« Les nouveaux propriétaires terriens menacent l’environnement, violent le droit maritime et fluvial et s’accaparent illégalement de nos terres. L’administration reste silencieuse et inactive », a dénoncé ce matin le candidat à la Mairie de Saint-Louis.
« Le reposoir des oiseaux, notamment des pélicans, au large de Leybar Boye menacé. Qui sont ces entrepreneurs, ces nouveaux propriétaires terriens qui font des remblais jusque sur la rivière? Leurs travaux et les lotissements qu’ils font menacent la quiétude des oiseaux qui constituent un patrimoine mondial et surtout une ressource de la biodiversité à préserver et à faire admirer », s’est-il offusqué en renseignant que ces pratiques s’étendent sur tout le département de Saint-Louis.
« À l’approche des élections locales, il y a une frénésie incompréhensible et inacceptable d’accaparement des terres! À Dakar Bango, à Ngallèle, sur l’île de Diouck, jusqu’à mettre des bornes dans les rizières des villageois de Sanar et s’emparer des terres qui longent le Djeus. À Ndiébène Gandiole, c’est la même chose. Même dans les zones interdites de construction à l’extrême limite de la Langue de Barbarie, une construction arrêtée reprend comme par enchantement. Pourquoi les services de l’urbanisme et les services de l’environnement n’interviennent pas? », s’interroge le professeur NIANE.
NDARINFO.COM
« Le reposoir des oiseaux, notamment des pélicans, au large de Leybar Boye menacé. Qui sont ces entrepreneurs, ces nouveaux propriétaires terriens qui font des remblais jusque sur la rivière? Leurs travaux et les lotissements qu’ils font menacent la quiétude des oiseaux qui constituent un patrimoine mondial et surtout une ressource de la biodiversité à préserver et à faire admirer », s’est-il offusqué en renseignant que ces pratiques s’étendent sur tout le département de Saint-Louis.
« À l’approche des élections locales, il y a une frénésie incompréhensible et inacceptable d’accaparement des terres! À Dakar Bango, à Ngallèle, sur l’île de Diouck, jusqu’à mettre des bornes dans les rizières des villageois de Sanar et s’emparer des terres qui longent le Djeus. À Ndiébène Gandiole, c’est la même chose. Même dans les zones interdites de construction à l’extrême limite de la Langue de Barbarie, une construction arrêtée reprend comme par enchantement. Pourquoi les services de l’urbanisme et les services de l’environnement n’interviennent pas? », s’interroge le professeur NIANE.
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