modèle d’intégration le plus abouti », a-t-elle affirmé, insistant sur le rôle des étudiants dans la réalisation des missions de l'organisation. « En tant qu’étudiants, nous devons aider la Cedeao à atteindre sa mission », a-t-elle dit en rappelant que cet engagement repose sur une bonne connaissance des objectifs de l’organisation.
La représentante résidente de la CEDEAO au Sénégal, Mme Zelma FASSINOU, a salué l’initiative du Club et les « débats enrichissants » qui l’ont marqué. Elle a appelé à la pérennisation de telles actions, exprimant le souhait que les recommandations issues de ces échanges ne soient pas négligées. En outre, elle a plaidé pour une plus grande vulgarisation des concepts de « vivre ensemble », de tolérance et d’acceptation des différences, éléments essentiels à l’harmonie et à la cohésion au sein de la zone.
Suzanne Diouf Mbodj, présidente du club, a souligné l’importance cruciale de sensibiliser les jeunes aux objectifs et aux fonctions de la CEDEAO. « La CEDEAO est le modèle d’intégration le plus abouti », a-t-elle affirmé, insistant sur le rôle des étudiants dans la réalisation des missions de l'organisation. « En tant qu’étudiants, nous devons aider la Cedeao à atteindre sa mission », a-t-elle dit en rappelant que cet engagement repose sur une bonne connaissance des objectifs de l’organisation.
La représentante résidente de la CEDEAO au Sénégal, Mme Zelma FASSINOU, a salué l’initiative du Club et les « débats enrichissants » qui l’ont marqué. Elle a appelé à la pérennisation de telles actions, exprimant le souhait que les recommandations issues de ces échanges ne soient pas négligées. En outre, elle a plaidé pour une plus grande vulgarisation des concepts de « vivre ensemble », de tolérance et d’acceptation des différences, éléments essentiels à l’harmonie et à la cohésion au sein de la zone.