L’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) travaille à la mise en œuvre prochaine d’une charte d’archivage qui fera de son Centre documentation et d’archivage (CDA) de Saint-Louis (nord) la structure de référence des archives de l’organisation, a appris l’APS lundi du chef du CDA, Babacar Diong.
‘’Nous sommes en train de travailler sur la mise en œuvre d’une nouvelle charte d’archivage et de documentation, qui vise à mettre en réseau l’ensemble des structures membres et affiliés de l’OMVS’’, a-t-il notamment déclaré à l’APS lors d’un entretien.
‘’L’OMVS est constituée de sociétés autonomes et qui se trouvent dans les différents pays membres. Chacune de ces entités a sa documentation. L’objectif de cette charte est de faire du CDA, le centre de référence de l’ensemble de la documentation de l’organisation’’, a expliqué M. Diong.
Le chef du CDA de Saint-Louis a, à cet égard, annoncé la tenue prochaine d’un atelier sous régional d’échanges et de validation des termes de cette nouvelle charte qui devrait entrer en vigueur probablement l’année prochaine au plus tard.
Le CDA de l’OMVS est doté d’un système de documentation scientifique et technique constitué de 14 000 références numérisées et accessibles en ligne, et de plus 1700 dossiers d’archives accessibles à distance.
Dans sa stratégie d’ouverture au public, l’OMVS prévoit de signer prochainement un accord-cadre de coopération avec l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB) afin de permettre aux professeurs, chercheurs et étudiants de l’aider à mieux appréhender les problématiques du bassin du fleuve Sénégal, lit-on dans une note du CDA reçu à l’APS.
L’OMVS, constituée de quatre Etats-membres (Sénégal, Mali, Guinée et Mauritanie), a été placée en 2015 en tête du Classement mondial des organismes de bassin à travers son système de coopération en ressources en eau transfrontalières. Cela a valu à l’organisation une distinction par l’UGB en marge des célébrations de ses 25 ans d’existence.
APS
‘’Nous sommes en train de travailler sur la mise en œuvre d’une nouvelle charte d’archivage et de documentation, qui vise à mettre en réseau l’ensemble des structures membres et affiliés de l’OMVS’’, a-t-il notamment déclaré à l’APS lors d’un entretien.
‘’L’OMVS est constituée de sociétés autonomes et qui se trouvent dans les différents pays membres. Chacune de ces entités a sa documentation. L’objectif de cette charte est de faire du CDA, le centre de référence de l’ensemble de la documentation de l’organisation’’, a expliqué M. Diong.
Le chef du CDA de Saint-Louis a, à cet égard, annoncé la tenue prochaine d’un atelier sous régional d’échanges et de validation des termes de cette nouvelle charte qui devrait entrer en vigueur probablement l’année prochaine au plus tard.
Le CDA de l’OMVS est doté d’un système de documentation scientifique et technique constitué de 14 000 références numérisées et accessibles en ligne, et de plus 1700 dossiers d’archives accessibles à distance.
Dans sa stratégie d’ouverture au public, l’OMVS prévoit de signer prochainement un accord-cadre de coopération avec l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB) afin de permettre aux professeurs, chercheurs et étudiants de l’aider à mieux appréhender les problématiques du bassin du fleuve Sénégal, lit-on dans une note du CDA reçu à l’APS.
L’OMVS, constituée de quatre Etats-membres (Sénégal, Mali, Guinée et Mauritanie), a été placée en 2015 en tête du Classement mondial des organismes de bassin à travers son système de coopération en ressources en eau transfrontalières. Cela a valu à l’organisation une distinction par l’UGB en marge des célébrations de ses 25 ans d’existence.
APS