Le budget du ministère de l'Éducation nationale a été arrêté à 975,049 milliards de FCfa pour l'année 2024, marquant une augmentation d'environ 66 milliards de FCfa par rapport à l'exercice précédent, qui se clôturait à 909 milliards de FCfa. Cette hausse de 7,2 % en valeur relative a été discutée et validée en commission parlementaire, et elle s'inscrit dans une volonté claire de refonte du système éducatif national.
Ce budget sera réparti entre six programmes majeurs du ministère, avec un accent particulier mis sur la réforme des curricula. Parmi les mesures phares, on note l'introduction de l'anglais dans les cycles préscolaire et élémentaire, ainsi que la résorption des abris provisoires. De plus, la mise en œuvre d'une stratégie numérique et la généralisation de l'uniforme scolaire sont également au programme, sans oublier l'accélération de l'utilisation des langues nationales dans certaines régions.
Les raisons de cette augmentation budgétaire sont multiples, selon un document qui nous est parvenu. L'augmentation des fonds tient notamment compte des avancements des fonctionnaires et des mises en solde des contractuels. Elle permettra également de financer les rappels d’intégration, jugés essentiels pour maintenir la motivation et la stabilité dans l’espace scolaire, ainsi que pour respecter les engagements pris par le gouvernement.
La répartition des 975,049 milliards de FCfa montre que le programme dédié au pilotage, à la gestion et à la coordination administrative accapare la part la plus importante, avec plus de 590,5 milliards de FCfa (60,57 % du budget). À suivre, l’enseignement élémentaire reçoit 228 milliards FCfa, représentant 23,40 % du total. Les autres programmes, tels que l’enseignement moyen général et secondaire, ainsi que l’éducation de base des jeunes et des adultes, se partagent le reste du budget, avec des montants respectifs de 6,39 % et 8,73 %.
Pour l’année scolaire 2024/2025, ce nouveau budget permettra de renforcer les acquis, soulignant la nécessité de mettre en avant des programmes stratégiques conformément aux directives de la réforme. Le ministère a déjà réalisé des avancées significatives dans les domaines de l’accès, de la qualité et de la gouvernance. Les indicateurs de succès, tels que le taux brut de scolarisation (Tbs) qui s’établit à 81,90 %, et les résultats aux examens nationaux, avec un taux de réussite au Bfem à 73,94 % et 65,53 % au Cfee, témoignent de ces progrès.
Dans ce contexte, le ministère projette de continuer certains projets d'envergure, comme le Projet d'amélioration des performances du système éducatif (Papse) et le projet Usaid 2021-2025. Ces initiatives visent à intégrer les approches de genre et d'équité, en prenant en compte les besoins des enfants vulnérables, et s'inscrivent dans une vision d'évolution vers une société éducative inclusive et efficiente.
Ce budget sera réparti entre six programmes majeurs du ministère, avec un accent particulier mis sur la réforme des curricula. Parmi les mesures phares, on note l'introduction de l'anglais dans les cycles préscolaire et élémentaire, ainsi que la résorption des abris provisoires. De plus, la mise en œuvre d'une stratégie numérique et la généralisation de l'uniforme scolaire sont également au programme, sans oublier l'accélération de l'utilisation des langues nationales dans certaines régions.
Les raisons de cette augmentation budgétaire sont multiples, selon un document qui nous est parvenu. L'augmentation des fonds tient notamment compte des avancements des fonctionnaires et des mises en solde des contractuels. Elle permettra également de financer les rappels d’intégration, jugés essentiels pour maintenir la motivation et la stabilité dans l’espace scolaire, ainsi que pour respecter les engagements pris par le gouvernement.
La répartition des 975,049 milliards de FCfa montre que le programme dédié au pilotage, à la gestion et à la coordination administrative accapare la part la plus importante, avec plus de 590,5 milliards de FCfa (60,57 % du budget). À suivre, l’enseignement élémentaire reçoit 228 milliards FCfa, représentant 23,40 % du total. Les autres programmes, tels que l’enseignement moyen général et secondaire, ainsi que l’éducation de base des jeunes et des adultes, se partagent le reste du budget, avec des montants respectifs de 6,39 % et 8,73 %.
Pour l’année scolaire 2024/2025, ce nouveau budget permettra de renforcer les acquis, soulignant la nécessité de mettre en avant des programmes stratégiques conformément aux directives de la réforme. Le ministère a déjà réalisé des avancées significatives dans les domaines de l’accès, de la qualité et de la gouvernance. Les indicateurs de succès, tels que le taux brut de scolarisation (Tbs) qui s’établit à 81,90 %, et les résultats aux examens nationaux, avec un taux de réussite au Bfem à 73,94 % et 65,53 % au Cfee, témoignent de ces progrès.
Dans ce contexte, le ministère projette de continuer certains projets d'envergure, comme le Projet d'amélioration des performances du système éducatif (Papse) et le projet Usaid 2021-2025. Ces initiatives visent à intégrer les approches de genre et d'équité, en prenant en compte les besoins des enfants vulnérables, et s'inscrivent dans une vision d'évolution vers une société éducative inclusive et efficiente.