La section Langues Étrangères Appliques (LEA) de l’Ufr des Lettres et Sciences Humaines de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis tient un atelier d’études des méthodologies en vue de l’élaboration de terminologie pour l’enseignement bi-plurilingue en français et dans quatre langues africaines dont le diola, le pulaar, le haoussa et le wolof.
" Nous nous sommes rendu compte de la nécessité et de l’urgence de mener des travaux approfondis sur la création de termes pour l’enseignement dans nos langues", a renseigné Aly SAMBOU, enseignement chercheur en LEA, marge de l'ouverture des travaux.
Les réflexions sur l’examen des démarches terminologiques permettront de renforcer l’existant.
À terme, « une base de termes stabilisée dans toutes les langues » sera mise à la disposition d’autres recherches " en plus d’une liste restreinte de langues qui va servir de référence pour l’enseignement des mathématiques et d’autres disciplines ", note M. SAMBOU, coordonnateur du groupe de travail "Lexicologie, terminologie et traduction" de l’Observatoire du plurilinguisme africain.
« Quand on apprend un Savoir dans sa propre langue, l’action pédagogique devient plus efficace, l’assimilation est plus rapide et les connaissances sont plus utiles », a conclu l'enseignant-chercheur.
" Nous nous sommes rendu compte de la nécessité et de l’urgence de mener des travaux approfondis sur la création de termes pour l’enseignement dans nos langues", a renseigné Aly SAMBOU, enseignement chercheur en LEA, marge de l'ouverture des travaux.
Les réflexions sur l’examen des démarches terminologiques permettront de renforcer l’existant.
À terme, « une base de termes stabilisée dans toutes les langues » sera mise à la disposition d’autres recherches " en plus d’une liste restreinte de langues qui va servir de référence pour l’enseignement des mathématiques et d’autres disciplines ", note M. SAMBOU, coordonnateur du groupe de travail "Lexicologie, terminologie et traduction" de l’Observatoire du plurilinguisme africain.
« Quand on apprend un Savoir dans sa propre langue, l’action pédagogique devient plus efficace, l’assimilation est plus rapide et les connaissances sont plus utiles », a conclu l'enseignant-chercheur.